dimanche 26 janvier 2014

Histoire des juifs d'Europe centrale, entre mythe et légende sur fond politique.

Le juif Ashkénaze n’est pas sémite, il est d’origine Khazar !
La plupart des gens qui emploient à tout va le mot antisémitisme n’ont jamais tenu de livre d’Histoire dans leurs mains et n’ont pas vraiment étudié l’origine et la provenance du judaïsme et de son passé.
Nous ne nous trompons pas en affirmant que moins de deux pour cent de ces personnes ont lu le Talmud et ont eu connaissance de la teneur de la foi de ces Talmudistes. II est apparemment important de parler de ce sujet brûlant pour mettre certaines choses au clair.
Si vous voulez comprendre pourquoi les Russes, les Anglais et plus tard les Allemands ont voulu chasser les juifs de leurs pays, vous devez en connaître la raison. Quelqu’un dans les livres d’Histoire nous a-t-il expliqué pourquoi on a persécuté les juifs ?
Pourquoi les a-t-on chassés de tous les pays et pas un autre peuple ? 
Pourquoi n’y- a-t-il pratiquement que des juifs qui ont participé à la révolution bolchevique ? Ils l’ont planifiée, financée et faite !
Pourquoi les médias sont-ils entre des mains juives, les banques aussi ? Pourquoi en 1995 aucun juif ne peut entrer en Malaisie ?
On ne peut nier l’implication des juifs khasars (explication suit) dans le thème conspiration mondiale. Cela n’est pas du fascisme, encore moins de l’antisémitisme, preuve à l’appui.
Depuis 40 ans le terme antisémitisme nous fait froid dans le dos dès qu’on prononce le mot juif.

On a fait croire à l’opinion publique occidentale, contrôlée par les médias, dominés par les juifs khasars, que le terme d’antisémitisme s’appliquait presque exclusivement aux juifs. 
En réalité un juif d’aujourd’hui est aussi sémite qu’un Américain est Grec.

Commençons par mettre de l’ordre dans les termes que nous utilisons tous les jours. 
Qui sont les Sémites ?
D’après le très conservateur et très explicite Oxford Universal Dictionary, le mot sémite a été employé pour la première fois en 1875, et décrit une personne qui appartient à la race englobant presque tous les peuples des descendants de Sem, le fils de Noah, d’après la Genèse, chapitre 10, de l’Ancien Testament, et dont la langue maternelle est une langue sémite – d’où les Akkadiens, les Phéniciens, les Hébreux, les Araméens, les Arabes, les Assyriens…
Dans le dictionnaire de Langer de l’Histoire du monde, il est dit que le terme de sémite ne s’applique pas à une race, mais à un groupe de peuples, dont la langue maternelle est sémite.

Le profane pourrait donc penser : Eh bien, les Hébreux sont donc des Sémites. C’est vrai. Les Hébreux sont des Sémites, mais on peut se demander quel est le lien entre les juifs et les Hébreux, les juifs d’aujourd’hui n’ont presque rien en commun avec les Hébreux. Regardons l’Histoire.

Qui sont les Hébreux ?
Les Hébreux ne viennent pas, comme on le dit souvent, de Chaldée. Ils vinrent en Chaldée comme étrangers, et ont été traités de la sorte, et chassés. Le pays d’origine des Hébreux est décrit dans le premier livre de Moïse comme étant la région entre Messa et Saphar, la montagne de l’est d’Ebal, c’est-à-dire la région de la pointe, le point le plus au sud de la péninsule arabe.
Dans l’Ancien Testament, on peut lire, comme nous venons de le dire, que Sem était le fils de Noé, ce qui est une erreur. Cela vient du fait que Néhémie et Esdras ont pris les poèmes et les légendes du vieux Babilus, les ont recopiés et les ont adaptés selon leurs intérêts en les falsifiant. (Ils ont fait pareil avec l’histoire du roi Sargon, qu’ils ont pris comme modèle pour l’histoire de Moïse, dont la véritable histoire est complètement différente. De plus, Moïse a vécu plus de 1000 ans après Sargon.)

