Le nombre de femmes voilées augmentent de façon
exponentielle et les libertés individuelles sont remises en cause depuis que
les Frères musulmans ont le pouvoir en Tunisie.... et le wahhabisme gagne du
terrain chaque jour un peu plus !
C'est ce qui arrivera aux françaises
si leurs responsables politiques ne mettent pas un terme à leur liaison
dangereuse avec les Frères musulmans et les pétromonarques qui répandent le
wahhabisme en Occident.
R.B
Ni
pute ni soumise...
Billet d’humeur sur le burkini.
Depuis quelques jours fleurissent des polémiques quant au
port du burkini,
que ce soit à la plage ou en piscine.
Mais c’est quoi un burkini ?
C’est une version aquatique de la burqa ou du niqab, c’est à
dire un vêtement qui cache l’intégralité du corps sauf les mains et les pieds.
Par contre, même si la chevelure est voilée on voit très bien le visage (ce qui
n’est pas le cas du costume terrestre).
Le but est de permettre aux femmes portant le voile intégral
de profiter des joies de la baignade.
Loin d’être une tradition ancestrale, cette innovation
vestimentaire date de 2007; donc il va falloir s’armer de patience pour trouver
quelque chose dans le coran pour la justifier !
Critiquer le port du burkini est-il islamophobe ?
Je vais retourner la question et demander si les musulmanes
qui vivent non voilées, parlent aux hommes et se mettent en maillot sont pour
autant des mécréantes... c’est quand même la grande majorité.
Le burkini, comme sa grande sœur la burqa, n’est en rien un
symbole de l’islam. Nulle part il n’est indiqué dans le texte fondateur que la
femme doit vivre le corps entièrement caché dans une prison de coton.
Le coran ne parle ni de masque ni de pudeur mais de modestie
et on retrouve cette notion dans les textes des 3 grandes religions
monothéistes. Être modeste et simple pour ne par susciter l’envie et la
jalousie.
Modestie ?
C’est marrant parce que justement modesty en anglais peut se traduire également
par pudeur !
Du coup ça donne être pudique pour ne pas provoquer le désir
et l’envie ! Les mots sont proches mais la signification bien différente.
Je n’ai rien contre l’islam mais j’ai par contre une dent contre
les salafistes et autres extrémistes qui prônent l’asservissement de la femme. Cette
tradition au départ afghane
se répand d’année en année et est le symbole d’une mise à mort des droits des
femmes.
Dans les pays où elle est obligatoire, la burqa n’est que la
partie émergée de l’iceberg : Une femme violée sera condamnée soit pour
adultère, soit pour rapport hors mariage. Les femmes n’ont plus de compte en
banque, plus le droit au divorce, plus le droit de conduire, plus le droit de
parler, plus le droit de travailler... Elles sont officiellement esclaves
puisque propriété de leur père puis de leur époux qui ont d’ailleurs droit de
vie et de mort sur elles.
A une époque pas si lointaine les femmes afghanes portaient
fièrement la jupe courte et l’Iran était le pays avec le plus grand nombre de
femmes ayant des postes à responsabilités et ayant le plus haut niveau
d’études.
Mais en quoi ça me concerne le burkini ?
Je suis contre toute discrimination, même positive.
Je me suis vu refuser l’entrée de piscine, malgré un
certificat médical, pour nager en combinaison qui me protège du froid.
Quelqu’un peut m’expliquer la différence visuelle entre une
combi et un burkini ? En matière d’hygiène ?
Une autre fois refus d’accès au bord du bassin en short et
t-shirt mais tolérance pour le burkini largement répandue.
En quoi un short de bain est-il moins hygiénique ?
Bref au pays des droits de l’homme (et normalement aussi de
la femme), les islamistes (et non les musulmans) ont plus de droits que les
autres. J’ai croisé de nombreuses femmes en burqa, le visage voilé, dans les
grandes surfaces.
Vous avez déjà essayé de rentrer quelque part avec un casque
intégral, une cagoule fermée ou un masque de Mickey ? Dans les 30
secondes vous avez tous les vigiles sur le dos !
Je ne peux pas concevoir que d’appartenir à une religion
permettent d’avoir des droits différents ou d’être au-dessus de celle du
pays.
Vous allez me répondre que pouvoir nager en combi ou faire
ses courses déguisée en catwoman ça reste anecdotique mais c’est tout mon
quotidien qui est en train de changer doucement.
Dans certains endroits, le voile intégral est passé de
marginal à omniprésent en l’espace de 15 ans. Il est difficile de se faire une
idée quand on habite le 16ème ou la Creuse.
Je n’ai rien contre le vêtement en lui-même mais contre ce
qu’il véhicule.
