La messe est dite. Les islamistes ont tous les leviers du pouvoir en Tunisie. Ghannouchi n'a reculé devant rien pour les obtenir. Ruse, triche, combine, manipulation, corruption, terrorisme, assassinats, instrumentalisation de l'ISIE *, de la HAICA **, de la Justice. Il s'est comporté comme il n'a cessé de le faire depuis son retour de son exil doré londonien, comme s'il était au-dessus des lois, celles de la République I, d'avant la fumeuse révolution mais aussi de celles de la République II et de sa constitution islamiste ! En somme un dictateur a remplacé un autre dictateur.
Et quant au peuple tunisien, il a prouvé une fois de plus son immaturité pour la démocratie !
Et vogue la galère islamiste aux portes de l'Europe, soutenue par l'UE. Pour combien de temps ? Sûrement pour de nombreuses générations !
Les peuples en fin de compte, ont toujours les gouvernants qu'ils méritent.
Si la providence a envoyé aux tunisiens un Bourguiba pour libérer et construire la Tunisie nouvelle, il faudra aux tunisiens attendre à nouveau l'homme providentiel pour préserver leur indépendance et leurs acquis; puisqu'ils s’avèrent incapables de diriger la Tunisie.
Si la providence a envoyé aux tunisiens un Bourguiba pour libérer et construire la Tunisie nouvelle, il faudra aux tunisiens attendre à nouveau l'homme providentiel pour préserver leur indépendance et leurs acquis; puisqu'ils s’avèrent incapables de diriger la Tunisie.
Pour moi la Tunisie a perdu. Elle va continuer sa régression et son mouvement vers le sort de tous ces pays arabo-musulmans qui, riches ou pauvres, sont des pays sous-développés auxquels pan-islamistes & pan-arabistes s'obstinent à la rattacher; contrairement à Bourguiba qui voulait la rattacher à l'Europe, convaincu que la Tunisie a vocation à en faire partie par sa position géographique mais aussi pour son histoire commune avec elle.
J'ai milité pendant huit ans pour essayer de tourner ce pays vers la modernité. J'ai, avec beaucoup d'autres, complètement échoué.
Si mon père a beaucoup espéré du congrès du PSD de 1971, comme du changement du 7 novembre 1987; il a quitté ce monde sans avoir connu ce pourquoi il avait sacrifié sa jeunesse dans la résistance : la liberté et la démocratie. Tout comme lui , j'ai cru moi aussi aux promesses de Ben Ali en 1987 et espéré beaucoup de la "révolution" de 2011, mais tout autant que lui je déchante. Comme disait mon père : "On n’emmène pas les gens enchaînés au paradis" !
Désormais, je suivrai de loin en loin le sort de mon pays et je garderai toujours, au fond de moi un espoir.
Le libérateur du peuple palestinien, arrive, il s'installe à Carthage ... les tunisiens attendront celui qui les libérera des complexés de l'Histoire !
R.B
Le libérateur du peuple palestinien, arrive, il s'installe à Carthage ... les tunisiens attendront celui qui les libérera des complexés de l'Histoire !
R.B
* Instance Supérieure Indépendante pour les Élections
** Haute autorité indépendante de la communication audiovisuelle
** Haute autorité indépendante de la communication audiovisuelle
Ainsi, Kaïs Saeïd, vient d’être élu, sans surprise
aucune, président de la Tunisie.
Pour comprendre le résultat de cette élection, aux dés
pipés, et tronquée, il convient de revenir un peu en arrière.
Au mois de juin, pressentant que le magnat de la télévision,
Nabil Karoui, était en tête des sondages, le premier ministre, Chahed, qui se
voyait, et se voulait, unique successeur du vieux Béji, fait modifier la loi
électorale pour barrer la route à tous les adversaires politiques qui
pourraient le gêner dans sa course vers Carthage.
Ce traficotage de la loi électorale, à
la veille des élections, suscite un tollé parmi la classe politique. Et le
vieux Béji refuse de promulguer la loi, juste avant de passer l’arme à gauche.
La campagne électorale s’ouvre donc avec la présence des candidats « indésirables ».
La campagne électorale s’ouvre donc avec la présence des candidats « indésirables ».
Le premier ministre, ne pouvant faire
prévaloir la loi pour éliminer son adversaire, va utiliser la justice pour le
mettre hors d’état de nuire.
Le 23 août, Nabil Karoui est arrêté à la
suite d'un mandat d'arrêt produit par la chambre d'accusation de la cour
d'appel de Tunis.
24 candidats sont retenus pour le premier tour des présidentielles qui se tiennent le 15 septembre.
Le vote est marqué par une très forte abstention, et le résultat balaye toutes les figures historiques du paysage politique, laissant en lice deux candidats, atypiques : Nabil Karoui et Kaïs Saïed.
24 candidats sont retenus pour le premier tour des présidentielles qui se tiennent le 15 septembre.
