Le procès de "Charlie Hebdo" aura été l'occasion pour dénoncer les Frères musulmans et leur supercherie qui ne recule devant rien pour mettre à feu et à sang le monde, même sur des mensonges ! Ce que rapporte dans sa plaidoirie Maître Richard Malka dans l'espoir que les responsables politiques et les médias ne tombent plus dans le piège de l'islamophobie, cette arme dissuasive pour l'organisation criminelle de la confrérie, avec laquelle elle veut empêcher toute critique et faire taire ses opposants ! R.B
Richard Malka, avocat de « Charlie Hebdo », a clos les plaidoiries de parties civiles par un puissant hommage à la liberté d’expression, dont voici de larges extraits.
Le temps qui passe, les contretemps, les renvois
d’audience, les déficiences et les indécences de certains, tout cela ne peut
rien changer à la profondeur de notre chagrin. Celui d’être privé de
l’intelligence, du talent et de la bonté de ceux qui ne sont plus. Alors on
cherche un sens. C’est le seul moyen de le supporter. Un sens à ce qui est
arrivé. Un sens à ce procès.
Il a été épique, tragique, tourmenté. Il a déclenché
la fureur du monde. Il a été ponctué d’attentats. Il nous a livré la parole
bouleversante des victimes et nous a perdus dans les tentatives d’explication
des accusés. Son sens c’est évidemment, et d’abord, de juger ces accusés. C’est
de démontrer que le droit prime la force. Tout cela est déjà énorme, et dans
n’importe quel procès ce serait suffisant. Mais pas là. Pas au regard des
crimes commis. Les attentats de l’Hyper Cacher et de Charlie ne sont pas que
des crimes. Ils ont une portée politique, philosophique, métaphysique. Ils
convergent vers la même idée, ils ont le même but. Quand Coulibaly tue des
juifs, il ne tue pas que des juifs, il tue l’autre. Charlie Hebdo aussi, c’est
l’autre. Le sens de ces crimes, c’est l’annihilation de l’autre, de la
différence. Si l’on ne répond pas à cela, on se sera arrêté en chemin.
Cette cour n’a pas pour objet de protéger la liberté
et l’altérité. Mais de la même façon que vous avez organisé ce procès en deux
temps, celui des victimes et celui des accusés, il faut accepter qu’il y ait
deux procès en un. Celui des accusés et celui des idées que l’on a voulu
assassiner. Ces fameuses valeurs républicaines ébranlées. Ces crimes ne sont
pas des crimes comme les autres et ce procès ne peut pas être un procès comme
un autre. Il doit tenir compte de sa dimension symbolique. Et mon rôle, comme
avocat de la personne morale Charlie Hebdo sera de m’attacher à ce second
volet.
Je ne plaide pas pour l’histoire. Je n’en ai rien à
faire, de l’histoire. Je veux plaider pour aujourd’hui, pas pour demain. Pour
les hommes d’ici et maintenant, pas pour les historiens du futur. Le futur,
c’est comme le ciel, c’est virtuel. C’est à nous, et à nous seuls, qu’il
revient de s’engager, de réfléchir, et parfois de prendre des risques pour
rester libres d’être ce que nous voulons. C’est à nous, et à personne d’autre,
de trouver les mots, de les prononcer pour recouvrir le son des couteaux sous
nos gorges. A nous de rire, de dessiner, de jouir de nos libertés, face à des
fanatiques qui voudront nous imposer leur monde de névroses et de frustrations.
C’est à nous de nous battre pour rester libres. C’est ça qui se joue
aujourd’hui.
Rester libre, cela implique de pouvoir dire ce que
l’on veut des croyances sans être menacé de mort, abattu par des kalachnikovs
ou décapité. Or, ce n’est plus le cas aujourd’hui dans notre pays. Pendant ce
procès, un enseignant a été coupé en deux. Pendant ce procès, on a tué dans une
basilique. On a atrocement blessé rue Nicolas-Appert. On a menacé dans
plusieurs communiqués, dont un d’Al-Qaida.
