L’Europe est désormais cernée par les Frères musulmans ! C'est ce qu'elle voulait, non ? Ses dirigeants ont soutenu les Frères en Turquie, en Egypte, en Tunisie ...
Les tunisiens se souviennent avec rage de l’accueil au palais Bourbon des Nahdhaouis, ceux-là mêmes qui ont assassiné Chokri Belaid !
Comme ils se souviennent du discours de François Hollande qui les rassurait que leur islamisme modéré est compatible avec la démocratie !!
Il aura fallu le coup d'Etat avorté en Turquie pour que ces responsables politiques découvrent la réalité de l'islamisme modéré des Frères quand Erdogan a tombé le masque du dictateur qui se rêve sultan !!!
La Tunisie de son côté est devenu le premier exportateur de terroristes : les Européens le découvrent dans leur chair et payent les choix politiques de leurs dirigeants.
Ils se retrouvent avec un nouveau problème à gérer, celui des flux migratoires en provenance des pays qu’ils ont contribué à déstabiliser dans leur suivisme derrière les EU et celui des pétromonarques. Leurs dirigeants ont choisi délibérément de soutenir les Frères musulmans dans l’espoir qu’ils contiennent les immigrants. Or c’est tout le contraire qui se passe !
Erdogan et Ghannouchi font des flux migratoires une armes dissuasive avec les dirigeants de l’UE ! Erdogan tient ainsi par la barbichette les dirigeants européens, en menaçant d’ouvrir les vannes des camps de réfugiés stationnés en Turquie. Quant à Ghannouchi, non seulement il encourage au départ une jeunesse qui fuit l’islamisme et ses ravages, mais profite pour exporter aussi le terrorisme en Europe, faisant de la Tunisie le premier exportateur de terroristes dans le monde !
Ainsi, les européens se retrouvent à gérer ces migrations massives avec ce qu'elles apportent souvent avec elles comme idéologie, comme le wahhabisme dont bon nombre d'immigrants en sont déjà imprégnés !
Qui sème le vent, récolte la tempête. La Tunisie sombrera à coup sûr mais sera un foyer d'instabilité pour l'Europe qui se croyait à l'abri de l'islamisme et de ses ravages.
Ils se retrouvent avec un nouveau problème à gérer, celui des flux migratoires en provenance des pays qu’ils ont contribué à déstabiliser dans leur suivisme derrière les EU et celui des pétromonarques. Leurs dirigeants ont choisi délibérément de soutenir les Frères musulmans dans l’espoir qu’ils contiennent les immigrants. Or c’est tout le contraire qui se passe !
Erdogan et Ghannouchi font des flux migratoires une armes dissuasive avec les dirigeants de l’UE ! Erdogan tient ainsi par la barbichette les dirigeants européens, en menaçant d’ouvrir les vannes des camps de réfugiés stationnés en Turquie. Quant à Ghannouchi, non seulement il encourage au départ une jeunesse qui fuit l’islamisme et ses ravages, mais profite pour exporter aussi le terrorisme en Europe, faisant de la Tunisie le premier exportateur de terroristes dans le monde !
Ainsi, les européens se retrouvent à gérer ces migrations massives avec ce qu'elles apportent souvent avec elles comme idéologie, comme le wahhabisme dont bon nombre d'immigrants en sont déjà imprégnés !
Qui sème le vent, récolte la tempête. La Tunisie sombrera à coup sûr mais sera un foyer d'instabilité pour l'Europe qui se croyait à l'abri de l'islamisme et de ses ravages.
Bonjour les dégâts !
R.B
" Un peuple qui élit des politiques corrompus, des renégats,
n'est pas une victime, il est complice ".
Georges Orwell
Avec une nahdhaouie élue Maire de Tunis, quels enjeux
géopolitiques de l’islam politique pour la région ?