Le vote est marqué par une très forte abstention, et le résultat balaye toutes les figures historiques du paysage politique, laissant en lice deux candidats, atypiques : Nabil Karoui et Kaïs Saïed.
Le premier est un homme d’affaires
médiatique, qui a connu son chemin de Damas, à l’issue de la mort de son fils,
et s’est mué en une sorte de mère Theresa, jurant d’en finir avec la pauvreté
dans le pays.
Le second est un enseignant de droit, à la retraite, que l’on dit intègre, mais qui n’a pas pipé mot durant les vingt années de dictature. Illuminé, sans charisme, et archaïque en diable, il va prendre, au fil de la campagne, l’allure d’un Messie rédempteur qui va, aux dires de beaucoup, laver la Tunisie de tous ses péchés. Amen !
Le second est un enseignant de droit, à la retraite, que l’on dit intègre, mais qui n’a pas pipé mot durant les vingt années de dictature. Illuminé, sans charisme, et archaïque en diable, il va prendre, au fil de la campagne, l’allure d’un Messie rédempteur qui va, aux dires de beaucoup, laver la Tunisie de tous ses péchés. Amen !
La mise à l’écart de Nabil Karoui, de
manière illégale, comme l’a constaté cette semaine la Cour de Cassation, va fausser
le jeu démocratique, et pourrir foncièrement le climat des élections.
Ce qui est étrange, c’est qu’aucune enquête n’a été diligentée à ce jour, pour faire la lumière sur cette manœuvre dilatoire et d’en condamner les initiateurs.
Ce qui est étrange, c’est qu’aucune enquête n’a été diligentée à ce jour, pour faire la lumière sur cette manœuvre dilatoire et d’en condamner les initiateurs.
Les élections législatives organisées
dans la foulée consacrent l’éclatement, on parlera même de balkanisation, du
paysage politique.
Le Parti Islamiste Ennahdha arrive en tête après avoir perdu pas mal de plumes dans la bataille. Et les salafistes, du parti, très daechien, al Karama, décrochent 21 sièges au Parlement.
La gauche boit la tasse et disparaît corps et biens, victime de ses propres dissensions et ses luttes fratricides.
Le Parti Islamiste Ennahdha arrive en tête après avoir perdu pas mal de plumes dans la bataille. Et les salafistes, du parti, très daechien, al Karama, décrochent 21 sièges au Parlement.
La gauche boit la tasse et disparaît corps et biens, victime de ses propres dissensions et ses luttes fratricides.
Les élections législatives, loin d’enclencher une révolution, amorcent en fait une régression profonde, et livrent, une fois de plus, le pays aux islamistes qui jubilent à l’idée de tourner à jamais la page du mandat de Béji Caïd Essebsi, qui avait fait rêver, malgré lui, d’égalité d’héritage, d’abolition de la peine de mort et de dépénalisation de l’homosexualité.
Adieu, veaux, vaches.
Pour achever cette déconfiture
démocratique, Nabil Karoui est libéré, in extremis, à la veille du deuxième
tour. Il débarque ainsi à la dernière heure dans une élection jouée d’avance.
Ennahda qui a trouvé son cheval de Troie
en Kaïs Saïed, a mis, entre-temps, le paquet, en bourrant les urnes, comme
d’habitude, et en lynchant sur les places publiques et les réseaux sociaux,
Karoui, comme on a jamais lynché personne : qualifié d’incarnation du diable,
de mafiosi, de trafiquant, de nazi ! Il reçoit le coup de grâce quand on le
taxe d’agent du Mossad.
Dans ce monde arabe, attardé,
retardataire et fossilisé dans l’âme, pas besoin de chaise électrique ni de
peloton d’exécution pour les peines capitales.
Pour flinguer quelqu’un, il suffit de lui coller simplement sur le dos l’étiquette : « Juif », « Mossad » ou « Israël ». Son espérance de vie n’excédera pas les 24 heures !
Pour flinguer quelqu’un, il suffit de lui coller simplement sur le dos l’étiquette : « Juif », « Mossad » ou « Israël ». Son espérance de vie n’excédera pas les 24 heures !
Les Islamistes mettent le paquet :
taxis, hébergements, louages, bus, repas gratuits, sont mis à la disposition de
tous ceux qui s’engagent à voter pour Kaïs Saïed.
Allez gagner contre des partis religieux qui parlent au nom de Dieu lui-même, et promettent la clé du paradis à quiconque se montre généreux envers eux.
Allez gagner contre des partis religieux qui parlent au nom de Dieu lui-même, et promettent la clé du paradis à quiconque se montre généreux envers eux.
Le débat organisé à la veille du second
tour, donc sur les chapeaux de roues, va jeter une lumière crue sur la faillite
du politique durant cette drôle de campagne, faite d'injures, de délation,
d'excommunication et d'insultes.
Le degré zéro de la démocratie.
Le degré zéro de la démocratie.
