2019 : Une année cruciale pour les Tunisiens; puisqu'en octobre, ils seront appelés aux
urnes pour les élections présidentielles et législatives pour en finir
avec les politiques de l'échec ou continuer à
régresser avec les Frères musulmans !
Et déjà des
articles et des commentaires sur les réseaux sociaux prédisent que beaucoup de
jeunes et de femmes n’ont pas l’intention de voter; ou que ceux qui voteront,
se livreront au dégagisme. Est-ce étonnant ? Absolument
pas.
Les partis tout comme les candidats, commencent à se mettre en ordre de bataille, avec les inévitables changement de partis et la valse des étiquettes politiques pour certains, à donner le tournis aux tunisiens.
Déjà Béji Caïd Essebsi brigue un nouveau mandat malgré son âge et sa trahison. Quant à son allié Ghannouchi, il semble à nouveau rechigner à se porter candidat de peur d'un échec qui signera la fin des Frères musulmans, en tous cas en Tunisie; préférant, plus confortable pour lui, se choisir une marionnette dont il tirera les ficelles comme il l'a fait avec Béji Caïd Essebsi et son prédécesseur tartour * alias Moncef Marzougui, en faisant porter le chapeau des résolutions impopulaires aux partis de ses alliés qu'il finit par tuer comme il l'avait fait avec le CPR, Ettakatol et dernièrement avec Nidaa Tounes.
Stratégie payante pour les Frères musulmans en attendant de s'implanter encore mieux et profondément dans la société tunisienne, pour ne pas prendre de risque tant qu'ils se savent impopulaires.
Il semble qu'en perspective des prochaines élections, Ghannouchi ait jeté cette fois-ci son dévolu sur Youssef Chahed pour en faire sa nouvelle marionnette dont le nouveau parti fera certainement les frais, comme bien d'autres avant lui.
Les partis tout comme les candidats, commencent à se mettre en ordre de bataille, avec les inévitables changement de partis et la valse des étiquettes politiques pour certains, à donner le tournis aux tunisiens.
Déjà Béji Caïd Essebsi brigue un nouveau mandat malgré son âge et sa trahison. Quant à son allié Ghannouchi, il semble à nouveau rechigner à se porter candidat de peur d'un échec qui signera la fin des Frères musulmans, en tous cas en Tunisie; préférant, plus confortable pour lui, se choisir une marionnette dont il tirera les ficelles comme il l'a fait avec Béji Caïd Essebsi et son prédécesseur tartour * alias Moncef Marzougui, en faisant porter le chapeau des résolutions impopulaires aux partis de ses alliés qu'il finit par tuer comme il l'avait fait avec le CPR, Ettakatol et dernièrement avec Nidaa Tounes.
Stratégie payante pour les Frères musulmans en attendant de s'implanter encore mieux et profondément dans la société tunisienne, pour ne pas prendre de risque tant qu'ils se savent impopulaires.
Il semble qu'en perspective des prochaines élections, Ghannouchi ait jeté cette fois-ci son dévolu sur Youssef Chahed pour en faire sa nouvelle marionnette dont le nouveau parti fera certainement les frais, comme bien d'autres avant lui.
Les jeunes
ont déjà voté en s’exilant massivement, notamment beaucoup de jeunes diplômés,
médecins, ingénieurs et autres qui étaient l’avenir du pays. Ces jeunes ont dit
clairement et fortement qu’ils n’avaient plus confiance dans l’avenir de ce
pays livré aux obscurantistes islamistes et aux politiciens nuls et sans
honneur.
En effet,
qui peut dire aujourd’hui : voilà le parti ou la personnalité en qui nous
avons confiance et qui nous proposent sans démagogie, un avenir meilleur ? Personne. Car tous les politiciens, sans exception, se
sont compromis, se sont couchés devant les Frères musulmans. Même ceux qui les
condamnaient et condamnaient leur projet de régression, ont cru devoir leur
laisser une place sous le prétexte fallacieux qu’ils existaient et qu’il était
nécessaire d’en tenir compte, comme s’il avait fallu tenir compte du nazisme,
du fascisme ou du communisme, au lieu de les combattre !
Alors à quoi
va-t-on assister ? D’abord au retournement sans vergogne et
sans honneur de nombreux partis et personnalités qui, en vue des élections,
vont avoir des mots très durs contre les islamistes et vont jurer (mais qui de
sérieux pourra encore les croire ?) qu’ils ne s’associeront jamais, au
grand jamais, avec les obscurantistes ; et qu’ils leur feront la guerre !
