Pendant que l'islamisme s'installe en
France avec son cortège de terrorisme, les responsables politiques continuent à
le distinguer de l'islamisme modéré ...
Comme s'ils ne savaient pas que le
wahhabisme fonde tous les islamismes !
Comme s'ils ignoraient que la Tunisie
détient le triste record de premier exportateur de terroristes dans le monde,
depuis que les Frères musulmans détiennent le pouvoir, soutenus par l'UE &
les EU !!
Le
bistrot "le Ca. Rillon" a été attaqué pour ce qu'il représente.
R.B
" Il y a beaucoup de causes pour lesquelles je suis prêt à mourir, mais aucune pour laquelle je suis prêt à tuer " !
GANDHI
« Parce qu’ils n’aiment personne, ils croient qu’ils aiment dieu »
Charles Péguy
Je reste incrédule, un peu paralysé, et profondément choqué par ce qui s’est déroulé hier soir à Paris et au Carillon en particulier. En écho au beau post de Vincent avec qui j’y ai partagé quantité de bons moments, pour ceux qui se demandent ce que pouvait bien représenter ce lieu et pourquoi il a été délibérément ciblé (parce que je suis convaincu que c’est le cas), je vais tenter une explication.
Le Carillon c’est ce petit bar de quartier en bas de la maison, dans le 10e
arrondissement, à l’intersection des rues Bichat et Alibert. La famille
d’Amokrane (papi Amo pour les intimes), émigre de Kabylie après-guerre. comme
beaucoup d’algériens de l’époque, elle reprend l’exploitation de ce «
café-hôtel » typique : le café et sa terrasse en bas, les chambres meublées
au-dessus, principalement louées aux hommes seuls qui viennent chercher du
travail en France.
A
l’époque, le 10ème arrondissement est encore un quartier très populaire,
composé d’ateliers, de manufactures, etc.
Les
années passent, l’hôtel ferme, la démographie du quartier change profondément
et les anciens ateliers se reconvertissent pour accueillir la nouvelle
"creative class" (oui, boboland, c’est ici).
Le
Carillon, lui, demeure le même bar de quartier, authentique, dans son jus, à
mi-chemin entre le PMU et le café branché, avec son vieux comptoir en cuivre et
son carrelage d’époque en mosaïque.
Le « Ca.
Rillon » précisément, si on respecte ce qui est écrit sur l’enseigne. On n’a
jamais su si c’était une erreur d’impression ou un jeu de mot un peu pourri,
mais à chaque fois nous y rions, précisément.
Les
chaises sont parfois cassées, les canapés complètement déglingués, le vin pique
un peu, les rhums arrangés te saoulent en 2mn et les toilettes ne ferment plus,
mais c’est aussi ce qui rend le Carillon attachant.
Je manque
à chaque fois de m’asseoir sur « cha-mourai » (oui, le jeu de mot est ici une
profession), plus sacré que le patron, et l’une des figures les plus
importantes du quartier (avec Augustin Legrand, la Cantona de Pink Flamingo aux
8 fromages - oui, 8 - et les bo-buns du petit Cambodge, juste en face, qui a
été attaqué dans la foulée).
Mais on
n’y vient pas pour ça. On y vient et on y revient parce qu’on s’y sent bien, au
gré de l’ambiance qui s’adapte selon le moment de la journée. A l’ouverture on
y croise les derniers ouvriers du quartier qui avalent leur café, plus tard on
peut y lire un livre ou travailler sur son ordinateur en écoutant FIP, puis à
partir de 18h on y retrouve ses potes pour un verre.
Personne
ne connait vraiment les horaires de l’happy hour, qui peuvent changer selon
l’humeur du patron, mais de toute façon on y sert déjà les bières les moins
chères de Paris.
Et on y
revient surtout pour le melting-pot qu’il invente : c’est sans doute l’un des
derniers endroits près du canal où les riches et les moins riches, les
historiques du quartier et les nouveaux bobos récemment installés, les gays et
les hétéros, les jeunes et les plus vieux, les petits rebeux et les babtou
comme moi, de toutes les religions et les origines se retrouvent et coexistent.
Un vrai
lieu de convivialité où j’ai préparé mes concours, où il m’est arrivé de
regarder des matchs de foot une bière à la main (true story), où Vincent
parlait politique et faisait campagne entre 3 mauresques, où maxime montait sur
la table pour faire chanter toute la terrasse en l’honneur de son anniversaire,
pendant que Valentin arrivait en pyjama rayé nous présenter ses nouveaux chiens
(le dernier s’appelle Domino).
