samedi 25 mai 2019

Abir Moussi, une femme de conviction !

Dans le marasme où l'ont mise les Frères musulmans, la Tunisie a besoin d'une forte personnalité pour la sortir de cette ornière. Et qui mieux qu'un destourien pour reconstruire ce pays libéré et bâti par des destouriens
Il se trouve que c'est une femme et tant mieux, car s'il y a révolution ce serait celle-là, qu'une femme enfin dirige ce pays !
Si sa popularité augmente de jour  en jour, cela prouve bien que le peuple tunisien n'est pas aussi bête qu'on le croit. Déçu de tous les politicards prétendument progressistes, il commençait à désespérer de la classe politique, jusqu'à ce que Abir Moussi sorte du lot avec sa fermeté, ses conviction et son attachement revendiqué au Destour et aux partis qui en sont issus, revendiquant à la fois leurs réussites et elles sont nombreuses mais aussi leurs échecs dont elle tirera les leçons. Alors que d'autres destouriens ont fait profil bas ou pire ont rallié leur ennemi juré : les frères musulmans !
Son discours est audible par tous les tunisiens qui voient leur pays régresser à tous les niveaux. Elle a pointé du doigt toutes les causes de cette régression, la première étant Ghannouchi et ses Frères musulmans, leur entrisme, la Constitution et le mode électoral qui rendent le pouvoir totalement impuissant; ce qui fait leur jeu avec un pays devenu ingouvernable, incapable d'avoir une politique ferme et sérieuse. 
Et de cela, les Tunisiens en ont des exemples tous les jours !
C'est pourquoi sa rectitude dérange et sa fidélité de destourienne agace ceux qui n'ont pas de principes !
R.B
Bourguiba a libéré la femme tunisienne. 
C'est la femme tunisienne 
qui libérera 
la Tunisie de l'islamisme.
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Préservons le legs destourien et respectons-en l'esprit  


Abir Moussi, portrait d’une Benaliste convaincue

Elle vante l’ancien régime, fustige la révolution et jure d’éradiquer l’islamisme. A priori bien placée dans les sondages, Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre, est une énigme. Portrait.

Moins de deux mois après la chute de l’ancien régime, dans une Tunisie en pleine effervescence révolutionnaire, la scène marque les esprits. Au tribunal de première instance de Tunis, ce 2 mars 2011, se tient le procès de dissolution du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD).

Une avocate, une seule, a accepté de représenter le parti de Ben Ali : Abir Moussi. Elle s’avance dans une salle chauffée à blanc qui la hue et l’insulte. À la levée de l’audience, elle est prise à partie par ses confrères. La foule la poursuit jusque dans la rue, la rouant de coups et lui tirant les cheveux. L’avocate manque d’être ­lynchée. Par chance, elle trouve refuge dans une estafette de police.

La scène illustre l’engagement d’une femme se battant seule contre tous. Une femme qui affiche sans crainte sa fidélité à Ben Ali, tout en se réclamant du fondateur du premier Destour, Habib Bourguiba. Sa grande taille et sa corpulence en imposent. Son look de fille du peuple fait son effet. Son audace, son franc-parler et ses ruades contre ses adversaires lui forgent l’image d’une pasionaria. Surnommée la « Lionne », elle incarne ce qu’on appelle en tunisien la r’jouliya : le courage viril.

Respect de la loi et de l’autorité

Depuis ce procès, pas un jour sans qu’Abir n’essuie attaques, insultes et ­harcèlement judiciaire. Qu’à cela ne tienne. Elle est décidée à dénoncer les ­trahisons politiques, les coalitions d’intérêt et ­l’opportunisme en tout genre qui minent le pays. La défense de l’ancien régime est la pierre angulaire de ses apparitions. « Abir Moussi n’a jamais dévié de cette ligne ni retourné sa veste », dit d’elle le chroniqueur politique Lotfi Laamari. À se demander d’où lui vient ce caractère obstiné qui confine parfois à la rigidité.

Née en 1975 d’une mère institutrice du Sahel et d’un père originaire de Béja, dans le nord-ouest du pays, Abir Moussi est la dernière d’une fratrie élevée dans le respect de la loi et de l’autorité. Le papa travaille à la Sûreté nationale. Et milite dans ­l’encadrement de la jeunesse ­destourienne : « C’est de lui que me viennent l’amour de la politique et l’attachement à Bourguiba. » À la maison, les murs du salon sont ornés de l’uniforme de son père et d’une photo de Bourguiba en robe d’avocat.

