Zakaria
Bouker tout comme Hela Ourdi, osent s'attaquer aux mythes fondateurs d'une
religion qui fait parler d'elle depuis que d'ambitieux bédouins d'Arabie
cherchent à imposer au monde entier le wahhabisme, la dernière obédience
produite dans l'islam.
R.B
Les faussaires de l’histoire
Depuis l’arrivée de l’islam, Dieu est satisfait et l’enfer
est fermé, faute de clients.
Les guerres se sont arrêtées, plus aucun scientifique
n’est mort découpé en deux, ni grillé au feu. Les hommes sont devenus gentils
comme des païens, heureux, intelligents, démocrates, libres de penser, d’écrire
et de dessiner.
Les
mosquées poussent comme des champignons et il y a autant de TV
satellitaires islamiques que de corans.
Au
point que de nos jours, il s'en fabrique en moyenne deux oulémas docteurs
es-sciences de l’islam par jour, spécialisés pour chaque hadith (paroles
de Mouhammad) du prophète et ceux qui lui ont été
attribués. Multipliant encore un peu plus leur interprétation ...
augmentant ainsi par leurs nouvelles fatouas une chariaa déjà
pléthoriques en jurisprudences ... où il y a boire et à manger !
Les musulmans vivent plus longtemps et jouissent d'une
qualité de vie meilleure que les coffars (mécréants) et
les chrétiens, ennemis de l’islam, qui meurent jeunes, déchiquetés par des
ceintures explosives.
Le terrorisme ne serait donc qu’une vue de l'esprit ou un
vieux souvenir pour vieux manuels d'histoire ?
Foutaise que tout çà !
En
réfléchissant bien et devant l’invasion par la dé-civilisation qui
nous tombe dessus et qui nous renvoie à grands pas vers l’âge de pierre;
nous avons simulé la piété et la croyance pour suivre le mouvement général et
espérer ainsi échapper au terrorisme.
C’est
devenu même, le règne de la pensée unique ... et de l'hypocrisie
!
Or
la société régresse à vue d’œil.
Des exemples de la nouvelle condition humaine, il y en a
de bien tristes :
- Une professeure de français, s'est retrouvée SDF sur le
banc de la station de métro Mandela.
- Une jeune fille de 26 ans, docteur en chimie, trois fois
citée pour excellence et dont les cheveux tombent à cause de la malnutrition,
souffre de famine. Elle a fait deux tentatives de suicide en une seule année !
Elle a fini par accepter de travailler comme femme de ménage pour une
poignée de millimes. Mais trop affaiblie, n'a pu conserver un poste aussi
ingrat.
- Un papa qui a passé la moitié de sa vie à apprendre la
pédiatrie et l’autre moitié à secourir les bébés; apprend pendant qu’il sauvait
les enfants des autres, que son fils est tombé dans les mains de Daech en
Turquie pour aller se faire exploser dans une mosquée à Beyrouth, à Sana, à
Bagdad ou à Damas avec pour objectif de se faire déchiqueter dans une mosquée
bondée ... pour faire le plus de morts !
Il s’empresse de réunir ses maigres économies et
entreprend de retrouver son fils, le dépolluer de l’islam et le ramener au
foyer auprès des siens.
Bravant les chicanes turques insurmontables, dressées à la
sortie du pays mais jamais à l’entrée, le
Colonel Fathi Bayoudh a presque réussi; puisqu'en Turquie on peut
entrer comme dans une toilette publique dés lors qu'on est candidat-terroriste
!
Pour en sortir : c'est une autre affaire ! Il faut la
signature du bon dieu ... sinon graisser la patte à des centaines
d'intermédiaires.
Pas de chance : ce père est rattrapé par Daech à
l’aéroport d’Istanbul, devenue capitale pour terroristes en goguette, et tue le
Docteur Fathi Bayoudh avec des dizaines de passagers.
La
Tunisie récupère ce citoyen dans un cercueil, devenu symbole des
victimes de l’islam.
Qui
est le responsable de ces malheurs ? Ce n'est ni Dhaoui du Qatar, ni
Ghannouchi de Tunisie, ni le roi d’Arabie, ni le président de la Turquie
… Le responsable c’est l’islam modéré comme l'affirment cyniquement les
responsables politiques des EU mais aussi ceux de l'UE !
Sous ce vocable, qui sous-tend que l’islam en général ne
l’est pas, se cache toute la schizophrénie et l’hystérie collective de
cette religion, opium du peuple.
La guerre nous est imposée par ces obscurantistes. Mais
nous sommes une poignée à faire de la résistance. Il s’agit de la mener sans
concession. Probablement nous souffrirons de bannissement, de solitude, de
mépris. Possible aussi que nous ne mourrons pas en un seul morceau.
Mais qu’est ce que c’est jouissif d’être en accord avec le
bon sens. De dire ce qu’on pense et de penser ce qu’on dit ! Cela vaut bien
plus que toutes les houris du paradis ! Parce que trop c’est TROP !
Reprenons l’islam point par point, caractère par caractère
.... et voyons ce qu'on nous cache des
mythes fondateurs de cette religion !
Pas de l’islam extrémiste ni de l’islam jihadiste et
encore moins de l’islam satanique. Non de l’islam tout court ! Car n'en
déplaise à Dieu, l’islam est ennemi de dieu !
