On vous le disait : la constitution 2014, est la meilleure au monde ! Et pour cause, elle est supervisée par celui-là même qui a "aidé" les afghans et les irakiens à rédiger la leur, avec le résultat que l'on sait : deux pays ingouvernables ! Noah Feldman est le père spirituel de la constitution tunisienne !
R.B
Noah Feldman
Tous le monde semble découvrir un « intrus américain » pour certains, un « espion du Mossad » pour d’autres, alors que nous avons déjà évoqué, ici même, ce nom depuis octobre 2012. L’intrus a été dévoilé par le député Mohamed Néjib Khila, qui a récemment quitté l’Alliance démocratique. En pleine séance de l’ANC, aujourd’hui 10 janvier 2014. Il s’est écrié : « Nous avons vu hier le dénommé Noah Feldman, un américain connu pour ses nombreux écrits sur l’islam. Cet homme est en réalité suspect et il a participé à la constitution de l’Irak et de l’Afghanistan. Je demande à tous mes collègues députés de faire preuve de vigilance dans leurs relations avec cet homme » (voir vidéo en bas de cet article).
Mohamed Néjib khila se trompe. L’homme qu’il
accuse a tout à fait le droit de suivre les travaux de l’ANC. Sa présence est
même plus « utile » et plus « légitime » que la sienne ou
celle des 217 pantins de l’ANC. Et pour cause : sa contribution à la constitution
tunisienne est bien plus importante que celle des 217 pantins, qui s’accrochent
plus à leurs salaires qu’à leur honneur. Il n’était donc pas à l’ANC comme
simple observateur ou invité, comme beaucoup d’autres européens, mais comme
principal instigateur de la constitution. Il y était aussi pour étudier, comme
les ethnologues occidentaux du XIXe siècle étudiaient les sociétés primitives,
les « élus » du peuple tunisien en plein débat
« démocratique ». Qui est donc cet homme, accusé de tous les péchés
d’Israël ?
Il est né en 1970 à Boston, au sein d’une
famille juive orthodoxe. Il a fait des études islamiques à Oxford et des études
de droit à Yale. Son professeur en études islamiques a été John Esposito, un
professeur qui aime beaucoup l’islam…et l’argent ! Ouvertement
pro-islamiste depuis des années, il a été aux Etats-Unis parmi les avocats les
plus acharnés des Frères musulmans, là où ils se trouvent, de l’Egypte au
Pakistan, en passant par le Maghreb. Dans son unique livre, Rached Ghannouchi
le cite comme « un fidèle compagnon qui a rendu à l’islam des services
plus que beaucoup de musulmans ».
Son disciple, Noah Feldman, sera encore plus
« fidèle » à la cause islamiste (voir les critiques de Martin Kramer
sur le site Sandbox). Plus exactement islamo-sioniste, puisque M.Feldman a la
double nationalité américaine et israélienne, et que son dévouement au sionisme
ne s’est jamais démenti, dans tous ses articles publiés entre 2002 et 2010,
dans le New York Times, le Wall Street Journal, le Jérusalem Post et
Maariv.
Agé de 44 ans, Noah Feldman est aujourd’hui
professeur de droit à la New York University of Law, membre de la « New
America Foundation » et membre du « Council on Foreign
Relations » (CFR), qui est considéré comme l’un des think tanks les plus
influents en politique étrangère américaines et dont le financier et président
a été dans les années 1970 David Rockefeller. Pour certains proches de la
« John Birch Society », le « Council on Foreign Relations »
serait contrôlé par « un groupe de personnes issues des sociétés secrètes
d'étudiants des universités Yale et Harvard : le Skull and Bones et le Scroll
and Key. Ces personnes, après leur prétendue intégration dans un groupe d'élite
appelé « JASON Society », seraient élues par leurs pairs pour constituer
le comité exécutif du CFR. La « John Birch Society » soutient que le
Conseil des relations étrangères se voue à la formation d'un gouvernement
mondial. En 1980, l'un des membres du Congrès des États-Unis, Larry McDonald, a
tenté de lancer une enquête parlementaire sur le Conseil des relations
étrangères ainsi que la Trilatérale ».