Sur un plateau éclairé, et décoré comme
« The Voice », deux journalistes, engoncés et guindés, accrochés à leur
chronomètre comme des arbitres du 100 mètres aux JO, distribuent la parole à
deux candidats qui n’ont rien à dire, rien à proposer, rien à défendre, et qui,
apparemment, ignorent tout de la gestion des affaires publiques. On ne
prononcera aucun chiffre durant cette « confrontation » historique, c’est dire
!
Aucun des deux candidats n’a de
programme, et ne peut parler de l’avenir de la Tunisie, tant l’un, Karoui, est
obsédé par « ses pauvres » ; et l’autre, Saïed, est subjugué par sa propre
probité.
Le premier Kaïs Saïed, docte, pérorant dans le vide, enfilant des métaphores en arabe classique ; et, en face, Nabil Karoui, aussi mal à l’aise en arabe qu’une comédienne égyptienne dans un tutu.
Le moment le plus cocasse et le plus pathétique c’est quand les journalistes posent la question aux deux candidats sur les sources de financement de leur campagne : Tout penaud, Nabil Karoui nous révèle que c’est sa maman qui lui a fait un chèque ; alors que Kaïs Saïed, nous assure qu’il a vendu la maison de son père ! On croit rêver !
Demain, pour éponger le déficit commercial du pays, ils feront sûrement appel au bas de laine de leur grande mère.
Le premier Kaïs Saïed, docte, pérorant dans le vide, enfilant des métaphores en arabe classique ; et, en face, Nabil Karoui, aussi mal à l’aise en arabe qu’une comédienne égyptienne dans un tutu.
Le moment le plus cocasse et le plus pathétique c’est quand les journalistes posent la question aux deux candidats sur les sources de financement de leur campagne : Tout penaud, Nabil Karoui nous révèle que c’est sa maman qui lui a fait un chèque ; alors que Kaïs Saïed, nous assure qu’il a vendu la maison de son père ! On croit rêver !
Demain, pour éponger le déficit commercial du pays, ils feront sûrement appel au bas de laine de leur grande mère.
On s’attendait à ce que les deux soient
interrogés sur les grands sujets de l’heure : la crise du tourisme, le taux de
chômage, l’immigration clandestine, la fuite des cerveaux, le déficit de la
balance commerciale, la chute vertigineuse du dinar. Que nenni ! Aux yeux des
journalistes de la Wataniya tout cela n’est que menu fretin, le principal
problème de la Tunisie, c’est Israël ! Et de poser la question aux deux
candidats pour savoir s’ils sont pour ou contre la normalisation des relations
avec l’Etat hébreu.
C’est à croire que le Golan se trouve au Cap Bon et que Ramallah est la capitale de la Tunisie. Et bien sûr aux deux candidats de rivaliser en hargne et promesses, jurant l’un et l’autre de criminaliser toute tentative de normalisation avec Tel Aviv, comme si six millions d’Israéliens allaient débarquer dans l’heure à l’aéroport de Carthage.
C’est à croire que le Golan se trouve au Cap Bon et que Ramallah est la capitale de la Tunisie. Et bien sûr aux deux candidats de rivaliser en hargne et promesses, jurant l’un et l’autre de criminaliser toute tentative de normalisation avec Tel Aviv, comme si six millions d’Israéliens allaient débarquer dans l’heure à l’aéroport de Carthage.
Le pire de l’inculture on va le
connaître avec Kaïs Saeïd qui, à la fin du débat, cite le film de Youcef
Chahine, « le Moineau », comme un symbole de « l’oiseau qui fuit sa cage à la
recherche de la liberté », quelle science ! Aque le film parle de la branlée
historique du monde arabe face à Israël en 1967 !
L’avantage et le malheur de la Palestine, c’est que ça mange pas de pain. Quand on veut rassurer le pauvre électeur arabe, qui est dans la merde jusqu'au cou, on lui murmure à l’oreille : « T’inquiète pas mon pauvre, on va emmerder Israël » ; et le pauvre dormira tranquille, heureux, serein, le ventre vide, mais plein de haine pour les juifs, alors que sous ses fenêtres les salafistes chantent à tue-tête le retour du Califat : Allah est grand !
L’avantage et le malheur de la Palestine, c’est que ça mange pas de pain. Quand on veut rassurer le pauvre électeur arabe, qui est dans la merde jusqu'au cou, on lui murmure à l’oreille : « T’inquiète pas mon pauvre, on va emmerder Israël » ; et le pauvre dormira tranquille, heureux, serein, le ventre vide, mais plein de haine pour les juifs, alors que sous ses fenêtres les salafistes chantent à tue-tête le retour du Califat : Allah est grand !
Bonne nuit, les enfants, faites de beaux
rêves, Kaïs Saïed veille désormais sur vous.
Attendons la fin de la gueule de bois et l'extinction des lampions...
RépondreSupprimerOn n'est pas encore prêt pour la démocratie.
RépondreSupprimerDes jours, ou plutôt, cinq années difficiles nous attendent.est ce que être vigilent est suffisant????
trop alarmiste, aucune lueur d'espoir, j'ai bien voulu imaginer ce qu'écrirais l'auteur dans le cas d'élection de NK! un peu d'humilité !
