dimanche 8 mars 2020

Les islamistes ont banalisé le terrorisme en Tunisie ...


... puisque même le président de la république tout comme son premier ministre, semblent s'y être habitué. Alors que les terroristes et ceux qui les soutiennent officient à visage découvert et narguent la classe politique et les tunisiens, sans que la justice ne fasse son travail. Preuve s'il en est besoin, que la Tunisie n'est toujours pas un Etat de droit. 
Vivement la Troisième République.
R.B
Résultat de recherche d'images pour "sofiene ben hamida photos"
Ces terroristes à visages découverts

Vendredi dernier, deux kamikazes se sont fait exploser près de l’ambassade américaine dans une banlieue huppée de Tunis. Deux de moins dans le contingent de Noureddine Bhiri qui comprend cent mille kamikazes selon ses propres dires. Deux kamikazes qui rappellent à Rached Ghannouchi sa jeunesse et qui ont voulu exprimer leur islam coléreux de la manière la plus sanguinaire et morbide. Deux criminels qui trouvent pourtant des voix non moins criminelles pour les défendre.
Depuis vendredi dernier les dirigeants de l’Etat s’activent à nous faire croire qu’ils font quelque chose : Kaïs Saïed et Rached Ghannouchi ont rendu visite aux blessés, chacun de son côté, pour s’assurer qu’il sera au centre de la photo de circonstance. Elyes Fakhfakh s’est déplacé chez le lieutenant décédé dans l’attentat terroriste pour présenter ses condoléances à sa famille. Sinon, rien ou presque. Les déclarations ou les communiqués publiés jusque-là ont été bien fades. Ils manquent d’engagement comme si l’attentat terroriste est un simple fait divers ou comme si le terrorisme est entré dans nos habitudes, une explosion de temps en temps, quelques victimes et la vie reprend son cours. On était en droit de s’attendre à une assemblée générale d’urgence de l’ARP le lendemain samedi, pour commémorer le 4éme anniversaire de l’épopée de Ben Guerdène et montrer la détermination du peuple à travers celle de ses représentants face au terrorisme. Au lieu de cela, on a eu droit à un communiqué édulcoré de sa présidence.
Pendant ce temps, dans le camp d’en face, celui des terroristes, leurs supporters, leurs alliés et leurs défenseurs, l’heure était à l’offensive pour rendre les deux kamikazes victimes d’une situation, non responsables de leur crime odieux et faire porter toute la responsabilité à l’Etat, aux services de renseignements étrangers et aux forces occultes antirévolutionnaires. C’est le cas de la coalition Al Karama, remplaçante des anciennes Ligues de défense de la révolution. C’est le cas d’Imed Dghij, ancien gros bras de ces ligues qui s’est vu dernièrement propulsé dirigeant politique. C’est le cas aussi de Seif Eddine Makhlouf, avocat du diable, qui a reconnu être l’avocat de l’un des terroristes impliqués dans l’attentat de vendredi dernier. C’est aussi le cas de ce député Mohamed Affes qui, sans aucune gêne, il y a à peine quelque jours, au sein même du Parlement, a fait l’apologie du takfir (apostasie). Tous se barricadent derrière la démocratie, la liberté d’expression et les droits humains pour continuer à agir contre les fondements de notre société.
Or, il est évident que ces gens sont une menace mortelle pour les libertés publiques et individuelles. La démocratie derrière laquelle ils se murent pour mieux la poignarder est un système qui exige l’acceptation des différences, la cohabitation entre les idées contraires et la résolution pacifique des conflits. Pour sa survie et sa pérennité, la démocratie se doit de se défendre contre ses détracteurs et ses ennemis par la force de la loi. Ces lois existent. Elles interdisent l’apologie de la violence et du terrorisme. Elles interdisent les atteintes à la paix sociale et ne permettent en aucun cas les discours qui portent atteinte à la diversité ou qui incitent à la haine et à la violence. 
L’apologie de la violence et du terrorisme n’est pas un simple point de vue. C’est un crime puni par la loi. Celle relative à la lutte contre le terrorisme et la répression du blanchiment d’argent aurait pu, si elle avait été appliquée scrupuleusement, à tous et dans toutes les circonstances, lutter plus efficacement contre le terrorisme et le priver de ses soutiens. 
Malheureusement, cette loi n’est applicable qu’en présence d’un Etat fort et déterminé qui ne concède rien aux terroristes et à leurs soutiens à l’intérieur comme à l’extérieur du pays. C’est ce qui nous fait défaut aujourd’hui.

2 commentaires:

  1. LE STATUT DU TERRORISTE EN TUNISIE ...

    Hamida Barnat :

    Il est payé pour faire le jihad
    Il est rapatrié après "service" à l'étranger
    Il est reçu à bras ouverts par le président de l'assemblée
    Ses enfants sont reçus par le président de la république
    Sa famille touche des primes s'il se fait exploser
    Sa veuve et ses orphelins sont pris en charge par l'Etat
    Il a des avocats pour le défendre
    Il est pistonné (Ghannouchi, Bhiri ...) pour le sortir de prison
    Il a des députés pour le représenter au parlement ...

    Les prostituées "halales", sont rapatriées après "service"
    Les enfants de ces prostituées, seront pupilles de l'Etat ...

    Alors qu'un policier victime du terroriste, on le pleure puis on l’oublie !
    Il n'a que sa femme et ses enfants pour le pleurer et que le terroriste méprise pour leur parenté avec le policier !

    On comprend mieux pourquoi Ghannouchi et ses Frères recrutent aisément parmi notre jeunesse déboussolée et au chômage !

    https://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/violence-la-tunisie-frappee-par-un-nouvel-attentat-les-politiques-montres-du-doigt

    RépondreSupprimer
  2. Abir MOUSSI RAPPELLE QUE LE TERRORISME S'EST DÉPLOYÉ EN TUNISIE AVEC L'APPUI D'ENNAHDHA !

    Elle démontre que le terrorisme est arrivé en Tunisie après le coup d'Etat du 14.1.2011; et qu'il est organisé et soutenu par Ghannouchi et ses gouvernements successifs de Larayedh comme de Jebali ... dans un but politique !

    Alors stop à l'hypocrisie générale !
    Tout le monde dénonce le terrorisme mais personne n'ose critiquer ni condamner Ghannouchi et ses Frères musulmans.

    Comme elle dénonce la complicité de la classe politique qui joue le jeu de Ghannouchi par son silence !

    Elle désigne le responsable du dernier attentat : Seifeddine Makhlouf et son parti al-Karama* !

    * al-Karama n'est que le remplacement de LPR ** dissoute et qui sont toujours le bras armé de Ghannouchi ... ce qui explique l'impunité de ses membres !
    ** Ligue de Protection de la Révolution mise en place par des voyous sans foi ni loi autoproclamés "protecteurs de la révolution, eux-même étant des "révolutionnaires" de la 25 éme heure; dirigée en sous main par Ghannouchi.

    https://www.facebook.com/188191132118560/videos/2563724083909597/

    RépondreSupprimer