Auteur du livre « After Jihad :
America and the Struggle of islamic Democracy », Noah Feldman a écrit
plusieurs articles de presse dans lesquelles il ne tarissait pas d’éloges pour
ses amis islamistes. Notamment son article « Islamists Victory in Tunisia
a win for Democracy » (La victoire des islamistes en Tunisie est une
victoire pour la démocratie), publié le 31 octobre 2011 sur son site bloomberg,
soit une semaine après les élections truquées du 23 octobre, dans lequel il
dit : « Les démocrates islamistes, comme le leader intellectuel
d’Ennahda Rached Ghannouchi, étaient presque les seules voix de résistance au
régime dans les 20 dernières années…Les islamistes reflètent les idéaux de la
démocratie et ce phénomène remonte à 20 ans, en Algérie ». C'est-à-dire
avec le très pacifique mouvement du FIS et son très démocrate chef, Abbassi
Madani ! En sommes, Noah Feldman est la version américaine d'un François
Burgat ou d'un Vincent Geisser.
Selon son adversaire et critique, Martin
Kramer, « Noah Feldman fait une fixation bizarre sur l’islamiste gourou
Rachid Ghannouchi, en plaçant cette foi-ci la barre très haute :
Ghannouchi a émergé comme la version islamique de Nelson Mandela. Si cela est vrai,
le monde islamique serait totalement vissé. Mais c’est juste une autre envolée
romantique et fantaisiste pro-islamiste de Feldman » ! Martin
Kramer réagissait à l’article
que Noah Feldman a publié sur son site bloomberg, le 5 juillet 2013.
Ce qui est encore plus intéressant dans le
parcours de Noah Feldman, c’est le rôle « constitutionnel » qu’il a
joué en Irak et auprès du Proconsul Paul Bremer. Voici ce que disait la
Direction nationale du parti Baath socialiste arabe, dans un communiqué du 12
septembre 2005 : « Aujourd’hui le complot de diviser l’Iraq et d’effacer son
identité arabe est entré dans sa phase cruciale et dangereuse par le fait
d’imposer une constitution séparatiste étasunienne, basée sur le
confessionnalisme et le racisme, une constitution écrite par le sioniste Noah
Feldman, alors que Paul Bremer, le gouverneur civil, l’avait déclarée comme
base légale pour l’Iraq occupé ». Nous savons depuis ce qui est advenu de
l’Irak : un pays qui décompte entre 30 et 100 morts par jours et dont les
richesses sont partagées entre les Iraniens, les Américains et les
Israéliens.
Mais nous ne savons pas ce que le penseur
palestinien Edward Saïd avait écrit dès 2003, dans Al-Ahram du 22 mai
2003, dans un article intitulé « La condition arabe » : « Il a
été annoncé récemment dans la presse américaine que de ses 32 ans, professeur
adjoint de droit, Noah Feldman, de l'Université de New York, serait responsable
de la production d'une nouvelle constitution irakienne. Il a été mentionné dans
tous les comptes rendus des médias de ce grand rendez-vous que Feldman était un
expert extraordinairement brillant dans la loi islamique, avait étudié l'arabe
depuis qu'il avait 15 ans, et a grandi comme un Juif orthodoxe. Mais il n'a
jamais pratiqué le droit dans le monde arabe, jamais été en Irak, et ne semble
pas avoir l’expérience pratique réelle dans les problèmes de l'après-guerre en
Irak. Quel camouflet non seulement pour l'Irak lui-même, mais aussi pour les
légions de juristes arabes et musulmans qui auraient fait un travail tout à
fait acceptable dans le service de l'avenir de l'Irak. Mais non, l'Amérique
veut le faire par un jeune homme frais, de manière à être en mesure de dire,
"nous avons donné à
l'Irak sa nouvelle démocratie". Le mépris est assez épais à couper au
couteau ».