RépondreSupprimerLes jeunes qui ont voté en masse pour les présidentielles et ont boycotté les législatives vont avoir une déception encore plus grande vu leur ignorance de la nouvelle constitution ceci dit
RépondreSupprimerD ici qqs mois leur président va être coller au mur ennahda va gouverner avec un gouvernement instable et rebelote la rue
À mon avis on sera dans l obligation de refaire les élections législatives à suivre
Parfaite analyse. Merci Monsieur. Je me console néanmoins de savoir que face aux trois quarts de tunisiens incultes et abrutis persiste un petit quart de tunisiens lucides et intelligents. Ainsi tout n'est pas perdu.
RépondreSupprimerEn vendant des chimères irréalistes, et grâce à l'effet repoussoir de NK, KS a réussi à convaincre 3 millions de tunisiens. Je fais partie de ceux qui n'ont pas été convaincus.
RépondreSupprimerChaque phrase dite (sur un ton inévitablement pompeux à la Jamel Abdennasser sur "صوت العرب"), est suivie de trois redondantes. Ses propos sont une suite de lapalissades.
Il est évident, la machine d'Ennahdha a bien fonctionné, même si ce n'est pas KS qui l'a actionnée.
Ses promesses creuses concernant les droits de la femme ne me feront pas oublier qu'il est opposé à l'égalité successorale.
Pendant son règne il proclame, abusivement, que son pouvoir se situera au-dessus des partis, alors que le régime parlementaire est basé sur les partis.
Il peut être pacifique, mais les voyous qui l'entourent ont tout de même violenté des journalistes. S'il s'en est excusé, ce n'était pas suffisamment haut et fort pour que je l'entende.
Son bavardage creux et démagogique (consistant à flatter le peuple), tourne en rond, en boucle. Par certains aspects, son modèle de gouvernance relève tout simplement de l'anarchie.
Enfin, je ne doute pas de sa sincérité, mais c'est, me semble-t-il, la sincérité d'un simple d'esprit.
Notre indigence politique m'attriste.
je suis de votre avis : complètement d'accord
SupprimerCES JEUNES QUI SUIVENT DES DOCTRINES UTOPIQUES MAIS DANGEREUSES !
RépondreSupprimer- Les jeunes sous Bourguiba se sont fourvoyés dans le communisme avec le résultat que l'on sait de cette doctrine dont le déclin a commencé avec la chute du mur de Berlin !
- Les jeunes sous Ben Ali se sont fourvoyés d'abord dans le pan-islamisme et depuis leur fumeuse révolution dans le pan-arabisme : dommage pour eux qu'ils ignorent l'histoire de ces 2 idéologies lunatiques mais très dangereuses !
Ils ignorent ce qu'avait fait du pan-arabisme son leader Gamel Abdel Nasser, dont les palestiniens n'ont toujours pas fini de payer les erreurs stratégiques !!
Comme ils ignorent la dictature qu'ont fini par instaurer les islamistes en Iran et contre laquelle la jeunesse et les femmes ne savent plus à quels saints se vouer pour s'en débarrasser !!
Mais voilà, ceux qui ignorent l'Histoire, sont condamnés à la revivre !!!
https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/10/14/la-victoire-du-conservateur-kais-saied-a-la-presidence-tunisienne-est-lourde-d-interrogations_6015417_3232.html
Une analyse pessimiste mais combien vraie. La Tunisie est perdue à jamais.C'est trop tard nous avons laissé faire Ennahdha et ceux qui l'ont soutenue ont affamé le peuple qui n'a pas hésité à vendre son âme et sa voix.Tant qu'Ennahdha sert les intérêts de L'UE, des Etats -Unis et d'Israël elle n'aura rien à craindre elle continuera à commettre les actes les plus abominables dans l'impunité absolue.
RépondreSupprimer<< Dans ce monde arabe, attardé, retardataire et fossilisé dans l’âme, pas besoin de chaise électrique ni de peloton d’exécution pour les peines capitales.
RépondreSupprimerPour flinguer quelqu’un, il suffit de lui coller simplement sur le dos l’étiquette : « Juif », « Mossad » ou « Israël ». Son espérance de vie n’excédera pas les 24 heures ! >>
Voilà .. En quelques lignes, Mohamed Kacimi vient de définir le niveau de médiocrité de la masse Tunisienne.
Ma terre natale est devenue une poubelle islamiste dont bientôt le contenu se déversera sur les trottoirs de Belleville et de Barbès, comme les conséquences de chiottes engorgés.
C'est malheureux, triste et rageant >:o
CERTAINS CONFONDENT ELECTION PRÉSIDENTIELLE ET STAR AC' !