Sur une plage Corse une femme aux seins nus se fait
caillasser et en partant bosser en tailleur, jupe au genou, je me suis fait
cracher dessus et traiter de pute. En primaire on me demande d’éviter les robes
pour ma fille.
Car chez les islamistes il semble n’y avoir que 2 sortes de
femmes : les putes ou les soumises.
En l’espace de 15 ans le corps de la femme est devenu tabou
et le harcèlement de rue banal. Je veux bien m’être bonifiée avec le temps mais
je me fais plus emmerder à 44 ans qu’à 20 ans !
J’ai pourtant traversé Paris et sa banlieue à toutes heures
et dans des tenues vraiment courtes sans jamais être ennuyée. J’ai dansé
topless sur des comptoirs dans la bonne humeur et sans grivoiserie. J’ai dormi
saoule sur des bancs parisiens en shorts et bas résilles sans un geste
déplacé.
J’étais libre de m’habiller comme bon me semble et pas
obligée de me changer en arrivant en soirée.
Il est devenu suicidaire de se promener seule en robe légère
dans certains quartiers et le français pure souche n’est pas en reste,
cautionnant même le viol pour celles qui l’ont “bien cherché”.
Regardez les albums de familles.
Regardez les tenues de vos mères, les jupes mi-cuisses, les
hauts moulants, les bottes, les talons hauts.
Depuis 15 ans, les jupes rallongent, les collants
s’opacifient, les pulls sont plus larges, les décolletés moins profonds et les
chemises se transforment en tuniques...
A 44 ans on me conseille d’éviter les jeans trop moulants et
on qualifie ce top à bretelles que j’ai depuis 20 ans de “super sexy”. Je ne
suis pas plus belle qu’avant, j’ai le même corps...
C’est le regard des autres qui change. Un regard qui
juge.
On assiste à une explosion de la pornographie sur nos écrans
mais la femme de la rue doit abdiquer de son corps pour devenir invisible. La
femme indépendante semble avoir fait son temps et devoir laisser la place à un
nouvel idéal de mère au foyer.
Je vis libre et j’entends dire que ce n’est pas “normal”. Une
femme “doit” vivre avec l’homme qui partage sont lit.
J’ai 44 ans et je ne suis ni pute ni soumise. Des femmes et
des hommes se sont battus pour que je puisse avoir le choix.
Alors oui, la burqa (et ses dérivés) me concerne car plus
elle progresse, plus ma liberté de femme recule. Ici c’est un choix
provocateur, dans d’autres pays c’est une contrainte qui mène à une mort
sociale et la négation du libre arbitre, des droits et de la femme.
LA FEMME MUSULMANE D’OCCIDENT EST LA PIRE ENNEMIE DE LA FEMME MUSULMANE D’ORIENT !
RépondreSupprimerSalem Ben Ammar :
" Femme musulmane je ne sais pas si tu es à plaindre ou à blâmer, tu es à la fois complice de tes bourreaux en Occident et vit une vie de bagnarde en terre musulmane.
" Là où on attend d’elle qu’elle brise les chaînes de son état d’esclave elle en fait un symbole de la liberté, une liberté d’un chien tenu en laisse par son maître.
" Sa coreligionnaire d’Orient étouffe sous le poids des traditions sexistes, discriminatoires, inégalitaires, tyranniques et liberticides qui l’ont réduite au rang de rebut de la société, au lieu de prendre faits et cause pour elle, la femme musulmane d’Occident la nargue et la snobe en affichant cyniquement les symboles du traitement décadent, infamant et humiliant qui est son lot quotidien depuis 1436 ans.
" Il lui est trop facile de jouer à la femme musulmane « émancipée » car elle sait au fond d’elle-même qu’elle est à l’abri du courroux de son tortionnaire si jamais elle dérape, mais sa coreligionnaire d’Orient n’a pas cette chance d’en faire autant et c’est la mort ou la rue qui la guettent.
" Pendant que la femme musulmane d’Orient rêve de vivre ne serait-ce l’ombre de la liberté de la femme occidentale, la femme musulmane d’Occident en proie aux troubles identitaires graves est convaincue que la voie de liberté est d’affirmer son état d’aliénation totale et absolue à son mâle dominant.
"la femme musulmane d’Orient rêve de vivre ne serait-ce l’ombre de la liberté de la femme occidentale" , vous leurs avait parlé ? Si deja les femmes musulmanes d'irak , de Syrie et de Gaza ne sont pas déchiquetés par les bombes Américaines , Israéliennes , d'Assad ou des russes , alors elles seront plus heureuses que n'importe quel femmes laics .... et non , les femmes musulmanes d'orient ne revent pas toute de s'enivrer en boite de nuit et de porter le string ... n'en faite pas les portes paroles de vos fantasmes les plus dépravés .
Supprimer