jeudi 7 juillet 2016

Islam : une religion fabriquée par des hommes ... pour asseoir leur pouvoir sur les hommes !


Zakaria Bouker tout comme Hela Ourdi, osent s'attaquer aux mythes fondateurs d'une religion qui fait parler d'elle depuis que d'ambitieux bédouins d'Arabie cherchent à imposer au monde entier le wahhabisme, la dernière obédience produite dans l'islam.
R.B
Les faussaires de l’histoire
Depuis l’arrivée de l’islam, Dieu est satisfait et l’enfer est fermé, faute de clients.

Les guerres se sont arrêtées, plus aucun scientifique n’est mort découpé en deux, ni grillé au feu. Les hommes sont devenus gentils comme des païens, heureux, intelligents, démocrates, libres de penser, d’écrire et de dessiner. 
Les mosquées poussent comme des champignons et il y a autant de TV satellitaires islamiques que de corans. 
Au point que de nos jours, il s'en fabrique en moyenne deux oulémas docteurs es-sciences de l’islam par jour, spécialisés pour chaque hadith (paroles de Mouhammad) du prophète et ceux qui lui ont été attribués. Multipliant encore un peu plus leur interprétation ... augmentant ainsi par leurs nouvelles fatouas une chariaa déjà pléthoriques en jurisprudences ... où il y a boire et à manger !

Les musulmans vivent plus longtemps et jouissent d'une qualité de vie meilleure que les coffars (mécréants) et les chrétiens, ennemis de l’islam, qui meurent jeunes, déchiquetés par des ceintures explosives.

Le terrorisme ne serait donc qu’une vue de l'esprit ou un vieux souvenir pour vieux manuels d'histoire ?

Foutaise que tout çà !

En réfléchissant bien et devant l’invasion par la dé-civilisation qui nous tombe dessus et qui nous renvoie à grands pas vers l’âge de pierre; nous avons simulé la piété et la croyance pour suivre le mouvement général et espérer ainsi échapper au terrorisme. 
C’est devenu même, le règne de la pensée unique ... et de l'hypocrisie !

Or la société régresse à vue d’œil.  

Des exemples de la nouvelle condition humaine, il y en a de bien tristes :
- Une professeure de français, s'est retrouvée SDF sur le banc de la station de métro Mandela. 
- Une jeune fille de 26 ans, docteur en chimie, trois fois citée pour excellence et dont les cheveux tombent à cause de la malnutrition, souffre de famine. Elle a fait deux tentatives de suicide en une seule année ! Elle a fini par accepter de travailler comme femme  de ménage pour une poignée de millimes. Mais trop affaiblie, n'a pu conserver un poste aussi ingrat.
- Un papa qui a passé la moitié de sa vie à apprendre la pédiatrie et l’autre moitié à secourir les bébés; apprend pendant qu’il sauvait les enfants des autres, que son fils est tombé dans les mains de Daech en Turquie pour aller se faire exploser dans une mosquée à Beyrouth, à Sana, à Bagdad ou à Damas avec pour objectif de se faire déchiqueter dans une mosquée bondée ... pour faire le plus de morts !
Il s’empresse de réunir ses maigres économies et entreprend de retrouver son fils, le dépolluer de l’islam et le ramener au foyer auprès des siens.
Bravant les chicanes turques insurmontables, dressées à la sortie du pays mais jamais à l’entrée, le Colonel Fathi Bayoudh a presque réussi; puisqu'en Turquie on peut entrer comme dans une toilette publique dés lors qu'on est candidat-terroriste ! 
Pour en sortir : c'est une autre affaire ! Il faut la signature du bon dieu ... sinon graisser la patte à des centaines d'intermédiaires.

Pas de chance : ce père est rattrapé par Daech à l’aéroport d’Istanbul, devenue capitale pour terroristes en goguette, et tue le Docteur Fathi Bayoudh avec des dizaines de passagers.
La Tunisie récupère ce citoyen dans un cercueil, devenu symbole des victimes de l’islam.
Qui est le responsable de ces malheurs ? Ce n'est ni Dhaoui du Qatar, ni Ghannouchi de Tunisie, ni le roi d’Arabie, ni le président de la Turquie … Le responsable c’est l’islam modéré comme l'affirment cyniquement les responsables politiques des EU mais aussi ceux de l'UE !

Sous ce vocable, qui sous-tend que l’islam en général ne l’est pas, se cache toute la schizophrénie et l’hystérie collective de cette religion, opium du peuple.

La guerre nous est imposée par ces obscurantistes. Mais nous sommes une poignée à faire de la résistance. Il s’agit de la mener sans concession. Probablement nous souffrirons de bannissement, de solitude, de mépris. Possible aussi que nous ne mourrons pas en un seul morceau.
Mais qu’est ce que c’est jouissif d’être en accord avec le bon sens. De dire ce qu’on pense et de penser ce qu’on dit ! Cela vaut bien plus que toutes les houris du paradis ! Parce que trop c’est TROP !

Reprenons l’islam point par point, caractère par caractère .... et voyons ce qu'on nous cache des mythes fondateurs de cette religion !
Pas de l’islam extrémiste ni de l’islam jihadiste et encore moins de l’islam satanique. Non de l’islam tout court ! Car n'en déplaise à Dieu, l’islam est ennemi de dieu !