RépondreSupprimerIl est curieux de lire ça et là des excités, s'en prendre aux "élites" pour avoir tenté d'attirer l'attention sur les idéologies qui animent les hommes politiques de tout bord, et de dénoncer le danger de certaines en rappelant l'histoire de chacune et les dégâts qu'elles ont produit parmi les peuples qui les ont subies : comme le pan-islamisme, le pan-arabisme, le communisme, le fascisme, le nazisme ...
Le seul critère qui importe aux yeux de ces "critiques éclairés", est la probité de l'élu !
Ce fut le cas pour AZ, et à nouveau pour KS !!
Peu leur importe la mascarade que sont devenues les élections législatives & présidentielles du fait de Ghannouchi !!!
Ils ont induit en erreur une jeunesse inculte, ignorant l'Histoire, et qui est persuadée d'avoir élu un progressiste intègre.
Très vite elle se rendra compte qu'elle a été trompée sur la marchandise; et qu'il est un pan-arabiste réactionnaire :
Il est contre les libertés individuelles, contre l'égalité des hommes et des femmes, pour la peine de mort ...
Bref que "le professeur" de droit, est un adepte de la chariaa qu'il souhaite restaurer en lieu et place du Droit positif, cette séquelle du colonialisme, qu'il est temps de s'en débarrasser !
S'il les a séduits par son intégrité et par ses discours enflammés d' "arabité" sur un ton d'outre-tombe ... très vite le "robocop" ne les amusera plus et ils déchanteront !
En attendant, que grand bien leur fasse leur "professeur".
Le secret de l'élection de KS à la présidence de la République ?
RépondreSupprimerHedia Abdelkefi :
Un peuple et une jeunesse, abrutis par 40 ans d’assèchement des sources de la connaissance et l'intelligence humaine !
Qu'a fait notre école contre la crétinisation ?
Nos systèmes éducatifs ont-ils joué leurs rôles de remparts contre la bêtise, l'obscurantisme et la cécité intellectuelle ? L'enseignement avec toutes ses réformes, ses programmes et ses politiques œuvrant à la promotion de la qualité, ont-ils réellement servi à la consolidation des vraies valeurs qui fondent la démocratie, et la valorisation de l'intelligence humaine, la principale aune à laquelle se mesurent le développement et le progrès d'une nation ?
L'heure est à l'auto-évaluation ... si les jeux ne sont déjà faits !
GHANNOUCHI ET LE POUVOIR !
RépondreSupprimerIl veut le pouvoir et fait tout pour conserver la première place pour Ennahdha,
Mais il gouverne par procuration en déléguant le pouvoir à ses "oiseaux rares-progressistes" !
Malin, il fait d'une pierre, deux coups :
- il consolide les Frères musulmans sur la scène politique, et
- il fait porter le chapeau des échecs de sa politique qu'il leur dicte, à ses "oiseaux" !
Et dire que les progressistes continuent à tomber dans le panneau de son stratagème : après MMM, MBJ, BCE, YC ...
d'autres font la queue pour avoir un strapontin, pourvu que le cheikh daigne les regarder !!
Quel manque de dignité pour tomber si bas.
LES FRÈRES MUSULMANS D'ENNAHDHA : Ils ont perdu, mais ils crient victoire !
RépondreSupprimerComment ? Par un tour de passe-passe dont Ghannouchi a le secret !
Comparé aux scrutins d'avant, Ennahdha ne cesse de perdre en voix et en sièges au Bardo; et ses résultats aux dernières élections sont au plus bas !!
Mais d'avoir soutenu par opportunisme KS, elle s'attribue son succès !!!
Les "Frères" ont perdu, mais ils ont gagné : voilà pourquoi ils crient victoire.
Excellente analyse très spirituelle et malheureusement très noire pour mon pays natal que j'ai quitté depuis plus de 40 ans. Ces revanchards intellectuels qui détestent le peuple se servent de l'épouvantail Israël pour manipuler les foules. Pas sûr que ça suffise pour diriger le bateau ivre.
RépondreSupprimerUNE LOI ÉLECTORALE SUR MESURE POUR LES FRÈRES MUSULMANS D'ENNAHDHA ?
RépondreSupprimerEnnahdha n'a eu que 29 députés élus directement.
Les 23 autres, l'ont été indirectement, grâce "au plus fort reste" des voix !
PS : C'est ainsi qu'Ennahdha a pu avoir 17 députés grâce aux tunisiens vivant à l'étranger, essentiellement en Occident !
ENNAHDHA, REINE DE LA FRAUDE !
RépondreSupprimerBon nombre de bureaux électoraux de l'étranger affichaient 100 % de voix pour Ennahdha.
Or beaucoup de personnes ayant voté pour d'autres listes, s'estiment bafouées d'avoir été "oubliées" lors du décompte !
Beaucoup de témoignages en ce sens sur FB, émanent de tunisiens vivant au Canada, en France ... et qui sont en colère contre des pratiques qu'ils croyaient révolues depuis un certain 14.1.2011 !!
Et que fait l'ISIE ? !!!
NOUS AVIONS UN PAYS ...