Souad
Abderrahim vient d’être élue maire de Tunis. Devons-nous féliciter la femme en
elle qui occupe cette chaire jusque-là monopolisée par les hommes et lesquels,
plus est, sont tous tunisois ; ou déplorer qu’elle représente un parti
illustrant l’islam politique dans toute sa splendeur ? Un parti qui,
lentement mais très sûrement, est en train d’occuper tous les terrains de
l’Etat et du pays, allant du socio-économique au politique en passant par
l’idéologique !
Un
parti qui construit plus de lieux de culte que d’écoles et dont le pouvoir
économique progresse à une vitesse vertigineuse grâce à ses différents relais
dans tous les centres d’influence ? Ou encore les discours mitigés entre
ceux prodigués aux bases du parti-secte en Tunisie et ceux adressés à
l’international ?
En
toute honnêteté, la discipline, le travail de fond et les stratégies mises en
place par Ennahdha ont porté leurs fruits. Et à ce titre, ils méritent le respect
malgré leurs desseins obscurantistes pour le pays. Et si leurre ou manipulation
il y avait, la faute reviendrait plus aux manipulés et aux leurrés qu’aux
manipulateurs et aux prestidigitateurs politiques. Après, tout à la guerre
comme à la guerre !
C’est
ce qui explique également que pour l’international, le seul parti pouvant
composer un vis-à-vis valable et capable, c’est Ennahdha. Erdogan a bien choisi
ses alliés.
Seulement
et à terme, est-ce vraiment dans l’intérêt des pays occidentaux de soutenir un
parti qui prépare pour la Tunisie le scénario soudanais ?
Et
quelles sont les raisons qui pourraient les inciter à encourager l’implantation
de ce régime islamiste, prétendument modéré dans un pays où, de fait, les
populations sont religieusement modérées et où la question identitaire ne s’est
jamais posée avec autant d’acuité qu’au cours des années qui ont succédé au
soulèvement tunisien orchestré ailleurs ?
Une structure mentale tout à fait
différente entre les Arabo-musulmans du Machrek et du Golfe et les
Berbéro-arabo-musulmans du Maghreb
Il
s’agit bien entendu d’enjeux géopolitiques et stratégiques importants pour ces
pays que nous n’avons pas à expliquer dans ce papier concis. Ils les
connaissent beaucoup mieux que nous, mais ils peuvent les préserver dans la
continuité et de manière pérenne autrement. Par contre, ce qu’ils n’arrivent
pas à saisir, c’est tout d’abord une structure mentale tout à fait différente
entre les arabo-musulmans du Machrek et du Golfe et les Berbéro-arabo-musulmans
du Maghreb arabe.
Les
derniers étant historiquement plus ouverts aux autres civilisations, plus
occidentalisés et mieux intégrés dans leur environnement géopolitique et
géoéconomique aussi bien méditerranéen, européen qu’africain, particulièrement
la Tunisie.
Près
de trois ans de règne islamiste exclusif en Tunisie ont suffi à désarticuler
l’Etat, à fragiliser les institutions, à diviser le pays et, pire que tout, à
détruire l’un des services de renseignement et anti-terrorisme qui figurait
parmi les plus efficaces qui existent dans la région : le Tunisien.
Les
Occidentaux oublient que la Tunisie est située tout près de l’Europe (140 km
séparent Tunis de la Sicile, la distance n’est pas beaucoup plus importante
pour ce qui est de Marseille et Gênes).
Si
l’idée était de faire en sorte que ces pays-là gardent leurs islamistes chez
eux pour protéger l’Europe et les USA, sur le terrain elle a servi à créer un
nombre plus important de terroristes et d’extrémistes. Les plus virulents
viennent de ces pays-là car, en réalité, leur crise identitaire vient du fait
qu’ils ont été incapables de s’intégrer dans leurs pays d’accueil occidentaux,
tout comme ils sont et seront incapables de vivre en harmonie avec les modèles
de société existant dans leurs propres pays.
