L'OCCIDENT et l'ISLAMISME

- Les américains se sont appuyés sur les islamistes avec l'aide des saoudiens pour débouter les russes hors de l'Afghanistan. 

Dés que ce fut fait, ils s'en lavèrent les mains abandonnant les afghans aux islamistes, que soutient le roi d'Arabie.

- En Libye, la France à la tête de la coalition de l'OTAN, fera de même. 

Sarkozy acceptera de s'appuyer sur les islamistes dont beaucoup ont servi dans les rangs d'Al Qaïda en Afghanistan. 

Et dés la mort annoncée de Kadhafi, lui et l'OTAN se retirent laissant le champs libre à l'émir du Qatar pour installer son protégé, un islamiste qui a servi dans Al Qaïda.

Il est curieux de constater que la leçon n'ait pas été retenue : Sarkozy reproduisant l'erreur de Bush ! Ou ferment-ils les yeux, sur les ambitions d'hégémonie de leurs amis rivaux : l'émir et le roi ? !!

Persuadés que le problème que posent les islamistes, ne touchera que les pays qu'ils disent arabo musulmans.

Il faut reconnaître que ces deux monarques sont riches en hydrocarbures et en pétrodollars.

Mais la real politik doit avoir des limites : la sécurité. 

Car tôt ou tard cet islamisme s'installera aussi en Occident.

Telle est l'ambition du roi Ibn Saoud et de son rival l'émir du Qatar.

Ce qui est entrain de se faire dans beaucoup de pays d'Europe et en Amérique.


Ce qui devait arriver, arrive : l'extrémisme appelle l'extrémisme !
La montée du front national : 
- au Danemark, 
- en Belgique, 
- en Hollande,
- en Autriche,
- en France....
on la doit au salafisme que diffuse les Ibn Saoud et leur rival l'émir du Qatar. Au grand dam des musulmans qui vivaient en harmonie dans leurs pay d'acceuil jusqu'à ce que ces monarques décident d'exporter leur salafisme wahhabite !
La lutte contre le salafisme politique incombe aux responsables politiques de ces pays qui ont longtemps fermé les yeux sur l'activisme des pétromonarques, esclaves de leur or noir !
Mais aussi, aux musulmans qui y vivent et qui rejettent le wahhabisme de ces monarques !
A tous de dire NON à l'obscurantisme et à sa violence. 
C'est une ingérence politique que tous semblent ignorer ou négliger.

Rachid Barnat