RépondreSupprimerAli Gannoun :
Le cirque Ammar est triste. Lui, le frais, le rigolo, l'amusant, le plaisir des grands et des petits, a cédé son nom à un foutoir tunisien où les coups répondent aux coups, les insultes répondent aux insultes et le désordre se répand partout.
L’État s'est transformé en persillère pour pieds sales, mains ensanglantées et esprits troubles et tourmentés !
Les ego s’entre-choquent et plus personne ne pense à l'intérêt du pays.
Le citoyen, étouffé par des slogans bidons, n'arrive plus à respirer et la pluie, d'habitude bienfaisante, a décidé de jeter à la mer les dernières illusions d'un peuple noyé dans la détresse, la pauvreté et les horizons bouchés.
Un Chef de Gouvernement qui fait le beau sur les ruines d'un pays; un Président qui cherche toujours la signification de la présidence d'un pays dans des dictionnaires en langues étrangères; des collaborateurs haineux dont l'unique soucis est de faire la peau aux autres; et tout un peuple qui attend le messie dans un pays qui a fait de la religion le fond de commerce avec escroquerie à tous les étages.
C'est l'image que donne la Tunisie qui a bluffé (émerveillé) le monde, nous rappelle sans cesse le nouveau président !
Le temps n'est plus à la réflexion dans mon pays. Le sauve qui peut est sa nouvelle devise et la danse macabre est son nouveau sport.
Humiliez, humiliez encore, enfoncez la tête de vos adversaires dans la merde et jouissez vous hommes politiques de mes deux.
Je cherche l'Homme parmi vous, je ne trouve que des brigands, de malfaiteurs, de comploteurs, de voleurs et des mafieux.
Marchez sur les cadavres, tuez père et mère et exterminez tout un peuple qui vous vomit, pour rester cloué à un pouvoir.
C'est la seule activité des hommes et des femmes arrivés par indifférence, par inconscience, par hasard, par cooptation et surtout par magouilles nationales et internationales là où ils sont !!
Un Cirque Ammar triste, dans un pays qui baigne dans le mensonge et la haine des siens dans chaque ministère, dans chaque administration et jusqu'au palais de Carthage devenu le théâtre des fous, des robots manipulateurs et manipulés, des réactionnaires et des apprentis sorciers.
Tunisiens, tunisiennes, allumez une bougie pour le FMI si vous voulez rester en vie !
Nous avions un pays ...
AU DIABLE LA DÉMOCRATIE QUI PORTE AU POUVOIR DES DÉMAGOGUES INCULTES ...
RépondreSupprimerSamira Hmila :
Je crie haut et fort : " Au diable la démocratie !",
Au diable les élections libres qui permettent aux criminels, d'avoir eu accès au palais de Carthage, symbole de notre souveraineté.
Au diable la démocratie qui ont permis à des mafieux d'être des représentants du peuple sous la coupole du Bardo.
Au diable la démocratie qui a favorisé la montée des médiocres et aux ramassis de la société, d'être gouvernants ou législateurs, dans un pays que des hommes et des femmes ont passé leurs vies à construire.
J'ai comme l'impression de vivre un cauchemar.
Un sentiment d'incapacité de faire face à ces monstres sortis de leurs cellules, une minorité chargée de détruire mon pays et de l'enfoncer dans des crises sans fin, dans l' obscurité ....
Incapable par ce que j'ai l'impression que même ceux que je croyais sages et éclairés, mettent la main à la pâte pour détruire notre pays.
Au diable cette malédiction qui frappe mon pays au nom d'une fausse démocratie qui nous mène dans les ténèbres de l'histoire.
Au diable tous ceux qui participent directement ou indirectement à ce cauchemar, par opportunisme ou par lâcheté ou par égoïsme.
Voir les pays avancer vers les libertés et le développement, vers les technologies et les créations, vers l'art et la culture, vers le numérique et la conquête de l'espace, et voir le mien reculer à pas géant vers le moyen-âge.
Voir mon pays devenir un camp de concentration pour obscurantistes et des criminels aux service des autres qui profitent d'un peuple paupérisé, démuni d'armes intellectuelles ou morales; avec des jeunes incultes, inconscients, qui ne savent pas ce qui les attend dans l'avenir proche.
Un génocide sanguinaire aurait été préférable à ce génocide morale pour des enfants qui vont grandir dans ce climat apocalyptique.
J'ai vécu dans une belle Tunisie, rayonnante de joie et de vie. J'ai fais mes études et travaillé dans un climat saint et agréable.
Mon avenir est derrière moi. Le problème ne me concerne.
Je suis inquiète pour nos enfants et nos jeunes.
Où vont-ils grandir ? Quelle école vont-ils faire ?
Dans quel environnement vont-ils vivre ? Quel avenir les attend ?
Pourquoi et pour qui, on subit tout ça ?
PS : On n'est pas loin de la situation de l'Iran en 1979. Renversement de l'Etat de droit et instauration de l'Etat islamique.
