Originaire de New Orléans et passionné par sa ville et sa musique, Tony Green est Jazz man (guitare) qui aime beaucoup Jean "Django" Reinhardt", un artiste de jazz manouche célèbre, décédé en 1953, dont il s'inspire; mais aussi peintre, ses artistes préférés étant John Sargent, Roberto Matta, et George Bellows.
Amoureux de sa ville natale et de Venise sa ville d'adoption où il vient depuis 32 ans, il consacre l'essentiel de sa peinture à ses deux amours : Venise et New-Orléans.
Pourquoi Venise ? Il vous dira avec son sourie charmeur : parce qu'il n'y a pas de voitures ni de crimes et que les gens y travaillent pour y vivre et n'y vivent pas pour y travailler !
Installé prés du ghetto à Venise, il ouvre durant son séjour à Venise un atelier-galerie dans le centre du ghetto où il travaille et expose ses oeuvres pendant quelques mois de l'année.
Pourquoi Venise ? Il vous dira avec son sourie charmeur : parce qu'il n'y a pas de voitures ni de crimes et que les gens y travaillent pour y vivre et n'y vivent pas pour y travailler !
Installé prés du ghetto à Venise, il ouvre durant son séjour à Venise un atelier-galerie dans le centre du ghetto où il travaille et expose ses oeuvres pendant quelques mois de l'année.
Chaleureux, il vous accueille avec le sourie et la simplicité d'un homme ouvert aux autres.
Sur son site dont la série de peintures et d'aquarelles sur Venise, est un véritable enchantement.
Je retrouve tous les lieux que j'aime et les couleurs si particulières à cette ville dans la palette du peintre qui a su trouver les bons pigments reproduisant les couleurs si particulières à Venise.
Vidéo de l'atelier et de l'artiste à l'oeuvre
Site de l'artiste Tony
Heureuse pour toi de ce message enfin plus léger...
RépondreSupprimerTony Green fait partie d'une association d'artistes dont voici le site : www.imagoars.com
RépondreSupprimerUne interview* de Tony Green (en anglais) :
RépondreSupprimerhttp://www.huffingtonpost.com/steve-mariotti/lessons-from-an-entrepren_b_3601256.html
* Tentative de traduction par Rachid Barnat :
J'ai récemment rencontré Tony Green lors d'un voyage en Italie. Il est âgé de 59 ans; il vit huit mois par an dans le ghetto juif de Venise. Il loue une galerie à Venise où il vend ses tableaux.
Son art est une célébration de la vie : des gens qui dansent et chantent dans la Nouvelle-Orléans et les gens qui profitent de la vie à Venise. En plus de la galerie à Venise, Tony vend également ses tableaux dans la galerie Callan Fine Art à New Orleans, où il est bien connu pour ses grandes peintures murales.
Bien qu'il aime encore la Nouvelle-Orléans, Tony vit à Venise pour l'excellente qualité de vie là-bas - la ville est sans crime et sans voitures - où 'il trouve un véritable sens de la communauté.
En Italie, Tony trouve que les gens travaillent pour vivre et ne vivent pas pour travailler.
Tony avait fait un parcours très intéressant pour devenir l'artiste qu'il est aujourd'hui. Il est allé à l'école à la Nouvelle-Orléans et a ensuite étudié à Washington DC.
Il a également étudié pendant deux ans à Bruges. A l'âge de 26 ans, il a rencontré un peintre letton Auseklis Ozols, fondateur de la Nouvelle-Orléans Académie des Beaux-Arts.
Tony a vécu pendant un an à Accra, au Ghana et a fait de l'auto-stop autour de l'Afrique de l'Ouest. Ce sont des expériences qui l'ont amené à devenir un peintre impressionniste abstrait.
Tony prend des cours auprès d'Ozols pour lui enseigner les rudiments de la peinture et lui montrer comment utiliser la peinture pour exprimer sa vraie voix.
Ce mentor lui a enseigné l'importance de l'apprentissage de l'anatomie humaine qu'il a passé des années à étudier.
Le mentor lui a enseigné la composition : où placer les couleurs, les formes pour donner de l'énergie.
Plus important encore, le mentor enseigne Tony la perspective qui doit guider le spectateur vers un point particulier.
Il a appris à dessiner d'abord en gris, car avec le gris vous êtes obligé d'apprendre le corps et les nuances de ce que vous essayez d'exprimer.
J'ai été très frappé par l'engagement de Tony à être un observateur honnête et à élever la conscience. Je lui ai demandé quelques conseils pour créer sa propre entreprise, puisqu'il est un artiste-entrepreneur à succès depuis 31 ans.
Voici ses recommandations les plus importantes :