Le message de ces terroristes est clair. Ils nous
disent : vos mots, vos indignations ne servent à rien. On continuera à vous
tuer. Vos juges, vos procès, sont indifférents. Vos lois sont des blagues, nous
ne répondrons qu’à celles du Ciel. Ils nous disent de renoncer à la liberté
parce qu’un couteau et un hachoir seront plus forts que 67 millions de
Français, une armée et une police. C’est l’arme de la peur pour nous faire abandonner
un mode de vie construit au fil des siècles. Et évidemment, ça ne s’arrêtera
pas aux caricatures, ni même à la liberté d’expression. Ils détestent nos
libertés. Ils ne s’arrêteront pas, parce que nous sommes un des rares peuples
au monde à être porteur d’un universalisme qui s’oppose au leur.
Qu’est-ce que cette nouvelle guerre qui oppose des dessinateurs avec leurs crayons, des enseignants avec leur tableau, à des fanatiques armés de kalachnikovs ou d’ustensiles de boucherie ? Par quel enchevêtrement d’idées, de discours et d’errements en est-on arrivé à ce que, pour la première fois dans le monde occidental depuis la fin de la guerre, un journal soit décimé, avant de devoir se retrancher dans un bunker à l’adresse secrète ? Qui a nourri le crocodile en espérant être le dernier à être mangé ? Parce que c’est toujours la même chose : quand on est confronté à la peur, certains choisissent de pactiser.
L’histoire que je vais vous raconter est notre
histoire à tous. C’est en partie, Messieurs, celle qui vous a amenés dans ces
box, alors j’espère qu’elle va vous intéresser.
Le compte à rebours s’est déclenché à Amsterdam le
2 novembre 2004. Theo Van Gogh était un journaliste et un réalisateur pas
sympathique. En 2004, il réalise Submission pour dénoncer la soumission des
femmes dans l’islam. Le 2 novembre 2004, il est abattu dans une rue d’Amsterdam
de huit balles dans le corps par un jeune islamiste de tendance takfiriste [une
sous-branche du salafisme]. Ensuite il est égorgé, et on lui plante deux poignards
dans le torse. Sur l’un de ces poignards, un petit mot de menaces de mort
contre les juifs. C’est la matrice de 2015 et de ses deux obsessions : la
liberté d’expression et l’antisémitisme.
A la suite de cet assassinat, un autre écrivain,
danois cette fois, Kare Bluitgen, veut écrire un livre sur la vie de Mahomet
dans un souci pédagogique à destination de la jeunesse. Il cherche un
illustrateur. Tout le monde refuse. La peur a déjà gagné. Alors, le 17
septembre 2005, il écrit dans un journal pour dénoncer l’autocensure dès qu’il
s’agit de l’islam. Flemming Rose, rédacteur en chef des pages culture du
Jyllands-Posten, un journal de centre droit qui serait l’équivalent chez nous
du Figaro, va demander au syndicat des caricaturistes danois comment il représente
Mohamed. Le 30 septembre 2005, ces caricatures sont publiées. Pendant deux
mois, il ne se passe pas grand-chose.
Cette affaire ne va prendre sa véritable ampleur qu’à
raison d’une escroquerie à la religion. Elle a été commise par des imams danois
de la mouvance des Frères musulmans, essentiellement des salafistes. En
décembre 2005, ces imams partent faire le tour des capitales arabes. pour
mobiliser les Etats musulmans contre ces méchants danois islamophobes. Et pour
le prouver, ils constituent un dossier, comprenant les caricatures. Ce dossier,
on l’a récupéré.
Le problème, c’est que dans ce dossier, ils ont ajouté
trois dessins qui n’y figuraient pas. Deux d’entre eux viennent d’un site de
fous furieux, des suprémacistes blancs américains. Un autre vient de France, il
n’a rien à voir avec l’islam, c’est un dessin sur la Fête du cochon à Tulle en
Corrèze. Et les imams disent : « Voilà comment on représente l’islam en
Occident. » Et alors là évidemment, sur le fondement de cette supercherie, de
cette mystification, le monde s’embrase. Et il y a des manifestations, des
morts, des drapeaux brûlés. Ils ont allumé le feu et ils nous traitent
d’incendiaires ? Alors oui, c’est dur d’être aimé par des cons d’intégristes
mais c’est encore plus triste d’être instrumentalisé par des escrocs !