Les Hébreux viennent donc en vérité de ce point géographique, dont parle le premier livre de Moïse 10-30, c’est à dire de l’endroit le plus étroit de la mer Rouge, tout au sud, au pied du mont Ebal. Une nouvelle tribu s’était formée à partir de peuples différents. Le chef de cette nouvelle tribu s’appelait Abil Habr, chassé de la tribu des Schabées. La tribu prit le nom de Habrites, qui devinrent plus tard les Hébreux. 
D’autres hommes chassés de leur tribu vinrent se joindre à cette nouvelle tribu, ainsi que des esclaves évadés. Peu à peu se forma un nouveau peuple. Ali Habr fit construire une forteresse, et partit à la conquête de l’île de Bara (Perim), qui appartenait au royaume d’Égypte. Là, il fit alliance avec les tribus éthiopiennes, les Amchars et les Kabyles. Ensemble ils conquirent le territoire des Maures jusqu’au lac Ugan Ugan (l’Ouganda actuel). Il fonda un royaume et c’est à cet endroit que ce peuple devint le peuple hébreu. Le centre de ce pays porte le nom de Habr, d’après Ali Habr.

Comme Ali Habr avait institué la polygamie, un peuple complètement nouveau émergea, constitué de mélanges de plusieurs types humains. Dans la force de l’âge, Ali Habr contracta une maladie sexuelle. À cette époque vivait un sorcier dans la tribu des Genites au pays de Sina (Sinaï). Il était connu pour faire des miracles à travers des sacrifices humains qu’il destinait à un dieu sauvage. Ali le fit venir à lui. Le sorcier introduisit le rite de la circoncision et le dieu, Jaho/Yahvé/El Schaddaï, chez les Hébreux.

C’est ce Yahvé qui apparut à Abraham, un descendant direct d’Ali, avec ces mots Ani ha El Schaddaï = Je suis El Schaddaï. Il exigea de nombreux sacrifices humains, beaucoup de guerres et fit un pacte avec les Hébreux (pacte de sang hébreu). Ali Habr développa ses conquêtes et prépara une guerre contre le pays de Habach, dont le roi était de la famille du pharaon. Le roi appela les Égyptiens à l’aide. Le pharaon Sesostris Ier envoya une flotte et une armée, les Hébreux furent battus. Les soldats du pharaon prirent aussi la forteresse de Har Habr, triomphant de leur ennemi.
Voilà l’histoire d’Ali Habr !
Tous les crimes des Hébreux se trouvent dans les livres de Moïse à Esther (celui-ci devrait s’appeler le livre de Mordekhaï (Mardochée), d’après le plus grand malfaiteur) de l’Écriture sainte, dont personne ne sait pourquoi elle s’appelle sainte alors qu’elle devrait s’appeler l’histoire criminelle des Hébreux. On peut y dénombrer plus de soixante-dix massacres et génocides, sans compter les crimes, les pillages, les viols, l’inceste et autres atrocités. Le pire est qu’aucun de ces crimes n’est jamais puni. Au contraire, c’est Yahvé qui ordonne ces méfaits, et ils correspondent bien aux principes du Talmud. Le peuple juif s’identifie malgré tout, à part quelques exceptions, sans honte, à cette loi et à son histoire sanguinaire. 

Mais il faut ajouter qu’aujourd’hui 95 % des juifs ne sont pas des descendants d’Hébreux ou de Sémites, mais sont un mélange de Huns et de Turcs. Ils ne viennent pas du Jourdain, mais de la Volga, pas de Canaan, mais du Caucase, et n’ont pas de liens génétiques avec Abraham, Isaac et Jacob, mais avec les Huns, les Uigoures et les Magyars. Comment est-ce possible ?

Voilà, le peuple juif se compose de deux parties, les Sefardim et les Ashkenazim. Les Sefardim sont d’origine hébraïque et ont vécu depuis l’Antiquité en Espagne (en hébreu, Séfarade), d’où ils ont été chassés au 15ème siècle. Dans l’édition de 1960 de l’Encyclopedia Judaica on trouve ces faits : En 1960 il y a 500 000 juifs d’origine hébraïque dans le monde. Les Ashkenazim ou juifs Khazars sont au nombre de 11 millions.
Qui sont les Khazars ?
Je vais vous résumer leur histoire en quelques mots :
Les Khazars sont un peuple d’origine  turque (nord de la Turquie), dont la vie et l’histoire sont très proches du développement de l’histoire juive en Russie. Venant de Turquie, ils étaient des nomades des steppes, gui vivaient de rapines et de pillages. Au milieu du 6ème siècle ils s’établirent au sud de la Russie, bien avant la monarchie des Varègues. Le royaume khazar était à son apogée et menait constamment la guerre. Il n’y eut pas de moments pendant lesquels ils ne faisaient pas la guerre. Ils dominaient de grands territoires de la mer Noire à la mer Caspienne, et du Caucase à la Volga.