Mademoiselle mène un parcours scolaire sans faute. Brillante mais tête de mule. On veut l’orienter vers les sciences, elle préfère les lettres. On la voit médecin ou ingénieur, elle rêve de devenir avocate « pour faire de la politique, comme Bourguiba » : « Changer d’orientation universitaire a été mon premier acte de militantisme. » Pari gagné : en 1997, elle est reçue première au concours Capa sur 5 000 candidats. À son entourage, elle lance : « Maintenant, j’ai deux choses à faire dans ma vie : le barreau et la politique. »

Ennemie politique n°1 d’Ennahda

Deux dates marquent à jamais son parcours : le 14 janvier 2010, quand elle est nommée secrétaire générale adjointe du RCD et, un an plus tard, le jour de la chute du régime de Ben Ali. Contrairement à d’autres dirigeants du parti, Abir refuse de jeter l’éponge ou de renier ses convictions. Elle réclame alors un droit d’inventaire et retrouve sa famille politique au sein du Mouvement destourien, créé par l’ancien Premier ministre Hamed Karoui, qui réunit en son sein certains dignitaires de l’ancien régime.
Le parti connaît un échec cuisant aux législatives d’octobre 2014. Karoui décide de passer le flambeau à une nouvelle génération. Le congrès se tient le 13 août 2016, le mouvement prend le nom de Parti destourien libre (PDL) et élit à sa tête Abir Moussi. Aussitôt, elle désigne ses ennemis, au nombre de trois : le parti islamiste Ennahdha, dont elle est devenue l’ennemi politique numéro un, quiconque a une main dans « le soi-disant Printemps arabe » et les « faux défenseurs des droits de l’homme et autres révolutionnaires de la 25e heure ».
Et, enfin, toute personne ou obédience qui remet en question les principes du code du statut personnel, même si, paradoxalement, peut-être pour séduire les conservateurs, elle se dit opposée à l'égalité dans l'héritagz et à la dépénalisation de l'homosexualité. 

Adversaire du nomadisme parlementaire

De quoi inspirer le scepticisme de ses opposants, qui lui reprochent de dire « ce qu’elle ne veut pas » sans faire de propositions constructives. Les mêmes ricanent de sa prétention à effacer les islamistes d’un coup de baguette magique. La suspectent de vouloir restaurer l’ancien régime. Critiquent la virulence de son discours et l’accusent de manquer de consistance.
En réponse, elle brandit son projet de nouvelle Constitution, qu’elle rendra public à l’occasion de la campagne pour les législatives et la présidentielle. Abir Moussi assure, aussi, avoir réfléchi à des réformes politiques, ­économiques et sociales. Elle veut rétablir l’autorité de l’État et enclencher un audit interne des finances publiques.

Elle propose de remplacer le régime ­parlementaire par un régime ­présidentiel en ­renforçant la ­méritocratie et le ­mécanisme de ­surveillance ­institutionnelle. Interdire les partis qui se réclament de la religion. Empêcher le nomadisme ­parlementaire : tout député quittant son parti devra être déchu de son mandat.

Un discours économique convenu

Sur l’économie, son discours reste convenu. Stopper l’hémorragie de la dette et mieux gérer les deniers publics figurent au programme de tous les partis ou presque. Tout comme encourager les PME et le secteur privé par des incitations fiscales et substituer la production à la rente. Des réformes qui nécessitent au préalable de se mettre autour de la table des négociations avec l’UGTT, principal syndicat. « J’ai demandé à les voir, je n’ai pas eu de réponse », confie Abir Moussi.

Rencontrer et convaincre ses électeurs reste sa priorité. Ils se recruteraient, dit-elle, parmi les indépendants, les destouriens « qui ont mal parce qu’ils se sont tus ou ont été humiliés et désirent retrouver leur maison et leur identité », une partie des déçus de la gauche, « toujours ambiguë, et qui ne joue pas son rôle », d’anciens commis de l’État, les familles des sécuritaires, les femmes – « nous sommes le seul parti qui respecte la parité dans ses instances » –, les jeunes enfin, pour qui elle a créé une Académie politique : « Ils voient mon âge et se disent : “Celle-là, au moins, nous pouvons avoir un avenir avec elle.” »

Les derniers sondages placent son parti en cinquième position aux législatives. Pour la présidentielle, elle-même arriverait quatrième.