Les
islamistes réfléchissent, agissent et se comportent comme des sectes dans des
cercles fermés. Ils gèrent de grands intérêts et sont des parties prenantes
très actives dans le grand banditisme transnational, le trafic d’armes et de
drogue. Ils ont profité de la phase post-soulèvement de janvier 2011 en Tunisie
pour retirer les garde-chasses qui étaient les informateurs des services
spéciaux à propos de tous les mouvements suspects et ont réussi à s’installer
aujourd’hui au Mont Chambi, les monts Semmama et Saloum, sans parler des
cellules dormantes situées sur tout le territoire.
Ils
maîtrisent les sentiers de ces montagnes aussi bien que l’armée nationale
elle-même qui n’était traditionnellement pas rôdée à la lutte antiterroriste.
Les
risques pour les pays du Nord de la Méditerranée, s’il n’y a pas de leur part
une volonté réelle de mettre fin à cette vague rampante d’islamisme politique à
tendance violente, est que des pays comme la Tunisie ou le Maroc ne leur
exportent plus dans les prochaines années des composants automobiles mais
plutôt des bombes humaines.
Pareil
pour les USA. Ils en ont d’ailleurs eu la confirmation par des actes
terroristes et des attentats depuis 2013.
Tous
ces pays, lesquels, nous le savons, ont des intérêts dans la région, ne peuvent
pas se fier aux promesses faites par les leaders islamistes car pour mobiliser
leurs foules, ils leur promettent des califats, des prises de guerre et des
récompenses à chaque fois qu’ils leur font allégeance et qu’ils conquièrent de
nouveaux terrains. Cela pourrait commencer par le Sud pour remonter très
rapidement vers le Nord.
En
témoignent nombre d’exemples d’islamistes situés partout dans le monde qui ont
affirmé leur allégeance au califat de Daech. Rien ne peut les arrêter car on
leur promet le paradis, et tous leurs actes, les plus atroces, sont justifiés
par la fin : vivre heureux éternellement.
Ils
disposent d’un arsenal important d’armes qu’ils ont réussi à dissimuler en ce
qui concerne la Tunisie pendant le règne de la Troïka sur tout le territoire
tunisien.
La
Tunisie en phase pré-électorale
Les
islamistes sont dotés de moyens énormes, ils ont verrouillé les administrations
et vicié l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) dont
beaucoup sont des sympathisants nahdaouis. Avec les lignes financières énormes
dont dispose Ennahdha soutenue entre autres par le Centre Carter, on n’écarte
ni les possibilités de pratiques frauduleuses ni la falsification des
élections. C’est ce qui explique aujourd’hui le refus de nombre de Tunisiens de
s’inscrire, principalement les jeunes, pour les élections.
Selon
des informations des services de renseignements tunisiens, Ennahdha, dans le
meilleur des cas, ne pèserait pas plus que 500.000 voix sur l’échiquier
électoral. Le parti a déjà entamé son programme d’acquisition des voix via ses
associations caritatives et les prétendues aides apportées aux classes
souffrant de précarité.
Les
Tunisiens pratiquants désertent les mosquées et se recroquevillent sur
eux-mêmes, car ils n’arrivent pas à s’identifier à l’image que leur renvoie les
Frères musulmans, eux le peuple le plus occidentalisé de la région
arabo-musulmane.
La
majorité des Tunisiens et particulièrement la classe moyenne est désabusée,
elle refuse le changement du modèle sociétal qu’elle a toujours connu et parmi
elle, nombreux sont ceux qui ont élu Ennahdha et qui le regrettent aujourd’hui.
« Nous pensions qu’ils n’étaient pas corrompus, qu’ils étaient porteurs de
nouvelles valeurs et qu’ils respectaient leurs promesses ».