Au 8ème siècle le Chagan, le roi des Khazars, se convertit au judaïsme, ainsi que sa cour et une grande partie du peuple. La raison principale de leur acte était due à leur position géographique précaire entre l’empire romain d’Orient et les partisans victorieux de Mahomet. Les deux exigeaient des Khazars qu’ils se convertissent, les uns au Christianisme, les autres à l’Islam. Les Khazars choisirent le judaïsme, refusant les deux autres. Au cours des deux siècles qui suivirent, la plupart des Khazars se convertirent, et à la fin du 9ème siècle tous les Khazars étaient de religion juive.

Ce fut Obadiah, un successeur de Bulan sur le trône, qui renforça le royaume et affermit la religion juive. II invita des savants à s’établir dans son royaume, fonda des synagogues et des écoles. Le peuple fut introduit à la Bible et au Talmud. Les Khazars utilisaient l’écriture hébraïque. Mais leur langue restait la même.
Obadiah laissa le trône à son fils Ezekiah, celui-ci le laissa à son fils Manasseh, puis vinrent Hannukah, Isaac, Moïse, Nisi, Aaron II, Joseph, tous descendants directs d’Obadiah. 

Les Varègues de Russie, peuple d’origine scandinave, s’étaient établis à Kiev, jusqu’à la dernière bataille contre les Khazars. Les Russes gagnèrent cette ultime bataille et 4 ans plus tard ils envahirent le royaume des Khazars, à l’est de l’Azov.

Beaucoup de membres de la famille royale se réfugièrent en Espagne, d’autres en Hongrie, mais la majorité resta dans leur pays. (Jewish Encyclopedia, Volume IV, article on Chazars, page 1-5).
Le meilleur historien en matière de juifs autoproclamés d’Europe de l’Est est le professeur H. Graetz, auteur du livre History of the jews. Page 44 il explique que les Khazars exerçaient une sorte de religion fanatique, un mélange de sensualité et d’inceste. Après Obadiah il y eut un grand nombre de rois khazars, et d’après leur droit, il devait être juif. 

Pendant un grand laps de temps les souverains d’autres nations n’eurent pas connaissance de la conversion du royaume khazar, et quand ils l’apprirent, ils crurent que le royaume abritait les descendants des 10 tribus.
 Ces informations ne sont pas secrètes, elles proviennent d’un dictionnaire, The jewish Encyclopedia. Et cela prouve, mis à part 5 à 6 % de la population juive d’aujourd’hui, qu’il n’y a pas de liens directs avec les Hébreux. Donc ce ne sont pas des Sémites !

Les juifs d’origine khazars les plus connus aujourd’hui sont les Rothschild. Leur nom vient de l’enseigne (Schild en allemand) rouge (Rot), le blason des Khazars, qui se trouvait sur le magasin de Mayer Amschel Bauer, dans la rue des Juifs à Francfort.
Maintenant il est possible de répondre à une question importante : Pourquoi est ce que ce sont les juifs qui ont planifié la révolution bolchevique, gui l’ont faite et financée ? Que voulaient les juifs en Russie ?

Pour les raisons énoncées ci-avant, il est compréhensible que les Khazars, chassés par la monarchie russe, aient voulu reconquérir leur Russie.
Pour plus d’informations, dressons la liste des noms juifs/ khazars des leaders de la révolution bolchevique :
Chernoff / Von Gutmann ; Trotzki / Bronstein ; Martoff / Zederbaum ; Kamhoff / Katz ; Meshkoff / Goldenberg ; Zagorsky / Krochmal ; Suchanov / Gimmer ; Dan / Gurvitch; Parvus / Helphand ; Kradek / Sabelson ; Zinovjeff / Apfelbaum ; Stekloff / Nachamkes ; Latin / Lurye ; Ryazanoff / Goldenbach ; Bogdanoff / Josse ; Goryeff / Goldmann ; Zwewdin / Wanstein ; Lieber / Goldmann ; Ganezky / Fuerstenberg ; Roshal / Solomon. (Die Absteiger, Des Griffin)
De plus, les présidents de l’Union Soviétique, Lénine, Staline, Khroutchev, Gorbachev, Eltsine, même le leader d’extrême droite Jirinovsky, sont des juifs Ashkénaze, c’est à dire des khazars !