Le comité national du PDL comprendrait également des figures connues de la société civile, des intellectuels et des artistes, qui préfèrent pour le moment ne pas se prononcer publiquement par crainte de sanctions des administrations ou ­ministères dont ils dépendent. Abir Moussi a également rencontré l’ambassadeur de France et espère que d’autres diplomates suivront… Elle a déjà tenu un premier meeting à Paris, en février.

Verbe haut

Un ex-haut responsable du RCD, ­plusieurs fois ministre, concède : « Abir est une vraie militante et a une sacrée ­personnalité. Mais elle devrait ­chercher à rassembler et gagnerait à être plus ­nuancée. » 

« La nuance, tout le monde fait ça ! On m’attaque, je réponds », réplique la « Lionne ». 

C’est peu dire que la jeune femme ne fait pas l’unanimité dans les rangs de sa formation d’origine. Peu de caciques de l’ancien régime la soutiennent. « Je suis allée vers eux, ils ne m’ont jamais prise au sérieux, tranche-t-elle. Maintenant que je monte dans les sondages, ils me font des appels du pied. S’ils veulent me rejoindre, c’est à la condition de ne plus frayer avec le parti islamiste. » 
« Qu’elle critique les anciens destouriens est son droit, mais qu’elle ne les insulte pas », met en garde l’ancien dirigeant.

De son côté, Moussi sait qu’elle a le vent en poupe et surfe sur cette notoriété. En peu de temps, son parti a réussi à s’imposer sur l’échiquier ­politique. « Quand un chauffeur de taxi et un homme d’affaires me disent qu’ils vont tous deux voter pour elle, je me dis qu’elle a des chances », confie Lotfi Laamari.

À moins que les attaques ne redoublent de vigueur. Car l’omniprésence d’Abir Moussi agace. « Je veux bien que d’autres aillent s’exprimer à ma place, se défend-elle, mais ce sont les médias qui exigent ma présence. Et les masses aiment que la présidente vienne en personne leur parler. » Elle cite ce proverbe arabe : « La persévérance vient à bout du marbre. »

Si elle n’a pas honte de son passé, elle assume aussi son présent, assurant vivre à la manière du Tunisien moyen : « J’ai des dettes, comme tout le monde. Mes parents m’aident depuis que j’ai fermé mon cabinet et perdu mes clients. Je circule dans une petite voiture. Je n’ai pas de quoi envoyer mes enfants dans des écoles privées. » Ses efforts se concentrent sur la préparation des législatives d’octobre : « Nous serons présents dans toutes les circonscriptions, nos commissions travaillent depuis un an. »

Des alliances, mais « sans concessions »

Abir Moussi n’exclut pas des alliances, mais « sans concessions. Celui qui partage nos principes et notre programme politique peut se joindre à nous ». Le vent, dit-on, soufflerait en sa faveur du côté du Sahel, du Nord-Ouest et du Cap-Bon. « Il nous reste à soustraire le Sud à la mainmise islamiste », sourit-elle.

En attendant la présidentielle ? Elle botte en touche sur sa candidature éventuelle : « Je ne suis pas autorisée à vous le dire. Mais sachez une chose : je ne suis pas là pour devenir un chef, mais pour que le parti gouverne réellement et dans l’intérêt du pays. »

Reste, en outre, à convaincre les électeurs qu’une femme est légitime à Carthage… « Les Tunisiennes représentent une importante force électorale et ont fait la preuve de leur compétence, insiste Abir Moussi. Beaucoup d’hommes pensent que la période actuelle nécessite leur présence au sommet de l’État et semblent même attendre que les femmes les sauvent ! »

Libertés et polémiques

Abir Moussi a-t-elle un problème avec les féministes ? Ses attaques récurrentes contre Bochra Belhaj Hmida interrogent. Cette dernière, présidente de la Commission pour les libertés individuelles et l’égalité (Colibe), lutte, entre autres, pour l’égalité successorale et la protection des homosexuels. Moussi se dit favorable au principe de l’égalité dans l’héritage, mais pas tel que défini par la Colibe, car, dit-elle, cela légitimerait les enfants nés hors mariage, lesquels pourraient alors hériter.