CERTAINS PRENNENT LEURS RÊVES POUR DES RÉALITÉS !
RépondreSupprimer- Ce que l'auteur Sofiane Zribi considère un échec pour Ennahdha, c'est bien au contraire une réussite; puisque le projet des Frères musulmans est de détruire la République pour préparer l’avènement du Califat ... dont rêve Erdogan, ami de Ghannouchi et son modèle !
Et en 8 ans, ils ont réussi à mettre à genoux la Tunisie, ruiné son économie et semé le chaos dans dans toutes ses administrations et ses institutions !
- Quant à la fin de l'islamisme avec l'élection de KS, l'auteur se trompe de croire à la fin des idéologies; puisque le nouveau président est adepte du pan-arabisme, cette autre idéologie "sœur/ennemie" du pan-islamisme, aussi lunatique que dangereuse que celle-ci.
- Nous dire que KS veut remettre la religion dans la sphère privée, c'est ignorer ses analyses faites sur les plateaux TV, pour restaurer la charia en lieu et place du droit civil, séquelle du colonialisme français, aime-t-il à rappeler !
- Pour ce qui est de la promesse de KS de restaurer le droit dans son droit, est la seule chose à retenir de positive de ses discours souvent contradictoires ...
Mais quel pouvoir a-t-il pour le faire, dans un régime plus parlementaire que présidentiel, où ses pouvoirs sont très limités ?!
https://www.leaders.com.tn/article/28287-sofiane-zribi-kais-saied-ou-le-post-islamisme?fbclid=IwAR3U7hQ5flZbeoiI0oKNKZL4K_O4CDkViWV7ngucwTao9yCYwReJ5HL_Qqs
UN PRÉSIDENT S'EXPRIMANT DANS UN ARABE LITTÉRAIRE AVEC UNE DICTION D'AUTOMATE, SE GARGARISANT DE CHAQUE MOT QU'IL ÉMET; ET CALLIGRAPHIANT L'ARABE TEL UN ARTISTE ...
RépondreSupprimerCe qui confirme avec ses discours, son pan-arabisme !
Président qui fait la fierté de ses électeurs pour son originalité !
Comme si cela allait résoudre les problèmes des tunisiens !!
KS & Ghannouchi ne cessent de s'extasier sur la réussite de la Tunisie qui a éblouit le monde entier par ce qu'ils font et qui a retrouvé sa grandeur depuis leur arrivée au pouvoir !
Sonya Chaabane :
C'est une compétence essentielle au 21ème siècle :
- qui va sûrement contribuer grandement à l'amélioration du pouvoir d'achat des citoyens,
- qui lui permettra de résorber le chômage et de restructurer les équilibres financiers !!
Quelle chance nous avons de l'avoir trouvé !!
Sahha alina, mahleh Rais'na !!
(Quelle nous avons, de l'avoir !)
Mombahra Tounes !
(La Tunisie en est émerveillée !)
https://www.businessnews.com.tn/quand-lecriture-calligraphique-de-kais-saied-suscite-ladmiration,537,92837,3?fbclid=IwAR1QUdp56OIa8yGkr6WbjYcAmSsTvS8B3jNKqFV5Z9EUqWm7SjznT1fimUI
UN FRANÇAIS, TUNISIEN DE CŒUR, DIT SON AMERTUME DE VOIR LES ISLAMISTES GOUVERNER UN PAYS QU'IL AIME TANT !
RépondreSupprimerJean-Pierre Ryf :
Désormais, la Tunisie ancienne est morte et elle ne reviendra plus.
Qui aurait pu imaginer que ce pays si ouvert grâce à Bourguiba, désignerait un Islamiste (Frère musulman il n'y a qu'a voir le signe fait par certain avec quatre doigts, signe de ralliement des "Frères" faisant référence à Rabiaa al-Adaouia) à la tête de l'Assemblée !
Et ne cherchez pas ailleurs que dans ce peuple, la responsabilité !!
La corruption dans tous les sens, l'absence de patriotisme voilà le vrai responsable.
Dans plusieurs vidéos j'avais indiqué et clairement que la seule façon de s'opposer à cette régression, était de voter massivement pour Abir Moussi (qui a, encore une fois lors de la séance d’intronisation des nouveaux élus, montré son courage et son intelligence politique).
Beaucoup de Tunisiens qui se croient progressistes et ouverts, ont fait la fine bouche et se sont détournés d'elle !
Et voilà le beau résultat.
Certains vont se déclarer tristes mais ils n'ont rien compris ni rien fait de sérieux pour s'y opposer. Maintenant ils n'ont qu'à subir le résultat de leur bêtise et cesser leurs jérémiades inutiles.
Ceux qui ont gagné, ont obtenu une victoire à la Pyrrhus : ils ont trahi et de manière évidente leur parole et se détruiront mutuellement.
Malheureusement entre temps la Tunisie va encore régresser, son économie va se dégrader et sa monnaie se dévaluer un peu plus.
