On sait que les tunisiens ne sont pour rien dans le départ de Ben Ali, ni dans son remplacement par Ghannouchi; puisque tout s'est fait par Al Thani émir du Qatar avec l'aval des EU & de l'UE.
Ceux qui en redemandent d'Ennahdha pour maintenir Ghannouchi au pouvoir, après prés de dix ans de galère, seraient-ils maso ou amnésiques ?
Et les pires, ce sont les pauvres dont Ghannouchi exploite la misère en achetant leurs voix à coup de couffins ramadanesques, de moutons pour l'aïd, de prises en charge de frais de circoncision, de fiançailles, de mariage, de pèlerinage et autres "omra" (simple visite aux lieux saints) à la Mecque ...
R.B
Ceux qui en redemandent d'Ennahdha pour maintenir Ghannouchi au pouvoir, après prés de dix ans de galère, seraient-ils maso ou amnésiques ?
Et les pires, ce sont les pauvres dont Ghannouchi exploite la misère en achetant leurs voix à coup de couffins ramadanesques, de moutons pour l'aïd, de prises en charge de frais de circoncision, de fiançailles, de mariage, de pèlerinage et autres "omra" (simple visite aux lieux saints) à la Mecque ...
R.B
QU'ONT APPORTÉ À LA
TUNISIE Ben ALI ET GHANNOUCHI ?
Durant les 23 années de
Ben Ali, il n'y avait pas que du mauvais.
Il y eu des acquis que
personne ne peut nier :
- Une croissance de 5% en
moyenne, qui a permis
- l'émergence d'une classe
moyenne très importante.
- Une sécurité à travers
tout le pays.
- Construction
d'autoroutes (Tunis-Bizerte, Sousse-Sfax, Tunis-Medjez).
- Construction de 3
aéroports (Tabarka, Enfidha et Gafsa).
- Construction du Centre
de Traumatologie et des grands brûlés de Ben Arous-Tunis.
- Construction de Pôles
Technologiques (Ariana, Borj Cedria, Sousse, Gabes, Bizerte, Sidi Thabet,
Gafsa).
Et sur le plan social :
- Il a accordé aux
handicapés le droit de se faire soigner et d'utiliser les moyens de transport
gratuitement.
- La fille au chômage quel
que soit son âge, bénéficie de la retraite des parents en cas de décès des 2 parents.
- L'handicapé continue de
bénéficier de la retraite des parents en cas de décès des 2 parents.
- Prise en charge par la
CNSS des femmes divorcées dont les maris ne s'acquittent pas de la pension
alimentaire.
Ben Ali n'a pas réussi
dans le domaine politique. Il est vrai qu'il a été un dictateur avec un régime
policier fort ! Il a instauré une dictature qui lui a coûté son poste de
président.
Mais que dire de la
dictature que tente d'instaurer Ghannouchi ?
Ghannouchi se la jouait révolutionnaire et démocrate, jusqu'à ce que Abir Moussi dévoile le personnage
et fait tomber son masque pour révéler aux tunisiens le dictateur qui se cache
derrière, avec pour projet la régression de la Tunisie à tous les niveaux !
Ghannouchi refuse
l'indépendance de la Tunisie, comme il refuse la libération de la femme qui
n'est pour lui qu'un pot de chambre.
Je ne défends pas Ben Ali,
mais donnez-moi une seule réalisation qui mérite d'être citée, depuis le 14
janvier 2011.
Avec Ghannouchi, les
tunisiens découvrent le projet funeste qu'il a pour la Tunisie : en finir avec
la République, en mettant le pays à genoux.
- l'insécurité s'est
généralisée.
- la corruption s'est
généralisée, elle aussi.
- les caisses de l'Etat sont vides et celles de retraite des tunisiens, aussi.
- les caisses de l'Etat sont vides et celles de retraite des tunisiens, aussi.
- le pays est ruiné.
- la cherté de la vie
augmente de plus en plus, depuis 2011.
- la paupérisation gagne toutes
les classes sociales,
- la classe moyenne
n'arrive plus à joindre les deux bouts; et
- la classe pauvre, vire à
la misère.
- le pays est endetté,
comme il ne l'a jamais été.
- le dinar tunisien ne
vaut plus grand chose.
- l'industrie touristique est en berne.
- la compagnie Tunisair, fleuron de l'industrie nationale, bat de l'aile.
- l'industrie touristique est en berne.
- la compagnie Tunisair, fleuron de l'industrie nationale, bat de l'aile.