La Colibe la dérange aussi sur la forme : « Une commission qui a exclu les destouriens, porteurs plus que d’autres des valeurs égalitaires, et qui ne comporte aucune personnalité d’envergure ! En outre, elle n’a pas procédé à des consultations populaires ni lancé un large dialogue pour convaincre de son projet. »
Faux, répondent les intéressés : société civile et experts ont été entendus par la Commission, et les députés pourront amender le texte en séance. 

Quant à l’homosexualité : « Je ne légiférerai pas sur la vie privée des gens. J’interdirai le test anal, sauf s’il s’agit de viol et de crime. » Populisme, crient ses opposants. « Aucunement ! répond-elle. Je défends le peuple et n’instrumentalise pas les causes. »

Haute sécurité

« L’idée d’être assassinée n’est pas dans mon logiciel. Et puis, à y songer, dans ce pays, tous les matins, il faut se lever en préparant son linceul. » 

Abir Moussi fait partie des personnalités publiques tunisiennes à qui le ministère de l’Intérieur a affecté une protection. Des vigiles la suivent à la trace, en meeting, dans son bureau et jusqu’à son domicile, où elle retrouve le soir ses deux filles, âgées de 12 et 10 ans, et son époux, haut cadre dans la sécurité.


*****

LE PARTI DESTOURIEN : FAUT-IL JETER LE BÉBÉ AVEC SON EAU DE BAIN ?

Est-il normal de dissoudre le RCD sans lui faire un procès équitable ?
N'eut-il pas mieux valu de le faire juger par les tunisiens dans les urnes ?
Pourquoi avoir choisi comme date de sa dissolution celle de la création du parti destourien : 2 mars ??
Est-ce un hasard le choix de la date du 2 mars, ou une volonté politique de la part de Ghannouchi d'en finir avec les destouriens qui l'avaient toujours combattu ?

Le journaliste Azzedine Ben Mahmoud du Hiwar Tounsi a beau tenté de culpabiliser Abir Moussi, mais les réponses bien construites et argumentées de l'avocate du RCD sont claires que le procès qui lui est fait et qui est fait au RCD ne sont que des procès politiques !!
Comme beaucoup de journalistes "révolutionnaires" de la 25 éme heure, il la juge et lui demande de présenter au moins ses excuses aux Tunisiens ... se prenant pour un juge mandaté par le "peuple" !

Instructif de réécouter cette dame : cette interview de 2012, éclaire mieux le combat que mène Abir Moussi, depuis jusqu'à ce jour !!!
Femme de principe fidèle à ses convictions, contrairement à une classe politique qui ne brille pas par ces qualités. 









16 commentaires:

  1. PDL Bureaux Bruxelles a Vu le jour y a 2 mois

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  2. AUX INDÉCIS QUI NE SAVENT OU DONNER DE LA TÊTE DEVANT TANT DE PARTIS, EN LICE POUR LES ELECTIONS DE 2019 ...

    Voici ce qu'écrit Khaled Gharfi à son ami dans cette situation :

    Bonjour mon Ami.

    J’ai ce qu’il te faut mais il te faut un peu de courage pour prendre ta décision.

    J'ai quelqu’un à te proposer. C'est une Dame.
    C'est Maître Abir Moussi dont je te parle.

    C'est une femme qui n’a pas retourné sa veste depuis le putsch de 2011, très disciplinée, grande bosseuse, qui parle une seule langue celle de la vérité, courageuse elle n’a pas peur des menaces de mort des "khouengyias" (Frères musulmans) qu’elle combat avec acharnement.

    Elle refuse le consensus qui paralyse le pays et qu'impose Ghannouchi aux faux progressistes et autres faux destouriens, comme BCE, YC ...
    Elle veut changer de constitution et de loi électorale, toutes deux faites par et pour les Frères musulmans.

    Elle est loin en haut des sondages européens.
    Elle requiert de jour en jour l’intérêt de grandes Nations.
    Pas plus tard qu’hier, elle a été invitée pour échanger avec l’Ambassadeur de l’Union Européenne.
    Même aux USA on s’intéresse de plus en plus à son programme politique.

    On l’appelle Abir La Lionne, de par sa forte personnalité. Beaucoup de médecins propriétaires de cliniques entre autres, lui ont rendu visite pour mieux la connaître : ils sont impressionnés par les solutions qu’elle avance.