Là, se pose
en effet, un problème très sérieux de crédibilité en la parole politique. La trahison de Béji Caïd Essebsi a fait
beaucoup de mal au pays sur tous les plans (économique, social, sécuritaire)
mais a eu surtout pour résultat, de faire que le peuple Tunisien ne croit plus
en la parole politique. Et c’est là, sans doute, sa plus grande faute devant
l’histoire : avoir discrédité la démocratie et la parole politique. Sans doute il n'est pas seul responsable mais le fait est que la démocratie est un échec. Ce que traverse le pays résulte essentiellement du laxisme et de l’absence de vision sur le moyen et long terme. La classe politique toute entière se retrouve décrédibilisée.
On va voir
aussi les petites mains des partis s’agiter pour nous dire qu’il faut tout de
même voter pour éviter la victoire d’Ennahdha ! Qu’il faut, en somme,
réitérer le « vote utile » qui a tant coûté au pays. Et que devant le
pire, il faut accepter le moindre mal. Eh bien non !
Il faut que
la politique retrouve ses lettres de noblesse. Pour cela, il faut une sanction
sévère face à la trahison, à la violation éhontée des promesses, aux tromperies
et aux petites ambitions. Il faut que ceux qui ont trompé le monde, soient
punis. Il faut ne plus voter pour eux car ce serait trop facile : on ment, on trahit
; et parce que l’on jure de ne pas recommencer, on est pardonné.
Faut-il pour
autant s’abstenir et prôner l’abstention ? Ceux qui feront ce choix,
doivent savoir que d’autres décideront pour eux à leur place. Or voter, c’est
un devoir de citoyen.
Pour les
plus déçus, l’unique choix serait d’écarter ceux qui se sont compromis en
flirtant avec les islamistes.
Refuser le vote et les partis politiques, c'est se comporter comme les "gilets jaunes" ce mouvement dont on voit mal comment il pourrait arriver à quelque chose. Ce mouvement produit des réseaux sociaux et qui a pris une ampleur inouïe, que nous apprend-il ? On y trouve du bon comme du mauvais. Les réseaux sociaux ont pris de l'importance jusqu'à faire et défaire les présidents. C'est un peu la faute aux politiques.
Les Tunisiens leur doivent leur révolution et d'avoir dégagé leur dictateur.
Refuser le vote et les partis politiques, c'est se comporter comme les "gilets jaunes" ce mouvement dont on voit mal comment il pourrait arriver à quelque chose. Ce mouvement produit des réseaux sociaux et qui a pris une ampleur inouïe, que nous apprend-il ? On y trouve du bon comme du mauvais. Les réseaux sociaux ont pris de l'importance jusqu'à faire et défaire les présidents. C'est un peu la faute aux politiques.
Les Tunisiens leur doivent leur révolution et d'avoir dégagé leur dictateur.
Le premier qui en a
bénéficié, fut Barak Obama. Au bout de ses deux mandats, il y a eu beaucoup de
déception chez ceux qui ont cru en lui aussi bien au niveau national qu'international. L'élection de Donald Trump, n'est
que la conséquence de tous ses manquements.
En France,
le premier à en avoir bénéficié, est Emmanuel Macron. Mais lui laisse-t-on le temps
de mettre en œuvre son programme, lui qui a le courage de s'attaquer aux
réformes indispensables que ses prédécesseurs n'ont pas eu ? Non ! L'impatience
des internautes ne le permet plus. Au bout de 18 mois de présidence, les voilà
qu'ils demandent sa démission ! Que lui reproche-t-on ? De vouloir appliquer le
programme pour lequel il a était élu. Et qui sont ses détracteurs ? Les mauvais
perdants, ceux qui veulent rejouer les élections présidentielles de 2017 (FN
& France Insoumise) ou pire, ceux qui se sont abstenus !
Ce mouvement
qui se voulait apolitique, se heurte à la réalité de la vie politique ; et
certains commencent à comprendre qu'il faille le transformer en parti politique
pour être crédible et transformer les revendications en programme politique. Et
ils ont raison car en démocratie, l'organisation de la politique requiert des
formations politiques pour que les électeurs aient le choix. Et ce n'est que
par les urnes que les responsables de ces partis seront élus, reconduits ou
dégagés ! C'est ça la démocratie représentative, la seule qui vaille chez les peuples qui n'ont pas l'expérience de la démocratie et du débat.