Puis vient le temps de la récupération politique. En
janvier 2006, la très officielle Organisation de la conférence islamique, qui
regroupe 57 pays, va saisir l’ONU et lui demander d’obliger tous les pays du
monde à interdire la critique des religions. Voilà comment une escroquerie va
tenter d’obtenir une modification du droit mondial sur la liberté d’expression
!
Et c’est là que l’on va commencer à nourrir le
crocodile. Le 3 février 2006, le cheikh Al-Qaradawi, guide spirituel des Frères
musulmans, déclare un « Jour de la colère ». Le même jour, Jacques Chirac, Bill
Clinton et le secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, déclarent que « les
journaux ayant contribué à diffuser les caricatures ont fait un usage abusif de
la liberté de parole » et font appel à plus de respect envers les sentiments
religieux
On en est arrivé là : le monde a cédé devant
l’obscurantisme, la vérité a été recouverte par le mensonge. Et ceux qui
détestent nos libertés ont senti le sang de nos démocraties et ça leur a donné
de l’appétit. L’opération d’Al-Qaradawi a parfaitement réussi.
Cette histoire des caricatures, il faut la connaître.
Il faut la répéter, il faut l’enseigner. [Le premier ministre canadien] Justin
Trudeau connaît-il cette histoire, lui qui nous donne des leçons
d’accommodements raisonnables pendant ce procès ? Le président [turc, Recep
Tayyip] Erdogan, qui nous fait des leçons d’antiracisme, connaît-il cette
histoire ? Savent-ils que tout cela n’a pas été commis par nous ?
Mais la machine va se gripper. La machination
politique ne va pas aller jusqu’au bout. France Soir va publier ces caricatures
en France, son directeur [Jacques Lefranc] sera immédiatement limogé et Charlie
Hebdo va reprendre ces caricatures et les publier par solidarité. En 2007, nous
sommes poursuivis par l’UOIF [Union des organisations islamiques de France] et
la mosquée de Paris, nous gagnons le procès. On croyait qu’on avait gagné. En
fait, on n’avait rien gagné du tout.
Il faut encore savoir quelque chose. Le monde entier
pense que le procès des caricatures a eu lieu en France. Le premier procès, il
a eu lieu au Danemark, avec le même résultat. Mais il n’a intéressé personne.
Et pourquoi ? Parce que la France a une histoire particulière. Parce que c’est
le premier pays au monde à avoir banni le blasphème du code pénal. C’était en
1791. La même année que le décret sur l’égalité des juifs. Je ne sais pas
pourquoi, mais ces deux questions sont toujours liées, pour le pire et pour le
meilleur.
Alors l’histoire du blasphème en France, je vais vous
la raconter.
En 1789, la liberté d’expression est proclamée comme
un des droits les plus précieux de l’homme. Deux ans plus tard, on sort le
blasphème du code pénal. En 1881, on vote la grande loi sur la liberté de la
presse. Les débats font rage à l’Assemblée et c’est frappant de constater à
quel point ils se focalisent sur ceux d’aujourd’hui : le dessin et la religion.
C’est comme si Charlie Hebdo existait déjà ! « Dieu se défendra bien lui-même,
il n’a pas besoin pour cela de la Chambre des députés ! », répond Clemenceau à
l’évêque d’Angers qui invoque la blessure des catholiques outragés.
Alors vous voyez, on n’a pas le choix. Renoncer à la
libre critique des religions, renoncer aux caricatures de Mohamed, ce serait
renoncer à notre histoire, à l’Encyclopédie, aux grandes lois de la République.
Renoncer à enseigner que l’homme descend du singe et pas d’un songe. Renoncer à
l’égalité pour les femmes, qui ne sont pas la moitié des hommes, à l’égalité
pour les homosexuels, alors que, bizarrement, dans 72 pays au monde, les mêmes
ou à peu près que ceux qui ont encore une législation contre le blasphème,
l’homosexualité est encore une abomination.