Puisque nous avons évoqué l’Iran, il convient
de rappeler que Noah Feldman a écrit un article fort intéressant, qui a été
publié dans l’International Herald Tribune, le 28 octobre 2006, sous le titre
évocateur de « Weighing the threat of an Islamic A-bom » (Mesurer les risques
d’une bombe A islamique). Nous allons laisser le soin à Alain Gresh, qui est
pourtant aussi pro-islamiste que Noah Feldman, de le commenter, dans l’article
qu’il avait publié à l’époque (le 29 octobre 2006) dans Le Monde
Diplomatique : « Étrange texte en vérité : il est à la Une du
journal (on notera que sur le site du journal, le texte a un autre titre : «
Nuclear holocaust : A risk too big even for martyrs ? ») et il n’est pas
l’œuvre d’un journaliste puisque Noah Feldman est professeur de loi à
l’université de New York et un membre du Council on Foreign Relations, un
important think-tank américain. Il est exceptionnel de voir un article d’un non
journaliste faire la Une du Herald. Mais ce qui frappe le plus, c’est
l’argumentation utilisée et la manière de débattre de la prolifération dans la
région. En laissant entendre que les dirigeants d’un Etat islamique (concept
qui n’est jamais vraiment défini) pourraient fonctionner selon des logiques
suicidaires, l’article apporte une contribution à l’argumentation de
l’administration Bush en faveur d’un bombardement
de l'Iran et de ses sites
nucléaires ».
Après son œuvre civilisationnelle en Irak,
terre originelle de la civilisation universelle, notre constitutionnaliste-ethnologue
ira expérimenter sa science islamologique et sa recette de l’islam compatible
avec la démocratie libérale en Afghanistan. Il y passera trois mois et laissera
à ce pays, qui a connu la modernité dans les années 1960, une constitution qui
satisfait aussi bien les Talibans que les pions que les Américains ont placés
au pouvoir, après l’assassinat du commandant Massoud et l’invasion de
l’Afghanistan.
Mais c’est le « printemps arabe » qui
donnera au professeur Noah Feldman l’occasion de généraliser sa recette
constitutionnelle. Il agira simultanément en Egypte, en Libye et en Tunisie, où
il se rendra pour la première fois en septembre 2012, en compagnie du
mercenaire Radwan Masmoudi, et où il rencontrera Rached Ghannouchi, l’ami de
John Esposito, ainsi que Hichem Djaït et Iyadh Ben Achour. C’est en tombant sur
le site et sur la page facebook de Martin Kramer, que nous avons découvert cette
information.
Cet écrivain américain, qui traque l’activisme
islamiste de Noah Feldman, écrivait à l’époque ce statut sur sa page facebook
« Donc, Noah Feldman de l'Université Harvard est à Tunis, à distribuer
des conseils
à Rached Ghannouchi… »
Il ne s’est pas contenté de donner quelques
conseils au chef des Frères musulmans tunisiens, mais il lui a remis un projet
clef en main de la future constitution tunisienne. Selon un membre de l’ANC,
élu sur la liste d’Ennahdha, qui veut aujourd’hui soulager sa conscience, la
rencontre a eu lieu au domicile de Rached Ghannouchi, le 18 septembre 2012, en
présence de Radwan Masmoudi, Saïd Ferjani, Rafik
Bouchlakha et Noureddine
Bhiri, un membre actif de Freedom House. C’est ce jour-là que Noah Feldman,
remettra à Rached Ghannouchi un projet de constitution en arabe et en anglais,
à titre « d’ébauche d’inspiration », lui dira t-il. Mais, Feldman
reviendra à Tunis fin août 2013, pour rencontrer d’urgence Rached Ghannouchi,
pour lui remettre un autre projet, qui n’est plus une
« ébauche d’inspiration», mais un projet dont il faudrait absolument
tenir compte. Que s’est-il passé entre-temps ? Le changement inespéré et
brutal en Egypte, bien évidemment.
C’est que les employeurs de Noah Feldman ne
pouvaient plus se permettre de perdre la face en Tunisie, laboratoire
expérimental du « printemps arabe », après avoir essuyé un humiliant
revers au pays de Nasser. L’Egypte, où Noah Feldman contribuait de très près à
la rédaction de la future constitution des Frères musulmans. Mais le sursaut
patriotique du peuple égyptien a mis fin aux menées subversives de ce
professeurs aux multiples facettes, fonctions et missions !