C'est triste mais je le répète : seuls les Tunisiens en sont responsables !
https://www.youtube.com/watch?v=VmxaYpXVSc8
COMMENT SE DÉBARRASSER DES FRÈRES MUSULMANS ...
RépondreSupprimerUn journaliste demanda à Néjib Mahfoudh :
" Comment se débarrasser des Frères musulmans ? "
Il lui répondit :
" Laissez-leur le pouvoir.
Le jour où ils le prendront, ils seront découverts et on saura leur réalité ! "
Ils se rendront compte de la vacuité de leur slogan " La solution est le Coran"; et que la chariaa d'il y 14 siècles ne répond pas aux réalités d'aujourd'hui !
Mais malheureusement les progressistes tunisiens n'ont pas encore compris la stratégie de "l'oiseau rare" de Ghannouchi ... à moins que leur ego les aveugle et les abrutit !!
https://latroisiemerepubliquetunisienne.blogspot.com/2019/04/que-cache-le-consensus.html
LA CAUSE PALESTINIENNE, L’ÉTERNELLE TARTE A LA CRÈME DES POPULISTES Pan-ARABISTES & Pan-ISLAMISTES !
RépondreSupprimerOn se demande ce qu'ils foutent en Tunisie au Bardo comme à Carthage, au lieu d'aller sur le terrain libérer leurs frères "arabes" !
Ou est-ce parcequ'ils n'ont aucun projet positif pour la Tunisie qu'ils recourent à cette comédie dilatoire pour un peuple exsangue de la gestion calamiteuse par leurs Frères musulmans ?!
Grotesque hypocrisie.
https://www.tunisienumerique.com/tunisie-des-deputes-de-la-coalition-al-karama-scandent-des-slogans-appelant-a-la-liberation-de-la-palestine/?fbclid=IwAR2VkPfO06R9Y3aqVMQTAW45u7O2-kDFcoHEUHmiDS9YqUfer8BA6sdu6zA
on n'a que ce l'on mérite, nous sommes les seuls responsables de la destruction de la Tunisie!
RépondreSupprimerles deux sont en dehors de la plaque
RépondreSupprimerIl n'y aura plus d'homme providentiel comme Bourguiba car Bourguiba était l'homme soutenu par une génération de tunisiens qui avaient été bien formés et qui avaient le sens de l'Etat. Aujourd'hui je ne vois pas une telle génération en Tunisie. Ceux qui sont bien formés quittent le pays et personne n'a le sens de l'Etat.
RépondreSupprimerKais Saied a été élu président des tunisiens ou président des palestiniens ?
RépondreSupprimerOn se le demande car il nous bassine les oreilles avec la cause palestinienne, tarte à la crème pour pan-arabiste !
https://www.businessnews.com.tn/la-presidence-accuse-baati-de-supplier-des-capitales-etrangeres-pour-contrer-sa-revocation,520,95174,3
KS À PARIS, INVITÉ DE MACRON ...
RépondreSupprimerLe drame de la Tunisie, est d'avoir un islamiste au Bardo et un arabiste à Carthage; qui plus est, novice en politique ...
Deux rêveurs nourris d'idéologies lunatiques* mais dangereuses pour la Tunisie et pour son indépendance :
- le premier rêvant de dissoudre la Tunisie dans l' " Oumma Islamiya " en restaurant le califat, ramenant la Tunisie dans le giron du sultan Erdogan, à nouveau province turque;
- le deuxième rêvant de dissoudre la Tunisie dans l' " Oumma Arabyia ", en remettant sa souveraineté à un nouveau Rais !
Le soucis premier de KS, n'est-il pas de libérer la Palestine ?
Quoiqu’il ait dit à Macron de son désir d'inscrire la Tunisie dans la modernité, il ne faut pas oublier qu'il est pan-arabiste nourri d'une idéologie qui a échoué !
Autrement quelle modernité peut-il espérer pour la Tunisie s'il prône l'arabisation de l'enseignement à tout va ... langue morte qui n'a rien produit de "moderne" en ce monde moderne, dans aucun domaine qu'il soit technologique, médical ou autres ?!!
* Deux idéologies à l'origine œuvrant pour libérer les peules du colonialisme; devenues depuis, des idéologies néo-colonialistes : l'une par la religion (le wahhabisme), l'autre par la langue (l'arabe) !
ALLOCUTION DE MACRON et DE KS !
RépondreSupprimerOccasion pour Macron pour condamner Erdogan qui ne respecte pas ses engagements vis à vis de l'UE & de l'OTAN !
* KS parle une langue maternelle à l'intention des tunisiens ...
qui ne la parlent pas ! Grotesque E.T !!
https://www.facebook.com/elysee.fr/videos/718098808956009/?v=718098808956009
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/emmanuel-macron-denonce-le-jeu-dangereux-de-la-turquie-en-libye-20200622?fbclid=IwAR1QEAXS7W14_CMEtAH2cgH9b_lbL_ykd3VGhaLvFo-li7Y09l5EXqgGqDw