On va aussi s’entourer de ceintures littéraires et historiques explosives .. pour parvenir au cœur de l’islam et dénoncer ses faussaires :

Chapitre 1/66 : Le coran a-t-il réellement existé ?
ܠܔܬܗܜ ܧ

Pardon. C’est du Syriaque, qu'on pourrait traduire par salut.

On est en l’an 623 après Jésus Christ.
L’écriture arabe n’existe pas encore. Il n’y a que du syriaque, de l’hébreux, de l’akkadien, de l’assyrien, du babylonien, de l’eblaite … dans ces contrées, autour du berceau de cette religion.

L’écriture arabe, c’est de la pure affabulation !

D’abord, pour pouvoir écrire, il faut un alphabet. Or il n’existera pas une seule lettre arabe avant au moins un siècle et demi après la naissance de l'islam.
Ensuite, pour qu’il y ait de l’écriture, encore faut-il trouver un arabe apte à écrire. Or dans un rayon de mille kilomètres autour de la Kaaba, il n’y en avait pas.

Jusqu'à l’arrivée de l’islam, et sur les quelques centaines de milliers d’arabes du Hijaz, il y avait à peine deux douzaines qui savaient écrire …. qui plus est, en araméen uniquement !

Dans l’ouvrage référentiel « al ikd al farid », Ibn abd Rabbou parle de 19 personnes capables d'écrire, en tout et pour tout.

L’auteur incontesté, pousse le ridicule jusqu'à affirmer que quelque part à « al anbar » dans l’actuel Irak, au milieu du VII siècle, trois personnages « tai » (ou arabes en syriaque) chez les araméens, se sont réunis pour apprendre à imiter l’alphabet syriaque pour écrire quelques mots arabes ! 

On peut inventer tout ce qu’on veut sur la rédaction du coran sous Ohtman ibn Afen, remis à Hafsa la veuve de Mahommad qui l’aurait gardé et remis au calife suivant …  
Or, il n’y a aucune trace de ce Coran écrit et transmis par Hafsa ! 
Tout simplement parce que l’écriture arabe n’existait pas à cette époque. 

Et des écrivains, il n’y en avait que 19 apprentis qui scribouillaient 23 lettres, imitant vaguement les caractères syriaques et dont seulement 5 lettres ne prêtaient pas à confusion. Si bien que, pour écrire la chose et son contraire, on utilisait les mêmes hiéroglyphes baptisés « caractère hijazi  ».

50 ans plus tard, un recueil de sourates fut rédigé à Sanaa au Yémen en caractère hijazi. Il a été retrouvé sous les décombres d’une vieille église héritée du royaume de « hymiar », transformée en mosquée.
Il sera réexaminé 14 siècles plus tard par des gens sérieux.

C’est la seule et unique source du coran dans l’histoire de l’humanité. Et elle porte le nom de « manuscrit de Sanaa » et non de coran de Sanaa.

Le problème, c’est que l’écriture baptisée « Hijazi » est une vague imitation du Syriaque (nos 19 apprentis y étaient pour quelque chose) sans aucun rapport avec l’arabe que nous connaissons.

l’Ecriture arabe, faut-il le rappeler, a été inventée un siècle plus tard à Koufa en Irak par des perses. D’où son nom : écriture koufique.

On avait alors repris ce recueil pour en décrypter les hiéroglyphes selon l’inspiration de ceux qui furent chargés de le faire, pour en faire le premier coran à la fin du XIII siècle. Soit 150 ans après la mort de Mahommad !

Durant 150 ans, le tout puissant empire musulman avec ses moyens considérables, n’a pu écrire un seul traître mot du coran ? Pourquoi ?? 
La réponse saute aux yeux !

Le premier coran lisible dans l’histoire a été rédigé au huitième siècle ! Toute les légendes qui prétendent le contraire ne résistent pas au bon sens.

Le soi-disant Coran de Othman Ibn Affan, sauf à être rédigé par l'ange Gabriel, n'existe que dans l’esprit de ceux qui l’ont inventé.
Pas même une copie, ni une copie d’une copie du coran de Othman n'ont été retrouvées !

Et voilà que soudainement, il va pleuvoir des corans aux quatre coins du monde. Dans l’ordre chronologique de leur rédaction, il y a eu la version dite de Birmingham, puis celle de Paris, puis celle de Tachkent, puis celle de Sanaa, puis celle du Caire, puis celle de Topkapi, puis celle de saint Petersburg ...

Le premier coran n’était donc pas arabe !

L’histoire aurait été pathétique si elle s’était contentée de s’arrêter là. 
Seulement la science enfonce le clou quand on s’y attend le moins :
Voila que la plus ancienne des versions, dite version de Sanaa datée au carbone 14 vers l’an 680, révèle une bizarrerie pour le moment insoluble ! 
Elle porte le nom de : « Palimpseste* ».
C’est quoi ce bidule ?



Le palimpseste est un manuscrit écrit sur un parchemin préalablement utilisé, et dont on a fait disparaître les inscriptions pour y écrire de nouveau. 

1 commentaire:

  1. J’ai lu votre article et j’ai constaté qu’à part Al Akkad, vous ne citez pas d’auteurs dignes de ce nom pour soutenir vos allégations.
    Vous avez beaucoup d’idées, mais pour s’attaquer au Saint Coran, il faut plus que cela.

    RépondreSupprimer