On apprendra
plus tard, sur le site francophone « Bonjour Egypte » que la
vice-présidente du parquet administratif, la conseillère Noha el-Zeiny, a affirmé
que « le sioniste Noah Feldman, professeur de droit à l’Université de
Harvard, qui avait participé à la rédaction de la constitution, est un espion
israélien ». Et à la magistrate égyptienne, qui a été convoqué par le juge
d’instruction Magdi Hussein Abdelkhalek, en octobre 2013, pour témoigner,
d’ajouter cette information capitale pour nous, les
Tunisiens : « Feldman a fait la navette entre le Caire, Tunis,
Tripoli et Ankara. Ils conseillaient les Frères
musulmans de ces pays pour le
compte d’Israël et des Etats-Unis d’Amérique. Avec deux autres jeunes personnes
qui l’accompagnaient, il s’occupait des constitutions en cours de
rédaction ».
Pour comprendre la pensée très sophistiquée du
professeur Noah Feldman, ainsi que les visées de ses employeurs, voici un
article qu’il a signé dans le New York Times, le 13 novembre 2013 :
"Dans son remarquable discours de la
semaine dernière, George W. Bush a reconnu soixante ans d’erreurs
américaines et a annoncé une nouvelle politique, encourageant la démocratie
plutôt que la dictature dans le monde musulman. Il a cependant négligé de
mentionner que beaucoup de musulmans choisiront des régimes tournés vers
l’islam plutôt qu’un régime séculier, comme le démontre le cas de la
constitution afghane, qui intègre les valeurs islamique autant qu’elle garantie
les libertés basiques. Cette constitution soulève la question de la
compatibilité de l’islam avec la démocratie et les Droits de l’homme".
"Les trois premiers articles de la
constitution afghane, font du pays une république islamique, de l’islam la
religion officielle et prévoient un contrôle par la Cour suprême de la
compatibilité des lois avec les valeurs de l’islam. Le nouveau drapeau fait
référence au credo de l’islam et l’école a pour vocation d’éliminer les
traditions contraires à l’islam. Dans le même temps, la constitution est
démocratique, garantie les droits des citoyens et s’engage à respecter les
droits garantis par les traités internationaux dont l’Afghanistan est
signataire. Notamment, la convention sur l’élimination de toute forme de
discrimination contre les femmes (ces dernières doivent d’ailleurs occuper au
moins 16,5 % des sièges de la chambre haute afghane). La constitution
reconnaît aux croyants d’autres religions le droit d’exercer leur foi. Ce texte
comporte encore des tensions que la Cour suprême devra trancher comme
l’obligation des partis politiques à se doter d’un programme compatible avec
l’islam ou la constitutionnalité de la loi demandant aux femmes de
s’« habiller modestement ». La constitution afghane est une
chance de promouvoir une démocratie islamique. Les États-Unis et l’ONU doivent
soutenir le gouvernement politiquement et économiquement pour qu’elle ne reste
pas qu’un symbole. Les régimes autocratiques séculiers dans les pays musulmans
ne doivent pas être soutenus au dépend des démocraties islamiques. Il ne faut
pas imposer la sécularisation en
Afghanistan et en Irak, pays dans lequel il faut démontrer que la Coalition
laissera les Irakiens se gouverner eux-mêmes ».
Ce que le professeur Noah Feldman dit de la
constitution afghane et de la « démocratie » afghane, vaut pour la
constitution tunisienne et la « démocratie » tunisienne. Il nous
reste à espérer que ce beau modèle démocratique, imposé à la Tunisie, ne
produise pas les mêmes conséquences tragiques qu’en Afghanistan et en Irak. En
priant Allah et en invoquant la bénédiction du saint prophète, Noah Feldman,
auteur de notre nouveau Coran constitutionnel, nous échapperons peut-être au
sort que le peuple irakien a subi !!!
Casoar Casqué :
RépondreSupprimerDepuis longtemps, je me pose la question si oui ou non, les américains ont réellement abandonné nahdha, sachant que sans ces américains, nahdha n’aurait jamais existé...
