Les Frères musulmans s'implantent de mieux en mieux en France et sur la scène politique, toujours grâce à leurs idiots utiles, de droite comme de gauche et plus particulièrement de l’extrême gauche qui joue son va-tout depuis le dernier scrutin où la France insoumise de Jean Luc Mélenchon a perdu beaucoup de ses électeurs passant de 19,75% (présidentielles), à 11% (législatives), puis à 6,3% (européenne); et qui par populisme tente de séduire un électorat islamiste. Il se soucie comme d’une guigne que l'islam de France et les français de confession musulmane, soient pris en otage par les Frères musulmans pour mettre en avant le wahhabisme qui fonde leur action politique.
R.B
Marche du 10 novembre : « Le jour où des élus de la République ont défilé contre la République »
Pour Céline Pina, «la marche contre
l’islamophobie» du 10 novembre représente une trahison des élus. Une gauche
dévoyée s’est faite l’alliée objective des islamistes.
Paris, 10 novembre 2019, des élus de notre République
défilent avec des communautaristes pour fustiger les lois de la République
qu’ils désignent comme liberticides...
Paris 10 novembre 2019, des élus de notre République
défilent à l’appel d’associations islamistes et d’entrepreneurs identitaires
dont le CCIF, antenne des frères musulmans ou Majid Messaoudène, l’homme qui
moque les enfants assassinés par Mohamed Merah parce qu’ils étaient juifs.
Paris 10 novembre 2019, des élus de notre République
défilent aux côtés d’imams qui expliquent que la femme sans voile n’a pas
d’honneur et que l’on peut disposer d’elle ou que les enfants qui écoutent de
la musique se transforment en singes ou en porcs.
Paris, 10 novembre 2019, des élus de notre République
défilent aux côtés d’enfants affublés d’une étoile jaune pour faire croire que
les musulmans sont traités comme les juifs lors de la seconde guerre mondiale.
Sauf que là où les enfants juifs ont été séparés de leurs parents, amenés en
camp de concentration, battus, maltraités, affamés pour finir gazés, on se
demande bien ce que craignent les enfants musulmans sur notre territoire. Sauf
que les islamistes et les frères musulmans au premier rang sont, eux,
d’authentiques admirateurs d’Hitler. Sauf que le but de la manœuvre, outre la
victimisation écœurante et la volonté de piétiner la spécificité de la shoah,
est surtout de faire passer le message de la nazification de l’Etat français
pour justifier le refus d’obéir à ses lois, le rejet des principes universels
qu’il porte et déshumaniser ceux qui les incarnent.
Paris, 10 novembre 2019, des élus de la République
ont baissé les yeux quand ils n’ont pas repris la provocation de Marwan
Muhammad faisant hurler allaoua akhbar à 10 000 personnes, dans les mêmes
arrondissements où eurent lieu les massacres du Bataclan. Des hurlements qui
doivent encore résonner aux oreilles des familles qui pleurent les plus de 260
morts dûs au terrorisme islamique. Ce sont les derniers mots qu’ont entendus
ceux de chez Charlie et les enfants martyrs de l’école Ozar Hatorah avant
d’être abattus.
Paris, 10 novembre 2019, des élus de la République se
sont tus quand les islamistes ont fait scander à la foule le nom de leurs
cibles, entre autres, Eric Zemmour, Laurent Bouvet, Zineb El Rhazoui. Des
personnes menacées de mort, ont été ainsi désignées sans vergogne à la vindicte
publique et à la haine communautariste sans que cela ne dérange une seule
seconde nos représentants.
Paris 10 novembre 2019, le jour où des élus ont choisi
leur camp : celui du fascisme islamique contre la démocratie et la République.
La gauche dévoyée, alliée objective des islamistes
Sauf que ce ne sont pas tous les élus qui ont choisi
cette honteuse collaboration, que la fracture ici ne concerne pas toutes les
parties de l’échiquier politique. Ceux qui, toute honte bue, ont cautionné
cette sinistre marche appartiennent à un seul camp : la gauche. Hormis le PS et
le PRG, toute la gauche était là. Ils ont tous choisi de répondre à l’appel des
islamistes : Jean-Luc Mélenchon, qui pousse l’indécence après avoir mis en scène
sa douleur à l’enterrement de son «ami» Charb, jusqu’à venir défilé en
compagnie de ceux qui défendent une idéologie contre laquelle Charb a combattu
jusqu’à le payer de sa vie. La LFI, donc était là en nombre, mais aussi le PCF,
LO, EELV, Génération-s (le parti de Benoît Hamon), la CGT. Ils étaient tous là,
les Clémentine Autain, Esther Benbassa, Eric Cocquerel, Ian Brossat, Olivier
Besancenot, Philippe Martinez…
Mais on a aussi eu droit aux hypocrites, à ceux qui signent et qui ensuite ne viennent pas, sans pour autant retirer leur signature. Ceux-là sont les pires : ils évitent la photo embarrassante à assumer mais pourront arguer de leur signature quand le temps de l’élection et de la retape communautariste viendra, il s’agit notamment de Yannick Jadot, de François Ruffin, de Fabien Roussel.