Ce serait renoncer à l’indomptable liberté humaine
pour vivre enchaîné. Ce serait renoncer à ce droit si merveilleux d’emmerder
Dieu, monsieur le président. Charlie Hebdo ne peut pas y renoncer, et nous n’y
renoncerons jamais, jamais, jamais. C’est ça, Charlie Hebdo. C’est notre droit,
il est reconnu par les tribunaux. Et au-delà de nos tribunaux nationaux, par la
CEDH [Cour européenne des droits de l’homme], qui lie des centaines de millions
de personnes et ne dit pas autre chose.
Mais alors comment on fait pour sortir l’islam de cela? Il faudrait le sortir du pacte républicain ? Il faudrait dire, non, il n’y a
qu’une religion qui devrait avoir un traitement de faveur, qu’on ne pourrait
pas caricaturer, et ce serait l’islam ? Ce n’est pas possible. Le combat de
Charlie Hebdo, c’est aussi un combat pour la banalisation de l’islam. C’est un
combat pour qu’on regarde cette religion comme une autre. Qu’on la traite comme
une autre. En faire une exception, c’est évidemment le pire service qu’on
pourrait lui rendre. On ne peut pas sortir une religion de l’égalité. Les
religions doivent faire l’objet de la satire, et pour reprendre les mots de
Salman Rushdie, de « notre manque de respect intrépide ».
On nous reproche des caricatures des religions. Mais
en réalité, nous n’en avons jamais fait. Ce n’est pas vrai. Toutes les
caricatures dont nous avons parlé ici ne sont pas des caricatures de la
religion, ce sont des caricatures du fanatisme religieux, de l’irruption de la
religion dans le monde politique.
Alors j’en viens à l’histoire de Charlie, la personne
morale que je représente. En 1960, nous sommes dans la France corsetée du
général de Gaulle, Cavanna rencontre Choron, ils décident de créer un journal
transgressif pour bousculer les mœurs, un journal essentiellement fait de
dessins, c’est Hara-Kiri. Le slogan de ce journal au départ, c’est : « Si tu ne
peux pas l’acheter, vole-le. ». Cabu va les rejoindre, puis Gébé, Topor,
Wolinski, Reiser. En 1970, c’est l’interdiction.
Le 1er novembre, y avait eu un incendie, 146 morts
dans une discothèque. Le 9 novembre, le général de Gaulle meurt. Et le 16
novembre, Hara-Kiri titre « Bal tragique à Colombey, un mort ». Ça n’a pas plu du tout au ministre de l’intérieur de l’époque, Raymond Marcellin, qui ne doit
d’ailleurs sa postérité qu’à cela. Interdiction d’Hara-Kiri.
A l’époque, il existait un Charlie Mensuel, dirigé par
Wolinski, il a été décidé de faire une déclinaison hebdomadaire. C’est-à-dire
que le fondement de l’existence de Charlie, c’est là censure de son ancêtre. Et
son premier numéro va être consacré à la censure. C’est l’ADN de ce journal.
« “Charlie Hebdo”, un symbole ! »
Arrive 1981, la gauche est au pouvoir, ce n’est plus
le temps de la transgression, les ventes du journal s’effondrent, Dix ans
d’interruption. 1992, sous la houlette de Philippe Val, l’équipe se reforme.
Cabu, Wolinski, Gébé, Cavanna et Renaud, le chanteur, décident de relancer
Charlie Hebdo, c’est la formule que vous connaissez aujourd’hui. Et je me
revois rédigeant les statuts de ce journal – probablement bien mal, j’avais 23
ans. Par une triste ironie de l’histoire, ses créateurs avaient décidé
d’appeler la société éditrice de ce journal, la « société Kalachnikov ».
Sous la houlette de Philippe Val, ce journal est devenu
une pépinière de talents. Mélangeant les anciens et les modernes, Siné, Joann
Sfar, Jul, Riad Sattouf, Catherine Meurisse, Fourest, Corcuff, Polac, Cavanna,
Gébé, tant d’autres ont passé par là. C’est devenu un journal d’une richesse
incroyable. Des crises, des ruptures, des psychodrames, il y en a eu tant que
je ne peux pas m’en rappeler. Mais il y a un point sur lequel tout le monde
était toujours d’accord : la liberté d’expression, la libre critique des
religions, pas des hommes à raison de leur religion, ça, c’est autre chose, ça,
c’est du racisme ou de l’antisémitisme. Mais la libre critique des idées, des
opinions, des croyances.