Pour cela,
il faut que les citoyens utilisent leur droit de vote, en VOTANT !
Il faut que
ce vote, même s’il doit aboutir à l’arrivée des islamistes en Tunisie, soit un
coup de semonce et une leçon pour l’avenir. Il faut que le peuple
« dégage » ceux qui se sont mal comportés et n'ont pas été capables
de tenir clairement et fortement une ligne de rejet absolu des islamistes. Il
faut que ce scrutin dise clairement que les accommodements, le consensus, avec
les obscurantistes ne sont pas acceptables car ils ruinent le pays, désespèrent
sa jeunesse et vont faire régresser ce pays, parmi les premiers du « monde
arabe ». Il faut que les Tunisiens progressistes disent clairement qu’ils
ne veulent pas de compromis avec Ennahdha, ce parti qui les a volés et qui recourt à la violence
chaque fois qu’il se retrouve dans une impasse politique ne reculant pas devant l'assassinat politique comme celui de Chokri Belaid; et dont le programme
est celui de l’échec. Ce dont les Tunisiens ont pu se rendre compte, depuis
qu’ils se sont accaparées leur révolution et le pouvoir.
Alors
dira-t-on, ce n’est pas en préconisant le boycott des partis qui se sont
compromis avec les islamistes que l’on arrivera à les écarter. Le vote
servira à faire émerger de nouveaux partis qui affichent clairement leur
opposition à l’islamisme et confirmera la mort des partis qui se sont compromis
en s'alliant à Ennahdha. Comme ce fut le cas pour Ettakattol et le CPR lors des
élections de 2014; et dont les chefs, pour le premier le groggy du perchoir Mustapha Ben Jaafar, a totalement disparu des radars; quant à son acolyte tartour alias Moncef Marzougui, devenu fou, qui tente d'exister à travers un activisme populiste qui fait sourire les tunisiens s'il ne leur faisait pas peur par sa dangerosité; puisqu'il est prêt à mettre le pays à feu et à sang par dépit !
Si on cherche vraiment qui pourrait sauver ce qui peut l'être, il n'y
aurait que Abir Moussi. Elle est la seule qui avec clarté et
fermeté s'oppose aux islamistes et ne veut, en aucun cas, collaborer d'une
manière ou d'une autre avec eux, puisqu'elle appelle à interdire tout parti
politique qui instrumentalise la religion. Or c'est la question essentielle,
celle qui détermine tout le reste.
Elle est également très clair sur le fait que le mode électoral doit
changer pour permette de dégager une réelle majorité de gouvernement, pour
permettre qu'un véritable projet et un véritable plan de redressement puissent
être conçus et mis en pratique. Elle remplit donc les deux conditions qui n'ont
cessé d'être rappelées pour que ce pays s'en sorte.
Ses détracteurs nous disent qu'elle a été mêlée à
l'ancien pouvoir de Ben Ali. Est-elle la seule ? On pourrait en citer des
centaines. N'a-t-elle pas pu changer et tirer des leçons du passé ?
On nous dit aussi qu'elle est contre l'égalité dans
l'héritage. C'est indiscutablement une faute pour l'avenir mais n'est-ce pas
aussi une position tactique pour, tout en combattant les islamistes
rétrogrades, ne pas heurter les musulmans conservateurs sans être islamistes,
dans une société qui est assez conservatrice dans l'ensemble ? Et puis
même, préfère-t-on les islamistes qui veulent revenir sur les droit des femmes acquises depuis l'indépendance ?
Enfin, le fait qu'elle soit une femme, peut être un
handicap comme il peut être un atout si les progressistes se mobilisent pour
que la Tunisie devienne le premier pays à avoir élu une femme au poste suprême.
Ce serait là encore une belle leçon au monde entier.
Si, malgré tout,
les islamistes emportaient la mise lors des élections à venir, au moins les
choses seront claires : ils seront au pouvoir et l’on pourra leur opposer
très vite leur échec ; alors qu'aujourd’hui, ils s’abritent derrière des alliés
prétendument progressistes dont ils tirent les ficelles, se développent dans la
société sans être officiellement responsables de la politique menée. Ce qui est
mille fois plus dangereux car on les laisse pourrir la société sans réagir.
Enfin, même
au pouvoir, le danger sera limité car aujourd’hui les islamistes sont menacés.
Ils ont perdu de leur superbe et leur corruption dépasse de loin celle de Ben
Ali et sa famille. Par ailleurs l’environnement international ne leur est
plus favorable.