- le népotisme de
Ghannouchi n'a rien à envier à celui de Ben Ali : sa fille détient le monopole
des importations turques; son gendre a été ministre et a détourné l'argent de
l'aide chinoise pour la Tunisie dans l'impunité totale, protégé par la "Justice" de son beau-père; son fils gère la filière du jihadisme, financée par le Qatar; son neveu a été nommé "concierge" du Bardo, siège de l'ARP (assemblée des représentants du peuple), avec
rang et émolument de ministre ...
- la Tunisie est à nouveau terre d'invasion des nouveaux Ben Beni Hilal, pour diffuser le wahhabisme venu d'Arabie, par l'envoi d'imams et de prédicateurs qui envahissent nos mosquées, avec la bénédiction du cheikh Rached Ghannouchi.
- la Tunisie est à nouveau terre d'invasion des nouveaux Ben Beni Hilal, pour diffuser le wahhabisme venu d'Arabie, par l'envoi d'imams et de prédicateurs qui envahissent nos mosquées, avec la bénédiction du cheikh Rached Ghannouchi.
- lors des manifestations,
les tunisiens sont tirés comme des lapins avec " 'errach "
(balles aux plomb, de chasse) à Séliana ...
- la Tunisie est devenue un
pays de terroristes, détenant le triste record de 1er pays exportateur de
terroristes.
- notre jeunesse est
transformée en jihadistes/terroristes pour servir de chair à canon dans les
guerres d'Al-Thani; et
- nos jeunes filles sont recrutées pour le " jihad enniqah " (prostitution halale), pour les miliciens d'Al-Thani.
- nos jeunes filles sont recrutées pour le " jihad enniqah " (prostitution halale), pour les miliciens d'Al-Thani.
- le terrorisme a décimé
soldats, gendarmes et policiers.
- les assassinats
politiques se multiplient depuis l'arrivée au pouvoir des Frères musulmans,
dans une impunité totale; puisqu'ils ne sont toujours pas élucidés.
- tous les services de
l'Etat, hôpitaux compris, sont en panne sinon en déliquescence, où tout manque
...
On peut tout reprocher à
Ben Ali, mais il faut lui reconnaître son patriotisme, dont sont dépourvus les
faux révolutionnaires Ghannouchi et C°, qui ont vendu le pays aux puissances
étrangères.
Texte revu par Rachid Barnat
LES GOUVERNEMENTS DES BRAS-CASSÉS : C'EST FINI !
RépondreSupprimerKS a dénoncé les gouvernements des partis voulus par Ghannouchi le marionnettiste qui tirait les ficelles des ministres et des chefs des partis avec lesquels il s'alliait ... pour le grand bien d'Ennahdha.
KS a désigné Hichem Mechichi, un grand commis de l'Etat, connu pour son intégrité et son patriotisme, produit de l'école républicaine; avec la consigne d'un gouvernement de compétents, dont la Tunisie a grand besoin pour sortir de l’ornière où l'avait conduite intentionnellement, Ghannouchi.
Durant ses concertations avec les responsables politiques, on craignait qu'il cède à leurs pressions et à leurs chantages; particulièrement ceux d'Ennahdha qui voulait avoir quelques postes pour contrôler de l’intérieur l'action de son gouvernement et veiller qu'aucun dossier qui fâche les concernant, ne soit ouvert !
Mais le nouveau premier ministre avait des visions plus importantes pour le pays, pour se laisser emprisonner dans des contingences de partis tordus !
Bravo Hichem Mechichi : Un courage politique bon à signaler et qui présage d'une bonne gouvernance !
PS : Le PDL affinera l'analyse des CV des nouvelles recrues, pour voir s'il n'y figure pas de crypto-islamistes; autrement dit, des sous-marins nahdhaouis, comme dirait Abir Moussi.
https://www.businessnews.com.tn/evennement/101431/520/3/officiel---composition-du-gouvernement-hichem-mechichi.html?fbclid=IwAR11F0HkQ79PPG3EkbcJLxzLTuEkBdAI13l8zabur1aP87d6WDWGx9t2U9E
LES INCOHÉRENCES DE GHANNOUCHI POUR FORMER LES GOUVERNEMENTS ...
RépondreSupprimerAu début, Ghannouchi avait écarté le RCD de la scène politique, de peur qu'il fasse de l'ombre à son parti Ennahdha.
En interdisant ce parti par voir judiciaire, il a donné à voir sa conception de la démocratie, alors qu'un parti est plébiscité ou éliminé par les urnes, en démocratie !
Démocratie dont se gargarise Ghannouchi, par ailleurs.
Aux premières élections (2011), Ennahdha refusait de partager le pouvoir, moquant même ses opposants aux scores faibles par des quolibets du genre : "zéro virgule ..".