Il est primordial de comprendre cela, car c’est bien la preuve que la notion d'antisémitisme n'a rien à voir avec ces juifs-là, elle est donc complètement déplacée. Tout le monde arabe par contre, est d’origine sémite. Le bon terme serait judéophobe. Ce sont donc ceux qui disent que les juifs d’aujourd’hui n’ont pas de rapport avec les Hébreux qui ont raison. Et ils n’ont dix fois pas le droit à un État d’Israël en Palestine ! 
En clair, les habitants actuels d’Israël n’ont pas de raisons et pas de droit de vivre dans un état israélien, car ils ne sont pas d’origine hébraïque ou israélite. Les juifs modernes pourraient revendiquer, tout au plus, une partie de la Russie.

Un expert de plus en la matière est Alfred Lilienthal, qui dans son livre The Zionist Connection montre à l’aide de documents, que la naissance de l’État d’Israël en 1948 a été l’aboutissement d’intrigues politiques massives entre des juifs khazars et leurs infâmes compagnons, en Angleterre et aux USA.
Ce n’est un secret pour personne que le droit de l’État sioniste à une terre s’appuie sur une loi internationale, une résolution de l’ONU de 1947 sur la répartition de la Palestine, et non pas sur l’origine hypothétique du peuple juif ou sur le pacte mythique d’Abraham avec le Dieu Yahvé ! Cette résolution a été obtenue de force par les Khazars.

Toutes les décisions viennent de New York. La plupart de nous savent qu’il y a plus de juifs à New York qu’à Jérusalem, que New York appartient à des juifs khazars (pas seulement les banques ou la Réserve Fédérale, mais aussi des immeubles, des terrains, des hypermarchés, etc.)
Le Rabbin Stephen Wise nous confirme dans son autobiographie que cette déclaration de Lilienthal est un fait historique. Jusqu’à aujourd’hui les Arabes ont été bafoués et trompés autant qu’il se peut. (Challenging Years, page 186).

Vu sous cet angle, les juifs modernes, les Khazars, sont les plus grands antisémites, car ils torturent les peuples arabes, qui sont les véritables Sémites, en menant des guerres, à travers les banques juives internationales et les magnats du pétrole. Comprenez-vous tout, clairement ? Comprenez-vous que tout ce que vous entendez dans les médias ou que vous regardez, est le contraire de la vérité ?
Aussi la politique sioniste est-elle le fruit du travail des Khazars et non des Hébreux. Celui qui combat les sionistes n’est pas antisémite. Il est au plus antisioniste.

Même le terme Sion a été faussé par les Khazars. Les juifs s’attribuent la montagne Sion comme la montagne où habite le peuple dominateur, ce qui est grotesque. Dans la Nouvelle Bible de Jérusalem, Psaume 48, il est dit : Il est grand le Seigneur, il est comblé de louanges, dans la ville de notre Dieu, sa montagne sainte. Belle et altière, elle réjouit toute la terre. L’Extrême-Nord, c’est la montagne de Sion, la cité du grand roi. Le mot Sion est mal traduit. En hébreu on lit Sion, et on décrit la montagne Sin (sumérien), qui parle de la montagne du Nord – d’après les Templiers (Societas Templi Marcioni), la montagne de minuit, dans l’Allemagne actuelle. Et le Psaume 48 le dit bien : La montagne de Sion se trouve loin dans le Nord !

La plupart des gens en Europe répondraient à la question sur la signification du judaïsme, sans sourciller, que le judaïsme est la religion des juifs, donc leur système de valeurs, leur foi. Ils diraient que c’est la religion de l’Ancien Testament et qu’ils s’appuient sur les enseignements de Moïse. La plupart répondraient dans ce sens, ce qui sonne bien. Malheureusement ce n’est pas la vérité !

Des banques ?
"Donnez moi le contrôle de la monnaie d’une nation, et je me moque de qui fait les lois" ! Amschel Mayer Rothschild (1743-1812)
Les Khasars les plus puissants et les plus célèbres sont les Rothschild, des Talmudistes zélés. 
Voici un petit aperçu de leur histoire :
Moïse Amschel Bauer, un joaillier et cambiste nomade, d’origine khazare, s’établit dans la ville où son fils Mayer Amschel Bauer vit le jour en 1743, à Francfort, en Allemagne. Il accroche une enseigne rouge au-dessus de son magasin, de la rue des juifs, le signe des Khazars. C’est Mayer Amschel qui changea son nom plus tard et prit le nom d’enseigne rouge. Après la mort de Moïse Bauer, Amschel Bauer commence un apprentissage dans la banque Oppenheimer à Hanovre et devient rapidement un junior partner. La pierre angulaire de la richesse de Rothschild est le fait qu’il connaît le général Von Estorff qui, à cette époque, s’occupait de la messagerie de la banque. (De nos jours les liens sont encore très étroits entre la maison Rothschild et la banque Oppenheimer). C’est par lui qu’il devient conseiller proche du prince Guillaume de Hanau. En 1770 il épouse Gutele Schnaper, qui a 17 ans, et fonde une famille de 5 garçons et 5 filles.