Et même
si je me faisais parfois gronder pour être capable de ruiner le chiffre
d’affaire d’une soirée entière en neutralisant la machine à carte que j’avais
fait tomber dans l’évier (true story 2), qu’on insistait pour passer derrière
le bar et passer notre musique, et que Valentin oubliait toujours de payer ses
bières, cela se finissait toujours autour de quelques shots gratuits servis par
la meilleure famille de serveurs de Paris (tous cousins!)
Et en
l’espèce, qui ne faisait pas que nous servir, mais animait aussi la vie de
quartier et était venu me sauver en pleine nuit, balai à la main, alors que je
me faisais tabasser rue Bichat.
Autrement
dit, le Carillon c’était d’abord un lieu qui incarnait pour ces fanatiques tout
ce qu’ils exècrent : une certaine idée de la vie. Celle qui consiste à prendre
le temps de boire un café en terrasse, de lire, de rire, de partager une
bouteille de vin avec des amis avec qui on ne partage pas forcément les mêmes
orientations (religieuses, sexuelles, politiques), de fumer, d’écouter de la
musique.
Le
carillon, c’était ça. C’était le 10e, le Goncourt et le Belleville qu’on aime.
une certaine idée du vivre-ensemble comme l’écrivait Vincent.
« Parce
qu’ils n’aiment personne, ils croient qu’ils aiment dieu » écrit Péguy :
pendant ce temps-là, quelques autres, une minorité égarée, de la même
génération que la nôtre, peut-être nés à quelques rues de là et avec qui
certaines victimes avaient peut-être partagé la même cour d’école à Belleville
(je n’en sais rien), aveuglée et manipulée, prenait une autre trajectoire bien
plus obscure, guidée par la haine d'un mode de vie, d'une civilisation, de
valeurs, bref de tout ce qu’incarnait et représentait symboliquement le
Carillon.
Voilà,
c’était ça le Carillon. J’espère qu’il rouvrira vite, qu’on retournera leur
montrer en terrasse, là où on était encore avant-hier, là où on aurait
normalement du être hier soir avant de changer d’avis, et là où sont morts 14
personnes et amis, qu’ils ne gagneront pas.
En
attendant, on pense fort à Amo, à Hassen, à Ali, à Tarek, à tous les amis, à
tous les autres.
Putain, qu’est ce que je suis triste !
En mémoire du 13 novembre
Les habitants du quartier de la rue Bichat & de la rue Marie et Louise, rendent
hommage aux victimes en accrochant des petits drapeaux de la terre à la lune !
hommage aux victimes en accrochant des petits drapeaux de la terre à la lune !
13.01.2016 : réouverture du Carillon
Après les attaques, l’université compte ses morts.
RépondreSupprimerhttp://www.lemonde.fr/attaques-a-paris/article/2015/11/15/apres-les-attaques-l-universite-compte-ses-morts_4810438_4809495.html
La Turquie, Etat voyou et maître chanteur de l’Union Européenne
RépondreSupprimerhttp://arretsurinfo.ch/la-turquie-etat-voyou-et-maitre-chanteur-de-lunion-europeenne/
Raphaël Glucksmann :
RépondreSupprimerNon, le massacre de 130 filles et garçons à des terrasses de café ou dans une salle de concert n'est pas une "réponse" à une politique étrangère qu'on peut par ailleurs critiquer ou soutenir.
Non, le meurtre d'enfants juifs dans une école en France n'est pas une "réaction" à la politique du Likoud.
Non, massacrer une salle de rédaction n'est pas une "protestation violente" contre des caricatures.
Ces actes ignobles sont les produits d'une idéologie fanatique qui ne réagit pas simplement à X ou Y, mais qui agit sur le monde.
Et qu'il faut combattre.
Cela ne doit pas nous empêcher évidemment de critiquer telle ou telle politique.
Mais rien dans ces attentats ne "s'explique" par telle ou telle politique étrangère. Quoique disent les terroristes au moment de commettre leurs massacres.
Thierry, Lola, Caroline, Halima, Maxime,...:130 coups de poignard dans le cœur de la France.
Cette fois-ci: ne pas oublier, ne jamais zapper. Pas comme après Merah, pas comme après les 7 et 9 janvier.