Alors laissons-les
montrer ce qu’ils savent faire : c’est-à-dire rien ; et sanctionnons les politiciens sans conviction et sans honneur. Il sera toujours temps de se
ressaisir.
Cela ne
pourra pas être plus grave que la situation actuelle.
Rachid Barnat
tartour (adj) origine arabe :
tartour (adj) origine arabe :
1 personnage insignifiant, de décor.
2 se dit d'un président sans prérogatives
2 se dit d'un président sans prérogatives
● le terme a été introduit par l'agence AFP pour designer un président sans prérogatives
DANS UN ETAT DE DROIT, IL Y A LONGTEMPS QU'ENNAHDHA AURAIT DISPARU :
RépondreSupprimer- Ses responsables sont derrière les assassinats politiques, dont celui de Chokri Belaid,
- Ce parti est financé par le Qatar, ce qui constitue en soi un crime passible de la cour martiale, pour haute trahison ...
Mais pour poursuivre ce parti, il faut beaucoup de courage politique que la seule à avoir est Abir Moussi; qui envisage même d'interdire les partis politiques qui instrumentalisent la religion, comme le stipulait déjà, la constitution de 1959 !
http://kapitalis.com/tunisie/2019/01/11/comment-faire-disparaitre-ennahdha-du-paysage-politique/
LES JEUNES FUIENT LES PAYS DIRIGÉS PAR LES FRÈRES MUSULMANS : Les jeunes turcs, tout comme les tunisiens refusent l'obscurantisme et la régression que proposent les islamistes !
RépondreSupprimerDramatique pour leur pays, d'autant que les islamistes les poussent à la sortie parcequ'ils s’accommodent mal de diplômés, cultivés ... étant incultes eux-mêmes avec le complexe du " bac moins 2 ", comme disent les tunisiens !!
Ce que les Frères musulmans du FIS ont déjà fait en Algérie dans les années noires obligeant les intellectuels à choisir entre la valise et le cercueil !!!
https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/les-jeunes-diplomes-fuient-la-turquie-derdogan?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&Echobox=1546948740
LA MONNAIE TUNISIENNE NE VAUT PLUS RIEN : UNE "RÉVOLUTION" POUR EN ARRIVER Là !
RépondreSupprimerA qui la faute ?
Aux Frères musulmans et à BCE qui s'est allié à eux !!
http://kapitalis.com/tunisie/2019/01/14/le-dinar-ne-vaut-plus-rien-lance-cyniquement-beji-caid-essebsi/
LA RÉVOLUTION TUNISIENNE : Huit ans après, après que les Frères musulmans l'ont accaparée pour substituer aux revendications "Liberté. Dignité. Travail", un débat identitaire;
RépondreSupprimervoilà qu'ils imposent l'arabe aux tunisiens pour soi disant les "décoloniser" de leurs colonisateur français tout en les soumettant à d'autres colonisateurs comme " les bédouins d'Arabie " et les turcs; puisque Ghannouchi veut enseigner aussi le turc aux tunisiens !!
Ces complexés, sont toujours colonisés dans leur petite tête; au point de perdre le sens des réalités : la langue arabe et la langue turque n'étant pas des langues vivantes pour permettre aux tunisiens d'accéder à tous les savoirs pour être compétitifs par rapport aux autres peuples qui ont compris que l'anglais, le français aident leurs enfants à vivre dans le monde d'aujourd'hui ... et sans COMPLEXES !
Ces islamistes sont schizophrènes; puisqu'ils veulent imposer des langues mortes aux tunisiens, alors que ceux-ci sont obligés de faire certaines études en français ou en anglais pour maîtriser la médecine, l’ingénierie et autres spécialités où l'arabe ni le turc ne leur sont d'aucun secours !
Quant à la mairesse de Tunis, c'est une véritable cruche qui se met en "cheveux" ou se les couvre selon les désira-ta de Ghannouchi; puisqu'il l’utilise comme "vitrine de sa modernité" pour tromper le monde !
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/01/16/a-tunis-l-obligation-d-utiliser-l-arabe-sur-les-enseignes-commerciales-fait-debat_5409900_3212.html
APRES Mohamed Moncef Marzougui, Mustapha Ben Jaafar et Béji Caïd Essebsi; Youssef Chahed SERA-T-IL LA NOUVELLE MARIONNETTE DE GHANNOUCHI ?