Aux secondes élections (2012), Ghannouchi a admis le partage du pouvoir, en apparence seulement, avec des progressistes comme vitrines de sa démocratie : CPR & Ettakattol, pour donner l'illusion d'une démocratie; alors que c'est lui qui décidait de tout et MBJ & Tartour avalaient les couleuvres en silence !
Aux élections d’après (2014), Ghannouchi a imposé le "consensus", cette trouvaille qui lui permet de tuer son nouveau allié Nidaa Tounes, en tirant les ficelles des ministres nidaistes, qui avalaient eux aussi couleuvres sur couleuvres, parfois en tentant de justifier l'injustifiable ...
Aux dernières élections (2019), sa stratégie machiavélique du "consensus" a été dénoncée et expliquée aux tunisiens; d'où sa recherche d' "oiseaux rares", en apparence libres mais dans la réalité c'est lui qui tirera les ficelles de la marionnette retenue.
Seulement voilà, l'arrivée du PDL sur la scène politique et au Bardo, va chambouler tous les plans et les petits jeux auxquels s'adonnait Ghannouchi en ridiculisant et en méprisant les prétendus progressistes .... qui jouaient son jeu.
Et depuis, il va tenter tout et son contraire, pourvu qu'il conserve la main mise sur les parti "démocrates" et conserve le pouvoir ...
D'abord en invoquant la légitimité pour son parti d'avoir le maximum de postes, dont les régaliens; puis en admettant qu'il faille un gouvernement de salut public; puis encore en réclamant un gouvernement de compétence ... pour revenir à la primauté des partis sur les "compétences" !
Mais depuis que KS a sifflé la fin de récréation, Ghannouchi et ses Frères musulmans tentent de s'imposer à Mechichi, contestant le gouvernement de compétence et revendiquant la primauté à Ennahdha pour figurer dans son gouvernement, leur parti ayant le plus de sièges au Bardo, rappellent-ils !
Et dans la foulée, les ex-alliés de Ghannouchi comme Nidaa Tounes (sous de nouvelles appellations), l'ex-CPR (sous de nouvelles appellations) et l'ex-Ettakattol (sous de nouvelles appellations); défendent la primauté aux partis, pour gouverner le pays !
Heureusement que ni KS ni Mechichi, ne suivent Ghannouchi dans ses incohérences ni dans ses élucubrations !
RESULTAT DE 10 ANNEES DE GESTION ISLAMISTE !
RépondreSupprimerLa dette publique ne cesse de progresser :
- elle était de 72,5% du PIB en 2019,
- elle sera de 90% à la fin de 2020,
- elle sera de 92,7% en 2021, selon le projet de loi de finance 2021 !
Toujours selon ce projet de la loi des finances, la fonction publique prévoit un budget pour 644 772 fonctionnaires !!
Fonction publique déjà pléthorique sous Ben Ali, pour 12 millions d'habitants et que les Frères musulmans d'Ennahdha ont multiplié par deux depuis qu'ils détiennent les rouages de l'Etat en recrutant massivement leurs adhérents et leurs sympathisants, non pour leur compétence mais juste pour leur allégeance à Ghannouchi, passant outre les règles et concours de recrutement !
Est-ce un hasard ces chiffres catastrophiques qui traduisent la faillite de l'Etat ?
Absolument pas : les Frères musulmans savent ce qu'ils font, puisqu'ils appliquent à la lettre leur funeste programme !
Résultat : Toutes les administrations tournent mal ou au ralenti à cause des incompétents recrutés par Ennahdha qui, d'une pierre fait 3 coups :
- elle achète les allégeances,
- elle détruit de l'intérieur les rouage de l'Etat pour en finir avec la République,
- elle rend la Tunisie à nouveau colonisable, la mettant à la merci des amis turcs et qataris, de Ghannouchi.
Puisque Ghannouchi et ses Frères musulmans, considèrent la Tunisie comme leur butin de guerre, en pratiquant la razzia ancestrale des bédouins d'Arabie, adaptée aux temps modernes !
CHERCHEZ LA CAUSE ...
RépondreSupprimerEn 2010, un cahier scolaire coûtait 50 millimes.
En 2020, il coûte 20 dinars !
Ceux qui ont voté Ghannouchi, peuvent lui dire merci !!
17 DECEMBRE 2010 : débutaient les "événements" qui vont accoucher de la fumeuse révolution ... du "printemps arabe", avec l'installation au pouvoir de Ghannouchi par son protecteur l'émir du Qatar !
RépondreSupprimer17 DECEMBRE 2020 : 10 ans après, les Tunisiens commencent à comprendre la supercherie des Frères musulmans et leur funeste projet !!