    Il ne faut pas écouter ce que ses adversaires politiques inventent à son sujet, faute de contre programmes politiques et vu qu’elle les devance ... et de loin.

    Essayes de t’intéresser un peu à elle et tu verras :
    tu vas céder à son programme.

    Amitiés !

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  3. CULOT OU MANQUE DE DIGNITÉ ?

    Mohamed GHARIANI, ex Secrétaire Général du RCD, fait allégence à Ghannouchi, demande pardon pour son passé politique d'RCD-iste et espère se refaire une virginité en s'acoquinant avec les Frères musulmans !

    Comment peut-il croire encore à une crédibilité "politique" s'il retourne sa veste et tourne avec le vent au moindre changement de ceux qui sont aux manettes du pouvoir ? !!

    Hier il était au RCD, aujourd'hui chez Ennahdha, et demain ?

    Et il a le culot de se présenter devant les tunisiens pour leur vanter ses nouveaux maîtres après leur avoir vanter son ancien maître.

    Il ferait mieux de se retirer de la vie politique et de se faire oublier, plutôt que d'étaler son indignité au grand public : les tunisiens n'ont que faire des traîtres !!

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  4. ET LA SOLIDARITÉ FÉMININE ?

    Ce que j'ai toujours admiré chez les tunisiennes, c'est leur solidarité presque légendaire se soutenant les unes les autres devant les vicissitudes de la vie : qui aide financièrement, qui aide matériellement, qui soutient moralement, qui participe physiquement à toutes sortes de tâches ménagères et agricoles, qui participe de l'éducation des enfants ...

    Mais voilà, quand il s'agit de politique, leur réaction est sidérante quand l'une d'elle avec courage veut sauver la Tunisie de l'emprise des Frères musulmans qui l'étouffe et étouffe un peu plus chaque jour les tunisiens depuis leur retour d'exil : nombreuses sont celles qui lui tirent dessus à boulet rouge !

    Et le pire, leurs arguments sont d'un niveau qui laisse perplexe.
    Elles critiquent sa coiffure, son maquillage, ses tenues vestimentaires, à la mode ou pas à la mode, son maintien ... plutôt que de débattre de ses idées !

    Il est vrai quand le sage montre la lune, les idiots regardent son doigt !
    Et c'est encore plus vrai avec beaucoup de tunisiennes quand je vois l'ensemble des opposants à Abir Moussi est constitué en majorité de femmes et quand je lis les arguments avancés pour la rejeter !

    Est-ce de la jalousie ?
    On dit souvent que le pire ennemi de la femme, c'est la femme !
    Détrompez-nous "hrayer tounes" !!
    Faut-il qu'une des vôtres ait à lutter sur deux fronts :
    - celui des hommes pour se faire une place dans un monde phallocratique; et
    - celui de ses sœurs ?

    Alors que nous savons que les femmes ont voté majoritairement pour BCE pour les débarrasser de Ghannouchi et ses Frères musulmans !

    Où est la logique ?
    Où est la cohérence de ces femmes ??

    Logiquement l'électorat féminin devrait voter pour une personne qui a la ferme intention de dégager les islamistes, hostiles aux droits des femmes et d'en finir avec leur consensus qui a paralysé le pays mais que d'autres sont prêts à pérenniser pourvu que Ghannouchi daigne les désigner pour succéder à celui qui les avait trahies : BCE !!

    Et puis, n'y aurait-il pas dans son élection un symbole fort ? Une femme à la tête du pays et une nouvelle avancée de la Tunisie qui fut en avance sur beaucoup, il y a soixante ans ?

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  5. Les RCD-istes qui ont de la bouteille, ont rejoint Ghannouchi comme Ghariani le Secrétaire Général du RCD !

    Abir Moussi n'a été au RCD qu'un an (2010-2011) et n'avait aucun rôle important, de l'aveu même de Mohamed Ghariani.

    Quant aux RCD-istes, ils étaient plus de millions d'encartés et tout un peuple les soutenant par son silence !

    Alors il faut arrêter avec ce "passé d'RCD-iste" que certains agitent comme un épouvantail à moineaux !

    ZABA est parti et son régime est fini avec lui. Le reste n'est que fantasme de ceux qui aiment se faire peur ou cherchent à faire peur ... à dessein !