Rien
de cela n’est arrivé, la Troïka, principalement Ennahdha, a mis le pays en
faillite à cause de la voracité de ses dirigeants et de leurs incompétences
notoires dans la gestion des affaires de l’Etat. Ils ont agi avec le pouvoir
comme un butin de guerre en usant sans modération. Leurs alliés CPR et
Ettakattol ne sont pas mieux qu’eux, aux yeux des Tunisiens complètement
désillusionnés; et qui ont perdu confiance dans les partis classiques.
Lorsque
Marzougui a prêté serment, il avait promis de préserver l’unité nationale, l'unité et l’intégrité
du territoire, les
principes républicains et la civilité de l’Etat, sans parler des promesses
faites lors de son discours inquisitoire d’investiture où il avait assuré que
les acquis des femmes ne seront jamais touchés.
Quatre ans après, les institutions de l’Etat sont déstructurées et même l’unité
nationale et de territoire menacée. A Kasserine, nous sommes presque dans le
non Etat et la police qui attend qu’on réactive la loi antiterroriste maintient
le statut quo et des fois préfère se retirer au lieu d’affronter les acteurs de
violence. Les ministères de souveraineté sont minés et les femmes tunisiennes
modernes et éduquées, voient leurs acquis de plus en plus menacés et risquent
de se retrouver sous le joug d’un pouvoir semblable à celui des talibans.
Y a-t-il
une porte de sortie ?
Oui. Sur
le plan de la représentativité politique à travers la société civile qui a
prouvé son efficience et son efficacité, alors que le parti Nidaa Tounes est en
pleine déconfiture et que Béji Caïd Essebsi a fait du pouvoir une affaire de
famille.
La
société civile peut être une force de frappe importante si elle réussit à
regrouper tous les partis progressistes modernistes et soucieux de préserver le
modèle de société tunisien connu depuis l’indépendance, avec ce que cela
implique comme principes républicains, civilité de l’Etat et droits des femmes.
Ennahdha,
qui fait beaucoup de lobbying grâce aux moyens énormes dont elle dispose, est
en réalité un gros ballon plein d’argent mais pour une grande partie du peuple
tunisien elle a perdu sa crédibilité. Ses leaders sont des spécialistes dans la
surenchère et des renards politiques sans foi ni loi. Ils ne sont pas pour la
plupart des victimes comme ils l’ont toujours prétendu mais porteurs d’un
projet sociétal rétrograde qui risque de déstabiliser la région.
Ils
ont pratiquement tous été arrêtés pour des actes de terrorisme et de grande
violence.
Ils menacent non seulement le Sud mais aussi le Nord de la
Méditerranée avec ce que cela implique comme ramifications dans les autres pays
européens.
L’Algérie,
un pays qui a vécu la décennie noire de la guerre civile avec les terroristes
islamistes, ne pourrait jamais se sentir en sécurité avec un régime islamiste
gouvernant en Tunisie.
Le
Maroc, un pays où coexistent différentes communautés tenues en laisse par un
Roi, considéré comme le prince des Croyants, ne le supporterait pas non plus.
Mais
plus que tout, les femmes sont aujourd’hui prêtes à tout pour lutter contre la
montée de l’extrémisme et l’implantation perverse et vicieuse d’un régime islamiste
en Tunisie.
A
moyen et long termes, l’islam politique n’a pas d’avenir en Tunisie, c’est un
organe incompatible avec le corps d’une société exceptionnelle par sa richesse
civilisationnelle et son histoire riche. Une société où une femme a usé d’un verset
du coran pour imposer à son mari à l’époque - prince des Croyants - son droit à
elle de le répudier et lui interdire d’être polygame, ne peut se plier, une
société où, au 11ème siècle, les jeunes filles étudiaient au même titre que les
jeunes garçons à Kairouan.
Le
tout est de savoir combien devons-nous sacrifier en termes de vies,
d’institutions et de réalisations acquises depuis l’indépendance pour nous en
débarrasser et nous intégrer dans une véritable transition démocratique.