On va aussi s’entourer de ceintures littéraires et
historiques explosives .. pour parvenir au cœur de l’islam et dénoncer ses
faussaires :
Chapitre 1/66 : Le coran a-t-il réellement existé ?
ܠܔܬܗܜ ܧ
Pardon. C’est du Syriaque, qu'on pourrait traduire par
salut.
On est en l’an 623 après Jésus Christ.
L’écriture arabe n’existe pas encore. Il n’y a
que du syriaque, de l’hébreux, de l’akkadien, de l’assyrien, du babylonien, de
l’eblaite … dans ces contrées, autour du berceau de cette religion.
L’écriture arabe, c’est de la pure
affabulation !
D’abord,
pour pouvoir écrire, il faut un alphabet. Or il n’existera pas une seule lettre
arabe avant au moins un siècle et demi après la naissance
de l'islam.
Ensuite, pour qu’il y ait de l’écriture, encore faut-il
trouver un arabe apte à écrire. Or dans un rayon de mille kilomètres autour de
la Kaaba, il n’y en avait pas.
Jusqu'à l’arrivée de l’islam, et sur les quelques
centaines de milliers d’arabes du Hijaz, il y avait à peine deux douzaines qui
savaient écrire …. qui plus est, en araméen uniquement !
Dans l’ouvrage référentiel « al
ikd al farid », Ibn abd Rabbou parle de 19 personnes capables
d'écrire, en tout et pour tout.
L’auteur incontesté, pousse le ridicule jusqu'à affirmer
que quelque part à « al anbar » dans l’actuel Irak, au milieu
du VII siècle, trois personnages « tai » (ou arabes en
syriaque) chez les araméens, se sont réunis pour apprendre à imiter l’alphabet
syriaque pour écrire quelques mots arabes !
On peut inventer tout ce qu’on veut sur la
rédaction du coran sous Ohtman ibn Afen, remis à Hafsa la veuve de Mahommad qui
l’aurait gardé et remis au calife suivant …
Or, il n’y a aucune trace de ce Coran écrit et
transmis par Hafsa !
Tout simplement parce que l’écriture arabe
n’existait pas à cette époque.
Et des écrivains, il n’y en avait que 19 apprentis qui
scribouillaient 23 lettres, imitant vaguement les caractères syriaques et dont
seulement 5 lettres ne prêtaient pas à confusion. Si bien que, pour
écrire la chose et son contraire, on utilisait les mêmes hiéroglyphes baptisés
« caractère hijazi ».
50
ans plus tard, un recueil de sourates fut rédigé à Sanaa
au Yémen en caractère hijazi. Il a été retrouvé
sous les décombres d’une vieille église héritée du royaume de « hymiar »,
transformée en mosquée.
Il sera réexaminé 14 siècles plus tard par des gens
sérieux.
C’est
la seule et unique source du coran dans l’histoire de l’humanité. Et elle porte
le nom de « manuscrit de Sanaa » et non de coran de Sanaa.
Le problème, c’est que l’écriture baptisée « Hijazi »
est une vague imitation du Syriaque (nos 19 apprentis y étaient pour quelque
chose) sans aucun rapport avec l’arabe que nous connaissons.
l’Ecriture arabe, faut-il le rappeler, a été inventée un
siècle plus tard à Koufa en Irak par des perses. D’où son nom : écriture
koufique.
On avait alors repris ce recueil pour en décrypter les
hiéroglyphes selon l’inspiration de ceux qui furent chargés de le faire, pour
en faire le premier coran à la fin du XIII siècle. Soit 150 ans après la mort
de Mahommad !
Durant 150 ans, le tout puissant empire musulman avec ses
moyens considérables, n’a pu écrire un seul traître mot du coran ? Pourquoi ??
La réponse saute aux yeux !
Le premier coran lisible dans l’histoire a été
rédigé au huitième siècle ! Toute les légendes qui prétendent le contraire ne
résistent pas au bon sens.
Le soi-disant Coran de Othman Ibn
Affan, sauf à être rédigé par l'ange Gabriel, n'existe que dans l’esprit de
ceux qui l’ont inventé.
Pas même une copie, ni une copie d’une copie du coran de
Othman n'ont été retrouvées !
Et voilà que soudainement, il va pleuvoir des corans aux
quatre coins du monde. Dans l’ordre chronologique de leur rédaction, il y
a eu la version dite de Birmingham, puis celle de Paris, puis celle de
Tachkent, puis celle de Sanaa, puis celle du Caire, puis celle de Topkapi, puis
celle de saint Petersburg ...
Le premier coran n’était donc pas arabe !
L’histoire aurait été pathétique si elle s’était contentée
de s’arrêter là.
Seulement la science enfonce le clou quand on s’y attend
le moins :
Voila que la plus ancienne des versions, dite version de
Sanaa datée au carbone 14 vers l’an 680, révèle une bizarrerie pour le moment
insoluble !
Elle porte le nom de : « Palimpseste* ».
C’est quoi ce bidule ?
* Le palimpseste est un
manuscrit écrit sur un parchemin préalablement utilisé, et dont on a fait
disparaître les inscriptions pour y écrire de nouveau.
J’ai lu votre article et j’ai constaté qu’à part Al Akkad, vous ne citez pas d’auteurs dignes de ce nom pour soutenir vos allégations.
RépondreSupprimerVous avez beaucoup d’idées, mais pour s’attaquer au Saint Coran, il faut plus que cela.