jeudi 30 août 2018

L'islamisme fait le lit du populisme en Europe, aussi !


D'avoir flirté avec les pétromonarques et tolérer qu'ils exportent le wahhabisme en Europe aussi, les européens découvrent les conséquences des choix politiques de leurs dirigeants aussi bien de droite comme de gauche, avec le flux migratoire incessant en provenance des pays déstabilisés par le wahhabisme financé par les pétromonarques, ces pompiers pyromanes auxquels l'Occident s'est allié pour faire la guerre au terrorisme islamiste !
Voilà la conséquence de leur politique suiviste derrière les EU qui ont réactivé le wahhabisme pour contrer la progression du communisme en Afghanistan, livrant au chaos les républiques "arabo-musulmanes", persuadés qu'il restera cantonné chez les "arabes" et ne touchera pas l'Occident !
Emigrants souvent imprégnés par le wahhabisme qui sévit chez eux depuis la chute du mur de Berlin, autrement dit depuis que l'Oncle Sam a donné le feu vert aux Ibn Saoud de diffuser le wahhabisme à grande échelle pour neutraliser le communisme et prendre sa place dans les pays de l'ex pacte de Varsovie.
En fuyant la dictature religieuse et la misère qu'elle a accentuée, les émigrants, souvent des jeunes n'ayant connu que le wahhabisme qui a supplanté les obédiences traditionnelles de leurs parents, importent avec eux le seul model sociétal qu'ils ont connu chez eux et qui va avec, celui des pétromonarques; et en seront le vecteur en Europe. 
R.B
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Face à la montée évidente de ceux que l’on qualifie de « populistes » et qui se montrent hostiles à l’immigration et à l’Europe actuelle, j’ai voulu faire le point pour moi-même.
La première chose à examiner c’est ce phénomène de plus en plus répandu d’hostilité forte à l’immigration en réfléchissant sur les raisons de cette hostilité.

Il est tout d’abord simpliste et faux de dire que cette hostilité est fondée sur le racisme ou sur une prétendue islamophobie. Ces deux vocables sont totalement inappropriés même si une petite partie des opposants est sans doute raciste et ou islamophobe. La majorité des opposants ne peut être ainsi qualifiée.

Quels sont donc les ressorts de cette opposition ?
Il y a au moins deux réponses assez évidentes.

La première c’est que sous l’effet de l’idéologie islamiste (en réalité le Wahhabisme et la doctrine mortifère des Frères musulmans) une grande partie des immigrés est devenue hostile aux valeurs de l’occident et, en réalité, aux valeurs universelles des droits de l’homme qu’elle ne cesse de combattre.
Cette diffusion du Wahhabisme et des Frères musulmans dans une partie de la société (par la télévision satellitaire, par des prêcheurs venus d’ailleurs) a entraîné de fait, depuis près de vingt ans, une division majeure dans la société.
Or il est clair et, seul les aveugles ne s’en rendent pas compte, que cette idéologie est mortifère et s’attaquent insidieusement aux valeurs des pays occidentaux sans réaction sérieuse de ces pays pendant des années.

Le second événement qui a donné un coup d’accélérateur à l’opposition des peuples est, évidemment, le développement spectaculaire de l’immigration sauvage. On peut discuter, à perte de vue, sur les responsabilités de l’Occident dans cette immigration (et cette responsabilité est évidente en raison des guerres menées), il n’en demeure pas moins que ce phénomène amène dans les pays européens des personnes, ce qui ne serait pas un problème en soi (l’Europe a la capacité et quelques fois le besoin d’immigration) ; mais qui en est un de manière certaine dans la mesure où ces nouveaux arrivants sont en grande partie des personnes qui ne veulent pas adhérer pleinement aux valeurs de l’Europe et qui sont sensibles l’idéologie islamiste mortelle depuis que le wahhabisme a pénétré leur société.

Ces raisons évidentes ne permettent donc pas de traiter tous les opposants à cette immigration et à l’islamisme, de racistes.
Un pays ou un groupe de pays n’a-t-il pas le droit de défendre sa façon d’être et de vivre ? La réponse est évidemment oui.
Quand on a ainsi mis en évidence les raisons de l’hostilité à cette immigration on doit se dire qu’il appartient aux gouvernants d’en tenir compte, sans jeter l’anathème sur les opposants.
A défaut, les gouvernants manquent à leur devoir car ils laissent se créer une société très divisée et donc faible et en danger. En accusant de racisme les opposants sans raison vraie, ils favorisent en réalité la montée d’un vrai racisme et de la violence.

Il semble que de plus en plus cette analyse est adoptée et je citerai comme exemple d’une part la naissance en Allemagne d’un parti socialiste prônant cette attitude alors que jusqu’ à présent la gauche était plutôt dans la condamnation des mouvements opposés à l’immigration et, d’autre part, la réaction du Danemark décidé à lutter fermement contre les ghettos islamistes, tout comme les suédois qui envisagent de réviser leur politique de l’immigration face à l’échec d’intégration des nouveaux immigrants en provenance d’Irak, de Syrie et autres pays touchés par "les guerres contre le terrorisme" que mènent l'Occident avec ses alliés péromonarques.

Pour être complet, admettre cette nécessité absolue de lutter avec force contre l’islamisme et contre une immigration non respectueuse de nos valeurs, ne justifie pas, pour autant, les partis nationalistes qui, non seulement luttent contre cette situation et ils ont raison, mais vont au-delà en violant, eux-mêmes, les valeurs de l’Europe en s’éloignant des valeurs démocratiques.

Il est donc clair que la solution est de lutter très fermement contre l’islamisme et d’exiger des immigrés le respect de nos valeurs sauf à laisser libre cours et finalement la victoire à des nationalistes qui tueront la démocratie.

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