Et
pour terminer, une seule certitude, dès qu’il s’agit d’islam politique,
l’aspect modéré disparaît, pour cela, il faut lire l’histoire de la transmission du pouvoir depuis les premiers temps de l’islam. Elle est
sanguinaire.
Ce que les Think tank américains ou britanniques refusent de voir
est que « cela n’arrive pas qu’aux autres » !
Pourtant,
si intérêts il y a, ils peuvent être préservés par d’autres moyens, pas par des
idéologies religieuses.
La réforme de la religion catholique a eu lieu, pas
celle de l’islam !
LE CINÉMA DE LA NOUVELLE MAIRE DE TUNIS : trop c'est trop !
RépondreSupprimerAprès avoir joué la femme "en cheveux", pour la vitrine du Frère musulman Ghannouchi qui joue au moderniste;
La voilà rentrée dans le rang, portant le foulard des femmes soumises de son parti.
Pour "la com" de son parti, elle manie le karcher, le balais, les poubelles .... comme pour rappeler la place et le rôle des femmes selon son parti : le ménage !
Tant de cinéma, commence à excéder certaines; dont
Latifa Hamia Bakir :
J'avais porté le voile pendant un certain moment, après l'accomplissement de mon pèlerinage mais lorsqu'il est devenu un symbole politique, je l'ai totalement retiré.
Je n'appartiens à aucun mouvement politique.
Je suis une femme libre et indépendante.
La croyance n'a pas besoin d'étendards et encore moins de foulards !
TUNIS : Capitale de l'islamisme pour les Frères musulmans !
RépondreSupprimerHedi Mohamed :
Comme beaucoup d’entre vous, j’ai découvert hier, non sans dégoût et non sans surprise avec écœurement, dans une vidéo (elle est sur mon mur), que les hautes instances des frérots se sont réunies dernièrement en Tunisie, sous l’égide d'Ennahdha !
Entre autres personnalités, il y avait Aymen Nour, l’un des gros requins de l’organisation mère en Egypte.
S’il n’y avait pas eu le grand soulèvement populaire « Tamarroud », en Egypte, suivi par la prise du pouvoir par les militaires de Sissi, cette canaille aurait été nommée premier ministre par le traitre et terroriste ex-président Morsi.
C’est dire l’importance de cette réunion.
Il parait que les frères du diable complotaient pour constituer un gouvernement parallèle en Egypte. Conjuration que la presse et les médias égyptiens ont dénoncée.
Alors que notre gouvernement, nos partis politiques, nos organisations de la société civile, nos médias, sont restés muets sur le sujet.
C’est dire à quel point leur complicité, avec les Frères musulmans d'Ennahdha, sont profondes et réelles en Tunisie !
Outre le fait que ça touche à la sécurité et l’intégrité d’un pays frère et souverain, il y a évidemment des risques pour notre propre sécurité.
On sait maintenant que la réunion s’était soldée par la création d’un centre de « protection des révoltes arabes » et que sa direction avait été attribuée à Tartour alias Marzougui, notre ex-président.
Je ne pense pas que le complot puisse représenter un réel danger pour l’Egypte, engagée dans une guerre sans merci contre ces terroristes.
Par contre, il l’est pour nous et c’est plus grave qu’on ne le croit !
Après les restrictions imposées au Qatar par la communauté internationale pour cause de soutien à une organisation terroriste, les Frères du diable ont jeté leur dévolue sur notre pays où avec la complicité de leur frère Ghannouchi, sont en train de transférer leurs activités et leurs principales institutions, dont :
- « Le centre d’étude sur l’islam et la démocratie » de Radhouane Masmoudi,
- « L'Union mondiale des savants musulmans » de Y. Karadhaoui,
- « Un centre de protection des révoltes arabes », dirigé par Tartour…
Tunisiens réveillez-vous : votre pays devient le repaire des terroristes Frères musulmans, avec la complicité de Ghannouchi qui a fait de la Tunisie le premier pays exportateurs de terroristes dans le monde !