Mais on a aussi eu droit aux hypocrites, à ceux qui signent et qui ensuite ne viennent pas, sans pour autant retirer leur signature. Ceux-là sont les pires : ils évitent la photo embarrassante à assumer mais pourront arguer de leur signature quand le temps de l’élection et de la retape communautariste viendra, il s’agit notamment de Yannick Jadot, de François Ruffin, de Fabien Roussel.
Toute cette gauche a donc défilé avec des gens qui
refusent l’égalité aux femmes à raison de leur sexe, qui font passer la foi
avant la loi, veulent installer la charia et ne répandent que la haine et la
violence sur leur passage.
Certes de Staline à Mao en passant par Pol Pot, la
gauche a été souvent la meilleure alliée des pires régimes pourvu qu’ils
maquillent leur violence intrinsèque en révolte contre l’injustice. Mais là
c’est un cap dans l’abjection qui est franchi. Car ces élus, pour sauver la
face, prétendent qu’ils agissent ainsi au nom de l’antiracisme. Ils expliquent
donc leur soutien aux islamistes par leur dévouement envers les musulmans. Vous
imaginez des élus qui voudraient réhabiliter le nazisme en invoquant leur amour
de l’Allemagne ? Ce serait grotesque. Et bien quand il s’agit d’amalgamer
fascistes islamistes et musulmans, la plus grande partie de la gauche trouve
cela très bien et se soucie comme d’une guigne que cela exacerbe les tensions
et mette en danger ces musulmans qu’ils disent vouloir protéger.
Ces élus-là voudraient installer chez tout le monde
l’idée de la guerre civile qui vient qu’ils ne s’y prendraient pas autrement.
En attendant ils cautionnent la victimisation des islamistes et donc leur
discours qui veut que s’il y ait victime, il y ait agresseur. Ici ce sont les
Français, désignés comme racistes et l’Etat, vu comme «liberticide». Or
l’histoire montre que les pires régimes ont toujours prétendu exercer un droit
de légitime défense lorsqu’ils désignaient leurs cibles. C’est aussi la
technique de l’islam politique. Force est de constater qu’elle fonctionne.
Une victimisation bâtie sur un mensonge
Mais pire encore tout cela est bâti sur une énorme
escroquerie : l’islam n’est pas la religion la plus attaquée en France et de
loin. Les plus attaqués sont les chrétiens (1064 actes recensés) puis les juifs
(540 actes recensés alors qu’ils ne représentent que 1% de la population) et
enfin les musulmans (100 actes recensés) . (Source ministère de l’intérieur)
Car même la partie de la gauche qui a su résister à
la séduction du totalitarisme islamique reste très ambiguë quand il s’agit
d’ouvrir les yeux sur la stratégie de victimisation de l’islam politique. Comme
si elle regrettait que les Français sachent se tenir, elle a refusé
l’instrumentalisation des islamistes, mais reprend malgré tout une de leur
antienne, celle de la haine anti-musulman. Une haine largement fantasmée mais
que les islamistes font tout pour alimenter.
Ce qui est vrai c’est que le rejet de l’islam monte
en France, mais pour le coup il y a des raisons objectives : Plus de 260
personnes sont mortes dans ce pays et les 4 dernières victimes d’un islamiste
ont été abattues au cœur de la préfecture de police de Paris. Or tout a été
fait pour qu’elles n’impriment pas nos mémoires, leurs noms, leurs visages ont
été vite effacées, comme s’il fallait très vite oublier, passer à autre chose.
Le deuil collectif a été refusé puis piétiné : très vite, ce drame a été éclipsé
par la victimisation sans tact ni mesure d’une proche des frères musulmans (ce
que l’on a su après) qui est allée se promener au sein d’un conseil régional,
avec ce que l’on peut porter en France légalement qui se rapproche le plus de
l’uniforme des femmes de Daesh. Elle y a trouvé ce qu’elle était venue
chercher : une réaction outrée, d’autant plus soigneusement montée en épingle,
qu’à la fin la dame ne risquait rien et a été plutôt soutenue au-delà des rangs
de la mouvance intégriste à laquelle elle appartient.
Ce qui est vrai c’est qu’à force de provocation, il y
a bien eu une réaction et que l’on a frôlé le drame. L’attentat de Bayonne
montre ce qui pourrait se passer si nos élus ne se décident pas à affronter les
islamistes et à défendre nos lois. Or pour l’instant, le gros des troupes
préfère, soit se taire quand ils sont au pouvoir, soit devenir les alliés
objectifs de fascistes quand ils appartiennent à la gauche dévoyée. Les élus
responsables qui dénoncent ce qui se passent sont rares et appartiennent en
général à la droite.