RépondreSupprimerRachid Merdassi :
Comment BCE ose-t-il affirmer à chaque interview qu’Ennahdha a changé et s’est "tunisifiée" ; alors qu’il ne s’agit que de reculades tactiques, sous les coups de boutoir de la société civile et des femmes en particulier, inquiets du sort qui leur est réservé par l’imposition d’un modèle sociétal théocratique des plus rétrogrades ?!
Ennahdha n’a pas changé d’un iota sur le plan idéologique !!
D'ailleurs comment pourrait-il en être autrement sans se renier et rejeter la "chariâa" qui fonde son action politique ?
Les concessions* de Ghannouchi à la "modernité", ne sont que ruses de guerre qui ne trompent que les naïfs et ne servent qu'à sauver sa peau et rien de plus.
La nouvelle alliance de Ghannouchi avec Youssef Chahed, rappelle bien d'autres (MMM, MBJ et BCE) prouve que son unique souci est d'assurer sa longévité politique et d'échapper aux poursuites judiciaires.
Ghannouchi se sert de ces pseudo démocrates-progressistes et les jette une fois qu'il les a bien discrédités et fait couler leur parti !
* Souad Abderrahim, maire de Tunis, est l'illustration parfaite de ce qu'en fait Ghannouchi : elle est en "cheveux" ou "foulardée" selon les besoins du gourou pour rassurer les filles de Bourguiba !
HAMMA HAMMAMI : L'IDIOT UTILE DE GHANNOUCHI !
RépondreSupprimerPour rappel :
C'est lui qui a rejoint Kasbah 2 pour exiger une nouvelle constitution comme le réclamait Ghannouchi !
Ignorait-il que cette constitution sera forcément islamiste, lui qui savait qu'Ennahdha est une branche des Frères musulmans ?
Ou est-ce une preuve de l'immaturité politique de ce "révolutionnaire romantique", qui fraternisait avec ses pires ennemis; puisque l'athéisme des communistes est un crime aux yeux de ses anciens codétenus islamistes !!
http://kapitalis.com/tunisie/2018/08/28/hammami-ennahdha-restera-un-mouvement-des-freres-musulmans/
LOI D'AMNISTIE EN TUNISIE : grotesque !
RépondreSupprimerQuand BCE a proposé une loi d'amnistie générale pour les hommes d'affaires suspectés de corruption, pour permettre à l'économie de redémarrer; Ghannouchi va lui imposer d'y intégrer les actes terroristes et les crimes de sang commis par ses hommes avant et après la "révolution" !
Et voilà comment donnant/donnant BCE a fini par mettre sur un pied d'égalité la corruption dans les affaires avec les crimes de sang de son encombrant allié !
Et qui a encouragé BCE à amnistier les islamistes ? Boutef, celui-là même qui a blanchi les islamistes de tous leurs crimes contre les algériens durant les années noires !
Si Boutef l'a fait, c'est qu'il y avait une raison : lui-même durant ses années de militantisme était proches des Frères musulmans !
Alors que BCE, élève de Bourguiba et son ministre de l'intérieur de surcroît, a oublié que les islamistes étaient ses pires ennemis, qu'il avait combattus toute sa vie car opposés totalement à la nation tunisienne; et que lui même leur avait mené la vie dure dans les geôles du ministère de l'intérieur.
Bourguiba doit se retourner dans sa tombe de tant de trahison !
NIDAA TOUNES & TAHYA TOUNES : haj Moussa, Moussa el haj * !
RépondreSupprimerJean-Pierre Ryf :
Ce que dit ce monsieur est parfait :
" Nous qui avons choisi ” Tahya Tounes “, nous ne voulons pas d’un présent empêché par les interdits sacrés.
" Nous ne voulons pas non plus d’un futur réduit à des promesses métaphysiques ou idéologiques.
" Nous ne voulons pas de politiciens impuissants et décevants.
" Nous ne voulons pas que le programme politique devienne une offre commerciale."
Mais c'est très exactement ce que disait Nidaa en 2014 !!
Et croit-il vraiment qu'il obtiendra ce résultat auquel il aspire, avec tant de Tunisiens, avec ce parti Tahya Tounes est prêt à s'allier aux islamistes.?
En réalité ce parti est une nouvelle arnaque du genre de celle de Nidaa.
Rien ne changera car ce parti ne veut pas modifier la Constitution et le régime électoral qui sont la source du désastre; et son chef YC, remplacera BCE auprès de Ghannouchi !
