mardi 1 octobre 2013

Jihad nikah en Syrie : les Tunisiennes sont les plus motivées !

Leurs corps sont leurs armes. Non, ce ne sont pas des Femen, mais des djihadettes en burqa. Contre Bachar, elles font la guerre en faisant l’amour.
Un bon combattant doit avoir l’arme chargée et les couilles vides. Voilà ce qu’a décrété Mohamed al-Arifi, mufti saoudien, théoricien du djihad en Syrie. Tout a commencé lorsque son âme de philanthrope s’est émue de la misère sexuelle que vivent les moudjahidine d’Allah contre Bachar, qui, lui, affiche une jolie épouse.
Il n’a pas tort, al-Arifi, car, pour ces soldats de la liberté, cela ne doit pas être bien agréable de se contenter de violer. Il paraît qu’une femme violée taille moins bien des pipes, et ne prépare le thé à la menthe après que sous la contrainte.
Le mufti saoudien a trouvé la solution : les musulmanes du monde entier, ayant, comme les hommes, le devoir du djihad pour la gloire de l’islam, sont appelées à rejoindre le champ de bataille syrien pour soulager les pulsions des combattants, qui n’en seront que plus féroces contre le régime de Bachar.
Un compatriote d’al-Arifi, mufti de son état, nommé Nasser al-Omar, est allé jusqu’à dire que les vaillants moudjahidine avaient même le droit de pratiquer le djihad an-nikah (oui, le mot vient de l’arabe) avec leurs propres sœurs. À la guerre contre les ennemis d’Allah comme à la guerre contre les ennemis d’Allah.
ÉCHANGISME HALAL
Heureusement, le mainstream terroriste ne retiendra que la première version (l’islam n’est-il pas une religion modérée ?) de la fatwa. Il y a tout de même des règles; les filles doivent avoir plus de 14 ans et porter le voile intégral.
Absurde, puisque Allah permet d’épouser des fillettes de 7 ans au Yémen, et que, burqa ou pas, les djihadettes finiront de toute façon à poil dans le pieu des terroristes. Des dizaines de musulmanes, élevées sous serre noire et interdites de se mélanger aux garçons, ont vu là l’occasion d’assouvir leur frustration sexuelle sans s’attirer les foudres du seigneur.
Ce sont les Tunisiennes qui se sont montrées les plus motivées. Bourguiba s’en retournerait dans sa tombe. Selon le ministère de l’Intérieur de Ghannouchi, treize jeunes filles au moins auraient répondu à l’appel d’al-Arifi.
L’industrie d’export de ces prostituées halal est bien huilée. Selon le récit d’Aïcha, vétérane tunisienne du djihad sexuel en Syrie, la première approche s’est faite à l’université. Le témoignage à visage flouté, diffusé sur une télévision tunisienne privée, révèle qu’une femme de 36 ans, intégralement voilée, approchait les filles voilées pour leur parler de religion et les convier à des réunions de «maw’ida», où l’on prêche la bonne parole entre femmes.
Le petit groupe rassemblé par la chasseuse de têtes compte une douzaine de disciples, dont l’une ne dépasse pas l’âge de 10 ans. Selon Aïcha, deux filles au moins de ce groupe ont rejoint la Syrie. Le sujet du djihad est rapidement abordé, et les recrues sont convaincues de leur supériorité eschatologique sur le reste de l’humanité.
«Je sentais que j’étais la seule au monde, avec ce groupe de femmes, à être sur la voie du paradis, et que tous les autres allaient brûler en enfer», affirme l’ancienne djihadette, aujourd’hui amère de regrets.
Une fois les candidates convaincues de partir, le mari de la cheftaine s’occupe de la logistique, la même que pour les garçons qui partent rejoindre le champ de bataille. Un billet est acheté pour la Turquie, où les candidates doivent se rendre à Antioche.
Elles y sont reçues par un certain Abou Ahmed, qui les conduit à la frontière, où elles sont récupérées par un certain cheikh Hadi au volant d’une Hyundaï. Celui-ci se charge de les conduire au premier point de l’Armée syrienne libre.
Une fois affectées à des postes, ces dignes servantes d’Allah peuvent enfin commencer ce pour quoi elles ont parcouru un si long chemin. Un tableau retrouvé sur une position désertée par la sinistre katiba (brigade) al-Farouq donne de précieux renseignements sur le quotidien de la moudjahida du sexe.
Le nikah se fait par tranches de 2 heures, suivies de 2 heures de repos, à raison de trois ou quatre combattants par jour. Une bondieuserie est prononcée (fatiha et takbir) avant chaque séance par l’émir de la katiba pour donner des allures de mariage de jouissance à ce bordel halal. Quant aux grossesses, nombreuses, engendrées par cet échangisme djihadique, la charia ne leur a prévu aucune formule légale, et certainement pas un droit à l’avortement.

1 commentaire:

  1. DEVANT LE TOLLÉ GÉNÉRAL DU "JIHAD ENNIKAH"*, LES "FRÈRES" NAHDHAOUIS FONT MACHINE ARRIÈRE !!

    Pourtant Habib Ellouz l'a reconnu implicitement, en se proposant de prendre en charge les filles-mères et leurs rejetons !
    Priorité même est donnée au "jihad" (guerre sainte), qu'il soit armé ou de "nikah" et à ses victimes :
    - les "jihadistes armés",
    - les "jihadistes du nikah" et
    - leurs bâtards fruits de la "fatoua" autorisant la prostitution lors des guerres saintes !),
    sont considérés tous comme soldats d'Allah sacrifiés à sa cause dont il faut prendre soin ici bas, puisque le paradis leur est d'ores et déjà promis !

    La ministre de la "femme", Sihem Badi en a parlé sans le condamner ...

    Quand au ministre de l'intérieur Ben Jeddou, il a attiré l'attention des constituants lors de la séance des questions au gouvernement, sur le problème de rapatriement de tunisiennes de Syrie engrossées par les "jihadistes" ....

    Or depuis peu, il semble que la consigne est donnée aux nahdhaouis de nier en bloc le phénomène !
    Dans ce cas, il faut que les responsables sus-cités s'expliquent ...
    et que le ministre Ben Jeddou démissionne pour avoir propager une fausse info !

    Or on sait la pratique de la "taqia", ou le mensonge "pieux", que pratiquent les "frères musulmans" pour ne pas nuire à la confrérie !!
    D'où le "retournement" des discours des "frères" nahdhaouis et leur mensonge avec aplomb ... qui de plateaux TV en studio de radio nient même l’existence du "niqah" trouvaille selon certains d'étrangers qui veulent salir le pays et sa révolution !
    En somme ils pratiquent se qu'ils maîtrisent le mieux : "le complotisme" !!

    * Le "jihad du nikah" ou la légalisation de la prostitution, devenue "halal" par "fatoua" (loi religieuse)

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