On se demande si les responsables politiques français ne continuent-ils pas de courir derrière les islamistes !
Les Frères musulmans ont toujours une bonne longueur d'avance sur eux.
Maîtrisant la culture et le droit français, ils ne cessent de remettre en cause la laïcité et ses règles du vivre ensemble, pour imposer leur model sociétal conforme au wahhabisme qu'ils répandent en France.
En une trentaine d'années, les islamistes ont eu largement le temps pour installer le wahhabisme aussi bien sur tout le terroir, que dans les médias et sur la scène politique française.
Alors le projet de Macron n'arrive-t-il pas un peu tard pour savoir qui doit financer le nouvel islam de France qu'est le wahhabisme ? Les pétromonarques ou les français ?
Qu'est-ce que cela change du moment que le wahhabisme est bel et bien installé en France par la faute des dirigeants de droite comme de gauche qui ont longtemps fermé les yeux par ignorance ou pire par opportunisme, lorsque les pétromonarques ces "amis" de la France, finançaient et soutenaient la propagation du wahhabisme dans les banlieues dites difficiles ?
La véritable question à laquelle Macron doit réponde, est quel islam de France : celui de ses anciennes colonies ou celui qu'exportent les pétromonarques ?
Les Frères musulmans ont toujours une bonne longueur d'avance sur eux.
Maîtrisant la culture et le droit français, ils ne cessent de remettre en cause la laïcité et ses règles du vivre ensemble, pour imposer leur model sociétal conforme au wahhabisme qu'ils répandent en France.
En une trentaine d'années, les islamistes ont eu largement le temps pour installer le wahhabisme aussi bien sur tout le terroir, que dans les médias et sur la scène politique française.
Alors le projet de Macron n'arrive-t-il pas un peu tard pour savoir qui doit financer le nouvel islam de France qu'est le wahhabisme ? Les pétromonarques ou les français ?
Qu'est-ce que cela change du moment que le wahhabisme est bel et bien installé en France par la faute des dirigeants de droite comme de gauche qui ont longtemps fermé les yeux par ignorance ou pire par opportunisme, lorsque les pétromonarques ces "amis" de la France, finançaient et soutenaient la propagation du wahhabisme dans les banlieues dites difficiles ?
La véritable question à laquelle Macron doit réponde, est quel islam de France : celui de ses anciennes colonies ou celui qu'exportent les pétromonarques ?
R.B
Macron envisage
d’amender la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat
Une
réflexion est en cours pour « réduire l’influence étrangère » et
prévenir les dérives intégristes.
Emmanuel Macron
pourrait amender la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat pour
accompagner la restructuration de l’islam de France sur laquelle le chef de
l’Etat planche depuis un an et demi. C’est ce qu’affirme, dans son édition du
lundi 5 novembre, L’Opinion, qui s’est procuré
l’avant-projet. « Il est possible que [la loi de
1905] soit de nouveau amendée », a commenté la ministre
de la justice, Nicole Belloubet, sur France Inter, lundi matin. « La
réflexion est en cours et nous ne faisons pas de commentaire à ce stade », précise-t-on
à l’Elysée.
Face à la poussée de l’intégrisme islamiste, le gouvernement veut adapter
la loi de 1905. « Les objectifs sont de responsabiliser les
gérants des lieux de culte, de prévenir les dérives et de réduire l’influence
étrangère », confie un conseiller du président à L’Opinion.
Pour cela, le projet à l’étude prévoit de créer une « qualité
cultuelle » des associations, qui leur conférerait de nouveaux
droits mais aussi de nouveaux devoirs. Avec l’idée que ce statut soit
suffisamment incitatif pour convaincre les associations cultuelles de
l’adopter.
Aujourd’hui, elles sont quelque 4 000 qui relèvent du statut de la loi
de 1901, assorti de certaines caractéristiques leur permettant d’être régies
par la loi de 1905 et donc de bénéficier des avantages fiscaux qui y sont liés.
Mais, notamment dans le culte musulman, certaines structures préfèrent rester
sous le régime général de 1901, et s’épargner ainsi les obligations de
transparence assorties.
Diversifier les ressources
Au cœur de la réforme voulue par l’Elysée, l’argent. Le gouvernement
envisage en effet de permettre aux futures associations cultuelles de « posséder
et administrer » des immeubles affectés au culte pour en tirer
des revenus locatifs. Des ressources propres qui favoriseraient leur autonomie
financière. L’exécutif avait déjà tenté de faire passer cette mesure dans un
article de la loi sur le droit à l’erreur mais y avait renoncé devant les
réticences de sa majorité parlementaire en janvier. Autre bouffée d’oxygène
pour les associations cultuelles : elles pourraient à l’avenir recevoir
des aides de l’Etat « pour réparations et rénovation
énergétique », alors qu’elles n’ont aujourd’hui accès à aucune
subvention publique.
En diversifiant les ressources de ces associations, l’exécutif veut limiter
l’influence étrangère sur le sol français. Le texte prévoit pour ce faire
qu’elles soient soumises à de nouvelles obligations en matière de transparence
financière. Il prévoit aussi que l’administration puisse s’opposer à tout
apport supérieur à 10 000 euros (qui doit lui être notifié), et
ce « aux fins d’assurer le respect de l’ordre public et de la
sécurité publique ». Il s’agit, précise la note, de « réduire
les capacités d’influence et de mainmise d’acteurs étrangers étatiques, paraétatiques
et privés ».
L’exécutif travaille également à une disposition « antiputsch » qui
doterait les associations d’un bouclier juridique contre les « prises
d’intérêt inamicales », selon l’avant-projet cité par L’Opinion.
Il veut également étoffer les pouvoirs de la police des cultes, en réprimant
plus fortement les infractions des prédicateurs.
La réforme de la loi de 1905 serait la première étape de la réorganisation
de l’islam de France, notamment avec son volet sur la formation des imams, sur
lequel se penche Emmanuel Macron. Le chef de l’Etat a beaucoup consulté depuis
un an et demi. Et il semble que son opinion ait été amenée à évoluer.
« La place de l’islam, deuxième religion pratiquée dans la France
contemporaine, n’appelle pas une révision de la loi de 1905, qui a posé les
bases de la laïcité à la française », était-il écrit dans le programme
du candidat d’En marche ! Le 11 février, dans un entretien au Journal
du dimanche, le président ne l’excluait plus. Aujourd’hui, il franchit
une nouvelle étape. Il devrait présenter sa vision globale sur le sujet en
janvier 2019. Pour une réforme en début d’année.
Lire aussi :
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Macron veut un « débat dépassionné » sur la laïcité
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