* Blanc bonnet, bonnet blanc.
https://www.tunisienumerique.com/tunisie-dr-moncef-guiga-voila-pourquoi-jai-adhere-a-tahya-tounes/?fbclid=IwAR0eafdV57XPIzRgvrVINkZ1rwVH4iRGDS0dbdimLZyX59ghkWKIZksm5xk
RIEN A ATTENDRE DES "PROGRESSISTES" PRÊTS A GOUVERNER AVEC LES FRÈRES MUSULMANS !
RépondreSupprimer- Des opportunistes veulent donner l’image de ceux qui veulent concilier islamisme et démocratie pour bien se faire voir par les conservateurs Américains + UE qui veulent imposer les Frères musulmans aux tunisiens.
- Ces opportunistes ont accepté la feuille de route écrite et imposée par les Américains.
L’essentiel de cette feuille de route est d’intégrer dans la démocratie les groupes ethniques et les sectes religieuses.
En d’autres termes, il ont accepté que les islamistes partagent le pouvoir avec les modernistes et veulent faire coexister les modernistes avec les Frères musulmans que les Américains appellent "les conservateurs" et les européens qualifient d' "islamistes modérés".
- Ces opportunistes espèrent devenir président de la République en s’appuyant sur les islamistes avec le soutien américain et celui des européens.
- Ces opportunistes conduiront le pays à la paralysie politique, sociale et économique, comme ce fut le cas avec MBJ, MMM, BCE ... qui TOUS ont juré qu'ils ne s'allieraient jamais avec Ghannouchi et ont fini par trahir leurs électeurs en faisant alliance avec les Frères musulmans.
- Ces opportunistes ne voient pas ou ne veulent pas voir que les intérêts américains et européens n’ont rien à voir avec les intérêts de la Tunisie.
Cette alliance est dictée et exigée par les Américains et par l’UE.
Béji Caïd Essebsi a cédé à cette exigence et Youssef Chahed, Mohsen Marzouk ... semblent lui emboîter le pas avec d'autres issus de Nidaa qui s'est disloqué par la faute de son fondateur et est en train d'agoniser par la faute de son rejeton ! Quel gâchis.
Il faut savoir résister à cette intolérable ingérence et respecter la volonté des tunisiens qui attendent des progressistes plus de cohérence et de respect pour leurs électeurs !
* Politique aberrante de responsables politiques incultes, à l'origine du populisme aux EU et dans l'UE quand ils ne respectent pas leurs électeurs et méprisent les peuples !
LES FAUX DESTOURIENS ...
RépondreSupprimerLes Tunisiens se sont mobilisés massivement pour dégager les Frères musulmans d'Ennahdha; en plébiscitant à trois reprises Béji Caïd Essebsi et son parti Nidaa Tounes parceque destouriens et bourguibistes !
Cinq an après, leur déception est immense de les voir dominés plus que jamais par Ennahdha ... tout comme l'étaient le CPR et Ettakatol qui formaient la troïka provisoire !
CONGRES DE NIDAA TOUNES ...
RépondreSupprimerOu lutte intestine publique de ses dirigeants ?
A moins que ce ne soit sa mort en direct !
Ezzeddine Zayani :
2 bureaux, 2 chefs, Hafedh et Toubal, 2 réunions, 2 urnes, 2 élections.
Et la chaîne al Watania qui couvre un événement, celui d'un parti moribond Nidaa Tounes devenu bicéphale; et ce, avec l'argent des contribuables.
2 meetings pour consacrer la chefferie, le ridicule d'écervelés qui s'arrachent une coquille vide, des malades du pouvoir dont le seul souci est de faire oublier leurs casseroles.
J'ai vu les 2 protagonistes, j'ai vu mon argent en tant que contribuable jeté par la fenêtre et ma Tunisie sacrifiée sur l'autel des ambitions de demeurés à l'ego surdimensionné.
J'ai réellement honte que ma patrie soit confiée à ces chacals.
Quelle médiocrité !
LE MARIAGE DE BCE AVEC GHANNOUCHI A PRODUIT UN MONSTRE !
RépondreSupprimerDésormais l’emblème de Nidaa Tounes sera un palmier bicéphale !!
Voilà où mènent, la trahison, la stupidité, la cupidité et le népotisme d'un père qui cherche à caser un rejeton nul de chez les nuls !!!
Un parti de plus* qui finit dans la poubelle de l'Histoire !!!!
Quel gâchis.
* Il y eu le CPR & Etatakatol ... et maintenant c'est au tour de Nidaa.
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