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  6. Abir MOUSSI : PAS DE CONFIANCE EN CEUX QUI ONT COLLABORÉ AVEC LES FRÈRES MUSULMANS ... OU S’APPRÊTENT A LE FAIRE !

    https://www.facebook.com/1178885482294000/videos/429934964226786/UzpfSTEwMDAwMjAwODU2NDU3MDoyMzI2NzAyNDM3NDA2Njg2/?__tn__=%2CdlC.g-R&eid=ARDQh3fwuS4ikxAMEHpnnsTQenewE-wXrn7nYHQcLd1_h7CjLjt9lmVCbfnSVPO86d4HWgjfxTyEYRDu&hc_ref=ARQdKhNYYRzhuswIhsse95dnTO2jYxaDnk1wmJNNYDAYOPlEHrc9_ZFawta1fS18QsY

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  7. LA SOUVERAINETÉ DE LA TUNISIE EXPLIQUÉE PAR Abir Moussi à Myriam Belkadhi ....

    Sa ligne politique est claire.

    Le plus curieux ce sont les journalistes qui s'étonnent qu'elle refuse catégoriquement toute alliance avec Ghannouchi et ceux qui ont collaboré avec lui ou s’apprêtent à le faire, comme s'ils avaient admis une fois pour toute que les Frères musulmans sont incontournables et indispensables pour la vie politique tunisienne !

    https://www.facebook.com/1178885482294000/videos/2448064891899801/?__tn__=kCH-R&eid=ARCTodeYm7WG6qvrkF5rOOHGr-busmsOmPvIIx1Qu24aK5KnDyaN-JHYi2EcwuJSF2UrixzKGwYSf_uR&hc_ref=ARTRUdanj9R1EttCwsJoDqpOZlWYmtl3lUp9GAejSV0LwtydIXBb_py8lV6NrZFbIPY&fref=nf&__xts__[0]=68.ARBl3DJm2IhkGnXMcjcT3Czn2IVPAOXf0tQVuPX3IuX_oavwW7Ljs27Q51DHe_F8Wisfm3yozTGyIQhLqSy9Eg1t2CkqEbGa6GW-

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  8. LES ELECTIONS APPROCHENT ET CERTAINS SONT ENCORE A LA RECHERCHE DE "DÉMOCRATES" POUR QUI VOTER !

    Jelila Benzarti :

    Les démocrates ? Quels démocrates ?

    Quand on voit ce qu'est devenu Samir Taïeb, pour ne citer que lui !
    Citez moi un seul ou une seule démocrate qui mériterait qu'on s'engage à ses côtés. RIEN !

    Les Abbou et leur passé CPR, ce n'est guère mieux, leur proximité avec les Frères musulmans s'étant révélée au grand jour, lors de la constituante !

    Tous ceux qui ont eu affaire avec la Turquie et le Qatar ne sont pour moi que des traîtres qui nous ont entraînés dans un piège machiavélique, horrible, dont on n'est pas encore sorti.

    Ces "démocrates" ont fait montre d'immaturité politique décevante, en cumulant bêtises sur bêtises, trahissant leur amateurisme.

    Depuis 2011, on assiste à la mort en chaîne des démocrates qui se sont brûlés leurs ailes à force de compromis qui ont fini en compromission avec Ghannouchi et ses Frères musulmans.

    Pour ne rien vous cacher, je me disais "je vais voir venir avant de fixer mon choix".

    Mais les élections, c'est dans 3 mois et pour parer au plus pressé, à savoir dégager la Tunisie de l'étreinte mortelle par les Frères musulmans, j'ai choisi de voter PDL.

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  9. DEVANT LE CAPHARNAÜM, HEUREUSEMENT IL Y A LE PDL AUX IDÉES CLAIRES ET RÉALISTES !