Un positionnement des élus qui nous met
collectivement en danger
Ce positionnement est intenable et nous met tous en
danger car il est un des artisans de la peur qui monte et que les identitaires
de tous poils, verts comme bruns, savent utiliser à leur profit. Or ce qui fait
basculer un pays comme le nôtre, ce n’est pas tant le fait d’être attaqué, mais
qu’il se trouve à l’intérieur des inconscients et des collaborateurs pour tenir
la porte au pire. Quand ce sont des élus qui le font, alors oui, l’heure peut
être considérée comme grave. La gauche ne se sauvera pas en trahissant la
République pour la théocratie juste pour conserver à quelques élus leurs
privilèges. Elle mérite même de disparaître dans les poubelles de l’histoire où
la plus grande partie de ses représentants viennent de l’y jeter.
C’est d’autant plus troublant qu’à la fin, entre la
gauche dévoyée, les naïfs manipulés, persuadés d’agir pour lutter contre le
racisme, et les authentiques islamistes, il y avait à peine 13 000 personnes à
cette manifestation. C’est dire s’il est encore possible de combattre les islamistes
à condition de le vouloir. Mais visiblement la gauche, elle, a choisi
l’alliance au pire, l’aveuglement au mieux. LREM ( à l’exception de Marlène
Schiappa sur... twitter) se tait car pour ce parti qui n’a qu’un chef et pas de
ligne, la France ne semble pas exister, ni posséder son génie propre ; c’est
une carte, un territoire sur laquelle on peut installer n’importe quel régime.
Son projet ne parait pas consister à faire vivre la République, à faire de ses
habitants un peuple uni et de ses institutions, notre patrimoine commun mais à
y installer la rivalité identitaire et la concurrence communautariste,
autrement dit le multiculturalisme. C’est pour cela que les islamistes
bénéficient de toutes les indulgences et de tous les silences. A la fin, seule
la droite réagit parmi les partis républicains et paraît conserver une certaine
idée de la France.
Certes remettre de l’ordre dans un pays à la dérive
ne se fera pas sans mal et je comprends qu’un pouvoir déconsidéré, dont le
socle est extrêmement réduit ne l’envisage pas sans crainte. Les islamistes
sont minoritaires mais déterminés et avec le retour des jihadistes de Syrie,
leur capacité de nuisance, de menace voire d’incitation au passage à l’acte
terroriste ne peut qu’être augmentée. Cependant on a vu notre président être
sans état d’âme s’agissant de faire rentrer dans le rang, des pompiers, des
praticiens hospitaliers ou les gilets jaunes, on l’a vu tenir des discours
enflammés sur le retour d’une peste brune qui peine à se concrétiser, on
aimerait la même détermination quand il a en face d’authentiques fascistes
qu’ils soient islamistes ou militants de la race.
Charles De Gaulle :
RépondreSupprimer" Si une communauté n’est pas acceptée, c’est parce qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème.
Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre.
Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras.
Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous pour imposer ses mœurs.”
DÉCIDÉMENT, LA GAUCHE FRANÇAISE MARCHE SUR LA TÊTE !
RépondreSupprimerPuisqu'elle est l'alliée subjectif du wahhabisme en France !!
Franz-Olivier Giesbert :
" Imagine-t-on Jaurès, Clemenceau, Guesde défiler au milieu des curés, des ostensoirs et des encensoirs, pour dénoncer une législation liberticide, avant l’adoption de la loi de 1905, séparant l’Église et l’État ? Que leurs prétendus héritiers, les Mélenchon, Autain, Hamon, se commettent aujourd’hui avec l’islam le plus obscurantiste, c’est bien la preuve que cette gauche a la tête à l’envers.
" Après les grenouilles de bénitiers, voici venu le temps des pigeons de tapis de prière. À l’appel, entre autres, du très louche Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), ces soi-disant républicains se retrouvent côte à côte avec des Frères musulmans aussi mielleux par-devant qu’ils sont totalitaires par-dessous, ou des prédicateurs salafistes glorificateurs du « viol conjugal », pour demander le retrait de « lois liberticides » (celle de 2004 contre les signes religieux à l’école et celle de 2010 interdisant le voile intégral).
Oh, le beau monde !"
http://www.liguedefensejuive.com/franz-olivier-giesbert-la-marche-funebre-de-la-gauche-bigote-2019-11-11.html?fbclid=IwAR1Q9qRnvKZ7HY3ySDFDmP1KvD0dwSFzPgIZkxN25ad7_5-4ZamFRB40il8