Et puis, il y a eu l’attentat. Et ce journal continue
à faire vivre ce rire, et ce journal continue à vivre. Il vit dans un bunker,
mais il vit. Il vit entouré de policiers, mais il vit. Il vit avec des
collaborateurs qui ne peuvent plus se déplacer avec leurs époux et leurs
enfants, mais il vit. Il vit sous les menaces, il vit avec les disparus et les
blessés, il vit avec les milliers de difficultés, il vit grâce à ses lecteurs,
il vit grâce à cette merveilleuse banalité du bien, il vit grâce à l’aide de
tous ceux, anonymes, qui viennent à son secours tous les jours, il vit aussi
grâce à ceux que vous avez vus à votre barre, et qui vivent plus intensément et
plus profondément que nous-mêmes.
Ils pourraient tous nous tuer, ça ne servirait plus à
rien, parce que Charlie est devenu une idée. Et Charlie pourrait disparaître
aujourd’hui, cette idée vivrait encore. On ne peut pas tuer une idée, c’est pas
la peine d’essayer. Charlie Hebdo, vous en avez fait un symbole ! Vous en avez
fait une idée ! On ne la tuera plus.
Ce procès a été un formidable accélérateur de
l’histoire. Pendant ce procès, il y a un islam républicain qui a grandi dans ce
pays, avec de nouvelles voix, et je pense en particulier au recteur de la
[Grande] Mosquée de Paris [Chems-Eddine Hafiz], qui a été mon adversaire,
puisqu’il était avocat en 2006 au moment du procès des caricatures de Mohamed,
et qui développe aujourd’hui un discours magnifique et courageux qui lui vaut
d’ailleurs à son tour d’être menacé. Il nous dit qu’il faut accepter le droit
aux caricatures, et c’est important qu’il le dise.
Les discours politiques ne sont plus les mêmes non
plus, ils ont évolué. Il y a beaucoup moins d’accusations d’islamophobie. Les
choses bougent, il y a un éveil des consciences. Ce procès y aura contribué, et
à ce titre-là, il aura été historique.
Alors ces trois mois ont été tragiques, difficiles,
autant que cela serve. Autant que ce soit pour que nous ne perdions pas nos
rêves, pour que nous ne perdions pas nos idéaux, pour que nous ne tournions pas
le dos à notre histoire, pour que nous ne soyons pas la génération qui aurait
abandonné l’histoire que je vous ai racontée, qui a abandonné ses rêves, ses
idéaux, son rêve de liberté et de liberté d’expression.
LA CULTURE FAIT PEUR AUX ISLAMISTES !
RépondreSupprimerLes régimes totalitaire cultivent l'obscurantisme car la culture leur fait peur : elle ouvre les esprits mais aussi les yeux sur leurs exactions !
Ce que les islamistes ont parfaitement bien compris, pour délaisser les écoles de la République voire les détruire et les remplacer par des écoles coraniques où le seul livre qui doit être appris par cœur même si l'on comprend rien au texte, c'est le coran !
L'ISLAMISME EN FRANCE !
RépondreSupprimerS'il a pu s'installer en France, c'est par la faute des responsables politiques qui de renoncement en renoncement aux valeurs de la France et notamment la laïcité, ont reculé lâchement devant l'envahisseur islamiste !
Et cela dure depuis 30 ans !!
Me Richard Malka rappelle qu'il ne faut pas faire une fixette sur les caricatures qui irritent l'islamiste pour oublier le reste qui est le rejet de tout le model sociétal occidental qu'il veut remplacer par le sien calqué sur celui des pétromonarchies soumis au wahhabisme qui fonde tous les mouvements et partis islamistes !!!
https://www.youtube.com/watch?v=LF6l2uNaN4E
Avocat ou le conflit permanent : entretien avec Richard Malka
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=SFR9Qsladnk