D'autres crises, d'autres drames feront bientôt la une des médias, mais nous devons tous continuer à penser, parler, agir à partir du gouffre dans lequel nous avons collectivement sombré vendredi 13.
Des jeunes français ont massacré des jeunes français au nom d'une idéologie qui rejette tout ce que nous sommes/voulons être et qui, pourtant, se développe ici, chez nous: toutes les élections et tous les événements à venir sont secondaires par rapport à cette vérité atroce que nous devons tous explorer douloureusement.
Ne pas trahir les victimes, c'est d'abord ne pas passer à autre chose.
Continuer à vivre, oui, résister par et pour la vie, mais ne pas passer à autre chose.
À partir du 13.01.2016, vous pourrez aller trinquer au Carillon !
RépondreSupprimerhttp://huff.to/1Q1TELF
LE JOUR J : INAUGURATION DU CARILLON !
RépondreSupprimerJean Pierre Ryf :
En cette fin d’après midi nous avons été à la réouverture du Carillon, ce petit café où furent tués tant de jeunes en novembre : du monde, des télévisions, des photographes et de l'émotion partout.
Nous y sommes repassés le soir pour promener le chien. Il y avait une foule considérable et tous ces jeunes gens entassés dans le bar, débordants sur les trottoirs et sur la rue, un verre à la main, dans un climat amical et convivial était bien le signe de la victoire sur la barbarie.
Les jeunes tueurs étaient maintenant dans le néant et, il m'arrivait de l’espérer sans y croire, ils avaient été chassés avec perte et fracas du paradis et jetés en enfer par un Dieu très en colère et, en tous cas eux et leurs criminels inspirateurs avaient perdu.
Je suis rentré avec de la tristesse en pensant à tous ces jeunes partis et qui ne pouvaient plus être là; et de joie pour cette renaissance et cette victoire, un sentiment mêlé que seule, sans doute, la musique pourrait restituer.
J'ai caressé la tête de mon chien symbole de l'innocence.
Antoine Leiris : “Vous n’aurez pas ma haine”
RépondreSupprimer16 novembre 2015,
Vendredi soir vous avez volé la vie d’un être d’exception, l’amour de ma vie, la mère de mon fils mais vous n’aurez pas ma haine. Je ne sais pas qui vous êtes et je ne veux pas le savoir, vous êtes des âmes mortes. Si ce Dieu pour lequel vous tuez aveuglément nous a fait à son image, chaque balle dans le corps de ma femme aura été une blessure dans son cœur.
Alors non je ne vous ferai pas ce cadeau de vous haïr. Vous l’avez bien cherché pourtant mais répondre à la haine par la colère ce serait céder à la même ignorance qui a fait de vous ce que vous êtes. Vous voulez que j’ai peur, que je regarde mes concitoyens avec un œil méfiant, que je sacrifie ma liberté pour la sécurité. Perdu. Même joueur joue encore.
Je l’ai vue ce matin. Enfin, après des nuits et des jours d’attente. Elle était aussi belle que lorsqu’elle est partie ce vendredi soir, aussi belle que lorsque j’en suis tombé éperdument amoureux il y a plus de 12 ans. Bien sûr je suis dévasté par le chagrin, je vous concède cette petite victoire, mais elle sera de courte durée. Je sais qu’elle nous accompagnera chaque jour et que nous nous retrouverons dans ce paradis des âmes libres auquel vous n’aurez jamais accès.
Nous sommes deux, mon fils et moi, mais nous sommes plus fort que toutes les armées du monde. Je n’ai d’ailleurs pas plus de temps à vous consacrer, je dois rejoindre Melvil qui se réveille de sa sieste. Il a 17 mois à peine, il va manger son goûter comme tous les jours, puis nous allons jouer comme tous les jours et toute sa vie ce petit garçon vous fera l’affront d’être heureux et libre. Car non, vous n’aurez pas sa haine non plus.
https://fr-fr.facebook.com/antoine.leiris/posts/10154457849999947
Vous n'aurez pas ma haine : le film
SupprimerAprès avoir perdu sa femme dans les attentats du 13 novembre 2015, un jeune homme écrit un texte poignant, qui résonnera dans le monde entier...
Avec Pierre Deladonchamps et Camélia Jordana, une émouvante adaptation du roman autobiographique d’Antoine Leiris.
Le 13 novembre 2015, le monde d’Antoine Leiris s’écroule : des terroristes islamistes abattent 90 personnes assistant à un concert au Bataclan, à Paris. Hélène, son épouse, compte parmi les victimes.