Ils ont été soutenus et aidés pour accéder aux pouvoir dans un cadre général qui consistait à aider un islam modéré, dans les états arabes, capable d’absorber et maîtriser les courants radicaux, réservoir du terrorisme...
Ce fut entre autres choses.
Mais rapidement les islamistes ont dévoilé leur véritable identité et ont fusionné avec le terrorisme pour former une masse obscure et une menace pour le monde entier... Les américains et leurs alliés européens ne s’attendaient pas à ce monstre.
Ils ont dû réviser leur position et ne semblent plus accorder le même intérêt à ce courant, considéré encore immature pour l’adoption des principes universels de tolérance, démocratie et liberté...
Beaucoup d’indicateurs appuient la thèse du divorce, tel que : la Syrie, l’Egypte et la Libye...
En Tunisie, les choses sont restées entachées de flous et d’incertitudes...mais les événements de l’ambassade américaine et l’assassinat de l’ambassadeur en Libye, semblent avoir étés décisifs dans la décision américaine...
Aujourd’hui, d’autres indicateurs penchent vers la même thèse, à savoir :
1/ Nahdha cède sur la constitution et fait tout pour se racheter et paraître plus « démocrate »... elle n’était pas du même avis il y a quelques mois.
2/ Disparition de tous les miliciens et terroristes, comme par enchantement.
3/ Sa participation au le dialogue national...
Pour rappel, elle a fait avorter la première tentative, il y a quelques mois...
Elle n'est allée au "dialogue national", que sous pression américaine et européenne.
4/ Sa sortie du pouvoir, relativement "facile" et presque "sans problèmes", car sous pression américaine.
5/ La classification des "enfants" de ghannouchi ("ansar achariâa") comme organisation terroriste et l’arrestation d’Abou Iyadh.
6/ Le rappel d’aujourd’hui pour juger les personnes impliquées dans l’agression contre l’ambassade...
Ce procès a été bâclé délibérément et les criminels libérés avec des sanctions fantaisistes et dérisoires...
Aujourd’hui, je suis convaincu que nahdha a perdu et qu’elle essaye de sortir avec le minimum de dégâts...
Le soutient des américains n’est plus garanti.
Ghannouchi était leur point fort et leur joker... son parti effectue un repli stratégique pour essayer de se trouver une petite place dans le paysage politique future, ce qui est un moindre mal...
Personnellement j’aurais aimé qu’on leurs botte le derrière et qu’on les chasse de notre pays...
D’autres semblent préférer les remettre en prison.
MAIS DANS TOUS LES CAS, ILS SONT FICHUS.
les sionistes américains et bien sûr les israeliens sont à l'origine de la destruction du monde arabo-musulman..., et ils ont trouvé la faille DIABOLIQUE qui consiste à les détruire de l'intérieur, par le biais de leurs propres enfants, ainsi aucun soldat américain ne mourra plus jamais dans un pays arabe et/ou musulman après les désastres en Afghanistan et en Irak! Hillary Clinton secrétaire américaine aux affaires étrangères des usa, l'a déclaré ouvertement clairement voire avec arrogance : " nous avons crée daech "!!! ainsi va le monde d'aujourd'hui... le printemps arabe est une illusion qui s'établira pour l'éternité !!!!!!!
RépondreSupprimerQUAND ON VOUS DISAIT QUE FELDMAN A CONTRIBUE A LA REDACTION DE LA CONSTITURTION AFGHANE, IRAKIENNE ET TUNISIENNE ... ET AU CHAOS QUI S'EN SUIVIT DANS CES PAYS !
RépondreSupprimerVivement la Troisième République et la laïcité en préambule dans sa constitution pour en finir avec l'islam politique, cet islamisme qui mine les sociétés "arabo-musulmanes" !
http://kapitalis.com/tunisie/2021/08/30/noah-feldman-je-suis-content-davoir-collabore-a-lecriture-de-la-constitution-tunisienne/
Pourquoi la constitution de Feldman & Ben Achour doit être abrogée.
RépondreSupprimerhttp://kapitalis.com/tunisie/2021/08/06/tunisie-pourquoi-la-constitution-de-ben-achour-feldman-doit-elle-etre-abrogee/