    Le Pr Lotfi Maherzi : Abir Moussi est la seule à redonner espoir aux tunisiens déçus d'une "révolution" qui n'a enfanté que de misère et de déclin de la Tunisie !

    http://kapitalis.com/tunisie/2019/07/20/la-tunisie-dabir-moussi-des-idees-simples-claires-et-realisables/

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  10. Lotfi Maherzi :
    Quand Abir Moussi propose une alternative au régime du Tawafek (Consensus) et un nouveau modèle de développement à la place de la gestion lamentable de la classe politique actuelle faites de régressions politiques, économiques, sociales, et culturelles; les « élites » intellectuelles proches de Tahya Tounes refusent le débat et choisissent l’invective et la critique misogyne, espérant affaiblir une dynamique gagnante.
    Ils tentent de brouiller les pistes par des appels incantatoires à l’union de forces usées, inertes, corrompues, sans programmes ni stratégies électorales totalement démonétisés par leur alliance avec l’islam politique.
    Abir Moussi offre une occasion unique pour redonner au projet Tunisie ses fondamentaux sociétaux en excluant toute alliance avec Ennahdha.
    Mais incapables de choisir entre un projet laïque et l’islam politique, ces intellectuels préfèrent, par leur complaisance avec un pouvoir qui a échoué, favoriser le populisme conservateur et réactionnaire des Karoui et autre Saeid.
    Stupéfaction totale !

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  11. POURQUOI ELLE ET PAS LES AUTRES ?

    Hédia Benmansour :

    Pourquoi Abir Moussi serait à elle seule le symbole de l’ancien régime et pas les autres ? Comme Zbidi, Mohamed Ghariani, Kamel Morjane, Zouari, etc ... la liste est très longue !

    Pourquoi cette fixation sur cette femme qui n’a que 43 ans et qui n’a occupé aucun poste de Responsabilité sous ZABA comme les autres ?

    Rachid Barnat :

    Parceque les "autres" sont redevenus fréquentables pour Ghannouchi depuis qu'ils ont fait leur mea-culpa et lui mange dans la main ... et non Abir Moussi qui lui résiste et veut interdire les partis qui instrumentalisent la religion !

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  12. OUI ACTUELLEMENT ET HEUREUSEMENT NOUS AVONS ABIR ELLE EST LA SEULE CAPABLE DE SAUVER LE PAYS DES GRIFFES DES ISLAMISTES CE N EST PAS COMME D AUTRE ACCEPTE DE GOUVERNER AEC ENNAHDA ET C EST LA FORCE DE ABIR C EST CLAIR ET CE QUE NOUS VOULONS ALORS JE VOTE POUR ABIR CAR ELLE EST LA SEULE POUR LA VITOIRE DE LA PATRIE

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  13. QU’ESPÉRER DE GHANNOUCHI POUR REDRESSER UN PAYS QU'IL A MIS A GENOUX EN 9 ANS ?

    Abir Moussi chez Tounesna-TV : encore des précisions !

    https://www.facebook.com/586691098029598/videos/442703343099723/?v=442703343099723

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  14. UN PARTI SE JUGE PAR LE PEUPLE : par les urnes il le rejette ou lui accorde sa confiance !

    https://www.facebook.com/PDL.Supporters/videos/2243160595738939/

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  15. KS CHERCHE PAR TOUS LES MOYENS D'EMPÊCHER Abir MOUSSI DE SE PRESENTER AUX ELECTIONS PRESIDENTIELLES ...

    Depuis le 3 octobre 2023 elle est détenue sous des prétextes fallacieux, au mépris du droit
    A la fin, une "expertise" judiciaire l'innocente de toutes ces accusations.

    Le 1er février elle est libérée.

    Lors de sa libération et en chemin pour des examens médicaux, elle est à nouveau arrêtée le 1er février et détenue arbitrairement au mépris du droit, pour une autre "affaire" : l'ISIE (Instance Supérieure Indépendante pour les Élections) ayant déposé contre elle une plainte en diffamation* ... en mars 2023 !

    Et bis repetita ... KS cherche des poux à son opposante pour la museler et l'empêcher de toute activité politique !!

    * Abir Moussi donnait son opinion politique sur cette instance pour expliquer pourquoi elle ne la reconnaît pas puisqu'elle n'est ni libre, ni indépendante et ni transparente !

    https://www.facebook.com/PartiDestourienlibre.officielle/videos/355038814082439

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  16. Abir MOUSSI A ETE EMPECHEE DE SE PRESENTER A L'ELECTION PRESIDENTIELLE DU 6 OCTOBRE 2024 :

    Par KS !
    Par l'ISIE*aux ordres de KS !!
    Par le Tribunal administratif, aux ordres de KS !!!

    * Instance Supérieure Indépendante pour les Élections, dont le président est nommé par KS.

    https://www.facebook.com/reel/526243936676214

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