Le journaliste culturel se retrouve alors seul avec son fils Melvil, âgé de 3 ans. Si l’idée d’un monde sans elle lui est insupportable, quelques jours après le drame, il adresse sur Facebook une lettre ouverte aux assassins de sa femme, qui devient virale.
https://www.arte.tv/fr/videos/094434-000-A/vous-n-aurez-pas-ma-haine/
UN TUNISIEN EST A L'ORIGINE DE L'ATTENTAT DE NICE !
RépondreSupprimerLa Tunisie a supplanté le Pakistan; puisqu'elle détient le triste record en devenant première exportatrice de terroristes !!
Terrorisme introduit et développé en Tunisie sous gouvernement de la troïka que dominaient les Frères musulmans, dont l'islamisme modéré séduit tant les EU & l'UE; puisque leurs dirigeant le vantent et veulent l'imposer aux tunisiens !!!
Combien d'attentats faudra-t-il aux dirigeants français pour cesser de raconter des histoires aux tunisiens et d'empêcher l'invasion du wahhabisme qui fonde tous les islamismes de se rependre aussi bien en France qu'en Tunisie ?
Il serait temps pour les Français de dire STOP à la supercherie de leurs dirigeants ... et d'aider les progressistes tunisiens pour se dégager de la pieuvre islamiste qui les étrangle avec la bénédiction de leurs irresponsables au pouvoir ... s'ils ne veulent pas qu'un foyer pour terroriste s'installe à leur porte en Tunisie !!
http://www.lemonde.fr/police-justice/live/2016/07/15/en-direct-plusieurs-morts-a-nice-apres-qu-un-camion-a-fonce-sur-la-foule_4969598_1653578.html
LA FRANCE : L'ARROSEUR ARROSÉ ?
RépondreSupprimerPuisque ses dirigeants ont fait de l'industrie d'armement une priorité ... pour pomper les pétrodollars de leurs amis pétromonarques !
Nora Essafi :
Hier soir au 20 h sur France 2, le présentateur rappelait que :
" La France deuxième au rang des ventes d'armement au monde. " !
Le massacre de Nice n'avait pas encore eu lieu.
Il y a bien des pays qui ont les moyens de les acheter tels que le Qatar et les Ibn Saoud pour ensuite les utiliser dans des guerres sanglantes qui déstabilisent des régions entières de la planète et qui tuent des civils, femmes et enfants ...
Le monde entier est inondé d'armes licites et illicites !
Manipuler des tueurs : rien de plus simple; Les islamistes maîtrisent bien l'affaire.
Ces tueurs n'ont plus de nationalité ...
Peut être faudrait-il commencer par remettre en question les fondements de ces économies d'un Occident dont l'armement constitue le nerf de son pseudo-développement !
Il suffit de faire un tour dans Belleville, Barbés et autres quartiers dits "chaud" à Paris pour voir la multiplication des lieux de culte ouverts au publics dans les immeubles même et d'où sortent des salafistes reconnaissables à leur déguisement ... et ce au vu et au su de tous, police comprise !
RépondreSupprimerSi on prétend combattre le terrorisme, il faut commencer par interdire et surveiller de tels lieux où se propagent le wahhabisme qui fonde le salafisme "moderne" et où se forment les futurs terroristes !!
Or Hollande et Valls disent déclarer la guerre au terrorisme !
Mais que font-ils pour tarir sa diffusion sur le territoire français et en Tunisie devenue 1er exportateur de terroristes ?
RIEN ! Sinon permettre aux Frères musulmans de poursuivre leur "travail d'islamisation de la société", aussi bien en France qu'en Tunisie !!!
NICE : UN ATTENTAT QUI EN RAPPELLE D'AUTRES ... D'UN DEUIL, L'AUTRE, JUSQU'A QUAND ?
RépondreSupprimerEt que font les responsables politiques ? Ils sont toujours à coté de la plaque; puisqu'ils pensent que la solution est d'ordre sécuritaire !!
Alors qu'il doivent savoir que la France produit ses propres terroristes qui se recrutent dans les écoles coraniques et les lieux de cultes dominés par les salafistes ... et qui poussent comme des champignons, comme en Tunisie !!!
Il suffit de fermer ces lieux et de contrôler la diffusion du wahhabisme en France pour tarir la source de l'islamisme en France ... et surtout d'aider les progressistes des pays "arabes" à dégager les Frères musulmans plutôt que de les soutenir en France et en Tunisie pays devenu 1er exportateur de terroriste par la faute de Ghannouchi !!!!