Rothschild, agent du marchand de chair humaine Guillaume de Hanau, qui loue ses troupes à tous les gouvernements, élabore les plans pour fonder les Illuminati de Bavière, (d’après les dires de l’officier de renseignements de la marine royale canadienne, William Guy Carr) et désigne Adam Weishaupt pour s’occuper de leur développement. À l’aide d’une somme de 3 millions $, qu’il soutire au prince Guillaume, il décide de développer ses affaires sur une plus grande échelle. Il devient le premier banquier international ! Mayer Amschel lègue cet argent à son fils Nathan, qui gère les affaires de la famille à Londres et qui s’enrichit en prêtant de l’argent au duc de Wellington, quadruplant sa richesse. Fort de cette richesse, les Rothschild ouvrent des succursales à Berlin, Vienne, Paris et Naples, où ils mettent leurs fils aux commandes. Londres a été et reste toujours le siège principal des Rothschild.
Dans le testament de Mayer Amschel il est précisé que toutes les positions clé doivent être occupées par des membres de la famille, et que ceux-ci, pour conserver le patrimoine et la richesse, doivent se marier entre cousins et cousines du premier et deuxième degré.
La règle a été assouplie plus tard, quand d’autres banques juives sont apparues, et que les Rothschild ont marié leurs enfants à ces familles d’élite, pour agrandir la fortune.On sait que les Rothschild étaient des Talmudistes fanatiques, que le contenu du Talmud faisait partie des lectures quotidiennes. Des magiciens de la finance et des fins calculateurs, poussés par un instinct diabolique jusqu’au succès de leurs agissements secrets. C’est ainsi que le biographe Frederic Morton décrit Mayer Amschel et ses cinq fils. Ils n’avaient aucune pitié envers les Goyim (les étrangers) dans tout ce qui touchait leurs affaires. Après leur succès à Waterloo, ils se mirent à la conquête des ÉtatsUnis. Ils perdirent le premier round, quand le président Jackson décida de fermer la Bank of the United States, qu’ils avaient fondée, en mettant son veto. Mais ils ne lâchèrent pas prise. Ils excitèrent la haine des deux côtés pendant la guerre civile américaine de 1861-1865, financèrent les deux côtés à travers leur banques de Paris et de Londres.

En 1914 leurs deux agents principaux, Kuhn Loeb & Co et J. P. Morgan & Co, étaient bien établis aux USA. Jacob Schiff prit le commandement et appuya, à l’aide de ses relations avec les représentants allemands des Rothschild, la banque M. M Wartburg de Hambourg et d’Amsterdam, l’édification de l’empire de Rockefeller, la Standard 011, les chemins de fer d’Edward Harriman, et les aciéries de Carnegie.

En 1907 ils provoquèrent en Amérique la plus importante crise monétaire de cette époque, à travers les banques Kuhn Loeb & Co, J. P. Morgan & Co, et M. M. Wartburg, dont la conséquence fut la création de la banque centrale privée des Rothschild, la Federal Reserve Bank, avec leur agent et collaborateur de Kuhn Loeb & Co, Paul Wartburg à sa tête. (Paul Wartburg était aussi le président de I. G. Farben).

Jacob Schiff était pour les Rothschild le financier et le coordinateur de la révolution bolchevique et le financier personnel des Khazars (Trotzki et ses rebelles), afin de permettre (comme il y a 1000 ans) que les Khazars reviennent au pouvoir en Russie. Nous savons par les plans de Mazzini et de Pike que tout allait comme prévu, et qu’on avait monté de toutes pièces un scénario de guerre froide pour endormir l’opinion publique. On peut affirmer, sans exagérer, que la Russie, l’Armée rouge, appartient aux détenteurs de l’emblème des Khazars, à ceux qui portent son nom, les Rothschild.


Ce n’est que la pointe de l’iceberg des Rothschild. On comprend mieux pourquoi les 85 millions de morts du régime communiste entre 1917 et 1953 ne les ont pas touchés, alors qu’ils ont financé cette révolution. Frédéric Morton nous dit : Aujourd’hui la famille veut donner l’image d’une existence discrète et invisible. Ce qui fait que la plupart des gens croient qu’à part la légende, il ne reste pas grand chose. Les Rothschild sont satisfaits, et se laissent porter par cette légende. (The Rothschild, page 19).

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