ATTENTAT DE NICE
RépondreSupprimerAxel Kahn :
Un 14 juillet, c'est la République française et sa devise, Liberté, Égalité, Fraternité, qui sont visés par le fanatisme et la barbarie.
CERTAINS TENTENT DE TROUVER DES EXCUSES AU TERRORISTE DE NICE : problèmes psychologiques, affectifs, pauvreté et misère ...
RépondreSupprimerCela ne justifie pas le passage à l'acte du terroriste !
Les troubles psychologiques, dus à la misère affective ou à la misère tout court, on les retrouve dans bien d'autres sociétés encore plus pauvres comme dans le favelas au Brésil ... sans que pour autant elles n'en fassent des terroristes !
Le passage des extrémistes au terrorisme, fait suite à l'endoctrinement au wahhabisme cette doctrine néo-salafiste, mortifère et nihiliste qui est en train d'envahir le monde à travers les lieux de cultes, les écoles coraniques qui poussent comme des champignons partout dans le monde, souvent financés par les pétromonarques ....et qui fonde tous les islamismes de notre époque !!
Tous les extrémistes qui deviennent kamikaze du jour au lendemain, obéissent à un chef qui instrumentalise la religion jusqu'à leur faire croire que c'est le prix à payer pour rejoindre le paradis et ses rivières où coulent vin et miel, où les attendent des houris éternellement vierges ...
Jouant de la foi et du sacré auprès des personnes fragiles psychologiquement, les islamistes, comme dans les sectes, savent l es repérer pour les enrôler dans leur guerre en vue de la restauration du Califat !
Les islamistes recrutent plus facilement parmi les délinquants et les repris de justice auxquels ils redonnent l'espoir d'une meilleure vie ... dans l'au-delà !!
http://latroisiemerepubliquetunisienne.blogspot.fr/2012/07/le-wahhabisme-systeme-politique.html
CURIEUX HOMMAGE AUX VICTIMES DES TERRORISTES !
RépondreSupprimerQue ce soit en France ou en Tunisie, lors des hommages aux victimes du terrorisme islamiste, on voit beaucoup de femmes voilées portant foulard, hijab et autres accoutrements connotés islamistes comme pour mieux narguer les parents et amis des victimes !
Savent-elles seulement que leurs accoutrements ne sont rien d'autres que les étendards des islamistes ?
Alors venir à de tels hommages brandissant l'étendard des criminels est choquant et insultant pour la mémoire des victimes de l'islamisme !
Un peu de décence et de respect pour les victimes !
Ces femmes peuvent dispenser les proches des victimes de leur prétendue solidarité !!
Car on ne peut soutenir à la fois l'assassin et sa victime.
LE CARILLON : La solidarité ... en hommage aux victimes du Carillon !
RépondreSupprimerEst un projet solidaire qui s'appuie sur les particuliers et commerçants
d'un quartier afin de soutenir les personnes à la rue.
http://www.lecarillon.org/
http://www.20minutes.fr/paris/1771551-20160122-paris-carillon-reseau-commercants-11e-engage-plus-demunis
Etienne Cardiles, compagnon du policier assassiné sur les Champs-Elysées : «Veillons à la paix»
RépondreSupprimerEtienne Cardiles, cite Antoine Leiris : " Vous n'aurez pas ma haine " !
http://www.liberation.fr/france/2017/04/25/etienne-cardiles-compagnon-du-policier-assassine-sur-les-champs-elysees-veillons-a-la-paix_1565253
CURIEUSE INVITATION A L'HOMMAGE DE NICE AUX VICTIMES DU TERRORISTE, CET ENFANT DE GHANNOUCHI !
RépondreSupprimerComme la ville de Nice est jumelée avec Sousse, le maire de Nice a invité son gouverneur pour l’associer à l'hommage aux victimes, d'autant que figuraient parmi les victimes beaucoup de tunisiens.
Ce personnage a dû faire honte à beaucoup de tunisiens pour son français approximatif comme il a du choquer bon nombre d'entre eux de voir le sceau de l'obscurantisme sur son front, comme un pied de nez des islamistes tunisiens, aux français !!
http://www.businessnews.com.tn/lintervention-du-gouverneur-de-sousse-a-lelysee-tres-critiquee,520,73630,3